Idées reçues sur les chomeurs. Splash : Faut-il contrôler les chômeur·euses ? sur Apple Podcasts. Il y a aujourd’hui en France 5 817 200 chômeurs et chômeuses inscrit.e.s à Pôle Emploi.
L’organisme possède trois façons de vérifier si les conditions pour accéder au statut de chômeurs sont remplies, le contrôle des chômeurs existe déjà. Il semblerait cependant que pour certains, celui-ci ne soit pas assez fort et/ou sévère. ! Le renforcement du contrôle des demandeurs d’emploi est devenu un thème favori dans les débats politiques et depuis deux décennies, les gouvernements successifs en ont fait un cheval de bataille, et ça, peu importe, les résultats.
Mais d’où vient cette suspicion que les chômeurs ne sont pas activement à la recherche d’un emploi ? Pourquoi voit-on le chômage et les personnes le subissant d’un mauvais œil ? Splash : Faut-il supprimer l'aide à la presse ? sur Apple Podcasts. En 2021, ce n’est pas moins de 400 millions d’euros d’aide publique à la presse qui ont été distribuées, soit 23% de leur chiffre d'affaires global.
C’est énorme, mais c’est aussi totalement raisonnable de soutenir les organes de presse, essentiel dans le fonctionnement d’une démocratie, au risque sinon, d’aboutir à une information pauvre. Mais en observant de plus près ces aides, on remarque parfois qu’elles sont inégales, discrétionnaires, et donnés à des distributeurs, qui ont déjà le pouvoir de se faire entendre...comme à Vincent Bolloré par exemple ! Emmanuel Martin discute avec Julia Cagé, économiste des médias à Science Po, et spécialiste de la question de l’aide à la presse, pour tenter de comprendre cette particularité très française. De quelle façon est distribuée cette aide ? Est-il nécessaire de la réformer ? INÉGALITÉS : LES 1% MENACENT LA STABILITÉ MONDIALE.
À partir de 9h22, les femmes travailleront gratuitement 03 novembre 2021. C’est désormais un rendez-vous : comme chaque année, Les Glorieuses nous avertissent du moment où les femmes commencent à bosser « gratuitement ».
L’occasion de mettre sur la table des propositions concrètes contre les inégalités salariales. Ce n’est pas (que) la sonnerie de votre réveil que vous allez entendre ce matin, c’est plutôt un signal d’alarme encore plus douloureux. Ce mercredi 3 novembre, à 9h22, ce sera l’heure à partir de laquelle cette année les femmes travailleront… pour rien. Gaz : scoop, la concurrence n'y peut rien ! À propos des hausses du prix du gaz en France (+ 57% depuis le début de l'année), nos médias, quand ils veulent bien s'intéresser à la question, tellement moins sexy que les querelles sur les prénoms, fournissent de bonne grâce des explications détaillées.
C'est la faute, expliquait hier soir le 20 Heures de Tf1, aux producteurs de gaz, Norvège et Russie en tête, qui ont réduit leur production (pour de louches raisons). C'est la faute à la hausse de la demande en Asie. C'est la faute au climat. Parfait. La semaine de quatre jours a-t-elle de l’avenir ? Qui n’aimerait pas travailler chaque semaine un jour de moins ?
Prendre du temps pour soi. Employer un mardi, un mercredi, un vendredi, à faire ce que l’on aime ? Tout en touchant le même salaire. Justement. En juillet dernier, l’Islande a dévoilé les résultats du plus vaste projet de la planète, visant à tester l’efficacité de la semaine de 4 jours. Entre surproduction et baisse des prix, le lait bio est en mauvaise position. « Ça correspond à une baisse de prix de 13 euros par 1 000 litres de lait bio, de 15 euros si l’on y ajoute la baisse de prix précédente.
Soit une diminution de nos revenus de 8 250 euros sur douze mois. » Benoît Collorec ne décolère pas. Installé en Groupement agricole d’exploitation en commun (Gaec) avec son frère à Hanvec (Finistère), converti à l’agriculture biologique il y a un an et demi, il élève 120 vaches sur sa ferme de 200 hectares. L'Europe se dirige droit vers un désastre énergétique (prix gaz et électricité)
«Ça pourrait devenir vraiment moche si nous ne réagissons pas pour essayer de remplir chaque espace de stockage.
On peut survivre une semaine sans électricité, mais pas sans gaz.» La phrase, citée par Bloomberg, est prononcée par Marco Alvera, patron de la compagnie énergétique italienne Società nazionale Metanodotti (SNAM). Inquiétante, elle décrit la panique qui gagne l'Europe alors que l'hiver approche et qu'elle s'enfonce dans une crise énergétique sans précédent.
«Ça va coûter cher aux foyers, ça va coûter cher aux gros consommateurs d'énergie», explique de son côté Dermot Nolan, ex-patron du régulateur britannique, le Bureau des marchés du gaz et de l'électricité (OFGEM). «Les prix de l'électricité et du gaz vont être plus élevés dans les foyers que quiconque ne le souhaiterait, et ils vont être plus élevés qu'ils ne l'ont été ces douze dernières années.» Podcast on Spotify - avec Clara Wolf,économiste spécialiste du logement. David Cayla (économiste à Angers) - 09 / 2021 - Le revenu universel.