Amélie ÉLIE (1878-1933), dite Casque d'Or. Amélie ÉLIE, dite Casque d’Or, est une figure populaire qui eut son heure de gloire au début du XXe siècle.
Elle serait sans doute aujourd’hui totalement tombée dans l’oubli, si une jeune actrice alors au sommet de sa beauté mais à l’aube de sa carrière ne l’avait incarnée à l’écran en 1952 : Simone SIGNORET. Je vous invite à découvrir quelques bribes de sa biographie ainsi que sa généalogie. Du pavé aux planches et à la célébrité Amélie naît le 14 mars 1878 à Orléans (Loiret), dans une famille modeste [son acte de naissance]. Son père Gustave Jean est ferblantier et sa mère Marie Louise, née DELACOURTIE, s’occupe du foyer. Amélie ELIE - généalogies de célébrités. Amélie Élie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Amélie Élie dite Casque d'or (carte postale, vers 1900). Biographie[modifier | modifier le code] La gamine d'Orléans[modifier | modifier le code] C'est dans leur repaire, un bistrot nommé « la Pomme au lard », qu'elle rencontre son futur compagnon, Bouchon, fraîchement sorti de prison où il a purgé une peine pour proxénétisme. L'affaire Casque d'or - Les gangs, un mode de vie particulier. En cette fin de 19ème siècle, l’est de Paris est aux mains de divers gangs, qui vivent de rackets, d’escroqueries et de proxénétisme.
Le soir venue, ils quittent les quartiers de Ménilmontant et Belleville pour investir le centre de la capitale, où leurs frasques font les choux gras de la presse. Composés d’ouvriers ne dépassant que rarement la vingtaine d’année, ils se revendiquent libres, et l’honneur et la réputation sont primordiaux. Dans ces gangs, les femmes ont une place importante, et sont traitées d’égales à égales avec les hommes.
C’est dans ce contexte qu’en 1898 Amélie s’installe avec Manda. Elle reprend la prostitution sous sa «protection». L'affaire Casque d'or - Le feuilleton médiatique de l'année. La presse s’empare alors de l’affaire et dénonce des méthodes barbares, digne des Apaches du Far West, ainsi que l’impuissance d’une police en sous effectif.
Toujours à l’hôpital, Leca reçoit encore une fois la visite de la police. Encore une fois il se tait. Mais ses parents donnent sans hésiter le nom de Manda. Celui ci fuit. Il se planque quelques jours dans le 13ème arrondissement, puis part pour Londres une semaine. Le petit journal illustré, © Cent.ans. 7 mars 1902. Casque d'or n'est qu'une putain trompant son mac par jalousie. Casque d'or et Zahia !
Deux blondes aux parcours (presque) similaires à un siècle de distance. Toutes deux ont commencé à gagner leurs premiers sous à la sueur de leur derrière. Seulement, Casque d'or aimait les voyous de Belleville, tandis que la belle Maghrébine préfère les footballeurs. Pour finir, toutes deux ont choisi de se reconvertir dans la lingerie féminine : Casque d'or comme bonnetière, Zahia en signant une collection de petites culottes. Le 7 mars 1902, vers 6 heures du soir, trois individus armés de révolvers et de couteaux se livrent un combat en règle à Belleville, rue Dénoyez. Travail du Sexe. CASQUE D'OR Amélie Hélie, dite - Tombes sépultures dans les cimetières et autres lieux.
Des Apaches à Paris ! Au cours de lectures des... - Yvon Généalogie. Apaches (gang) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Apache. Les Apaches (Bandes des Apaches ou Gang des Apaches) sont un gang du Paris de la Belle Époque composé de jeunes membres, qui ne dépassent souvent pas vingt ans. En 1902, deux journalistes parisiens, Arthur Dupin et Victor Morris, nomment ainsi les petits truands et voyous de la rue de Lappe et marlous de Belleville, qui se différencient de la pègre et des malfrats par leur volonté de s'afficher. Certains Apaches s'étaient fait tatouer un œil de biche, une petite touche à l'encoignure des yeux. La présence et le rôle actif des femmes dans les méfaits attribués aux Apaches ainsi que le libéralisme des attitudes qu'elles adoptent et affichent volontairement tranchent avec les mentalités de l'époque. Du fait divers à la mode : la « danse des Apaches » (Leo Rauth, 1911). Casque d'or. Casque d'or de Jacques Becker (1952. Pour un bon nombre de raisons que nous allons évoquer, Casque d’Or demeure un film phare du cinéma français toutes époques confondues.
C’est l’œuvre d’un artiste méticuleux et discrètement romantique, peintre impressionniste d’univers cloisonnés et gouvernés par des cérémonials dont la représentation à l’écran apparaît la plus naturelle qui soit. Le cinéma de Jacques Becker, comme d’ailleurs celui de Jean-Pierre Melville, fait habilement la transition entre le cinéma français d’avant-guerre avec son classicisme merveilleux et l’effervescence moderniste des années 60. C’est ainsi qu’il fut l’un des rares cinéastes célébrés par les jeunes trublions contestataires des Cahiers du Cinéma.