Devenez le chef de votre propre orchestre avec Damassama. Colorbox : une création tout en nuances. Maurice Benayoun : l'art multimédia pour changer le monde. Chants religieux et pointeurs laser. « Multiversités créatives » : générer, fabriquer et représenter avec le numérique. L'art génératif, qu'est-ce que c'est ? Sculpter le son comme une matière. Les objets numériques ont-ils une âme ? Le numérique : l'avenir du marché de l'art ? Quand les jeux vidéo s'exposent au MoMA. Archiver l’art numérique – Collecter la démarche plastique. Les œuvres numériques selon le rapport potentiel / démarche Lors du « Panel Discussion » du CAC 3, auquel nous avons participé avec Marc Veyrat, un des thèmes de discussion était directement lié à notre intervention, à moins que nous n’ayons manqué quelque chose du premier jour auquel nous n’avions pu assister.
Peu importe, il ne s’agit pas là de s’attribuer une antériorité à la question elle-même — de toutes façons régulièrement abordée par les recherches sur les TIC —, à savoir : l’archivage du numérique. 1 – Digressions Avant tout, je souligne la méthodologie que j’applique à l’ensemble des objets que j’étudie, à savoir que je ne parle jamais de choses numériques dont je ne fais pas l’expérience, et que par expérience, je n’entends que celle de la programmation, celle de la production de processus digitaux, l’essence de l’expérience de l’image hypermédia.
LA REVOLUTION TRANSMEDIA par Valérie Morignat © 2010. De la technique et de l’institution de l’art. D’un côté les tenants de l’art numérique estiment souvent que mon activité est plus contemporaine que numérique.
En effet, je n’ai pas un discours systématique sur le logiciel libre ou sur l’esthétique du code, je ne suis pas un défenseur acharné des logiciels vedettes du milieu artistique et je ne suis pas non plus (pseudo) hacker. Je peux faire des dessins, de la gravure ou de la peinture. Certaines marques qui signalent l’artiste numérique me font sans doute défaut et je dois même avouer une certaine réticence critique à les utiliser parce que je perçois comme des lieux communs et des routines de la pensée, quelque chose de conventionnel.
Il est bien sûr très difficile de délimiter la frontière entre l’art numérique et l’art contemporain, mais en France elle semble exister peut-être moins d’une façon conceptuelle qu’institutionnelle. Chacun aime à rester dans son camp et parfois espère passer dans le camp adverse. Jean-Paul Fourmentraux (dir.), Art et science. 1La proposition de ce livre est d’éclairer les relations de l’art et de la science à partir d’une sélection d’articles initialement parus dans la revue Hermès.
Ces textes ont été pour la plupart écrits dans d’autres contextes, attachés à d’autres sujets : l’histoire des médias, la muséographie des musées de sciences, la définition du « droit d’auteur » pour les scientifiques sous contrat public, etc. Ils n’éclairent donc pas directement le sujet mais y portent des éclairages rasants, faisant saillir des détails, des aspérités particulières. 2Quelques unes des questions propres à la relation des arts et des sciences font retour au fil de ces textes.
Net art – Créer à l’ère des médias numériques. Jean-Paul Fourmentraux, L'Ère post-média. Humanités digitales et cultures numériques. Bioart. Les récentes percées biotechnologiques rivalisent avec celles des technologies de la télécommunication de ces dernières décennies.
Mais la réception du public est souvent plus mesurée par rapport aux avancées biotechnologiques, qui suscitent même un sentiment d’incrédulité, voire d’inquiétude. En effet, en transformant le vivant et en créant de nouvelles formes de vie, les scientifiques remettent en question le concept fondamental, jusqu’à présent incontesté, de la nature et de la vie elle-même. Parfois d’une manière sensationnelle, les pratiques artistiques, comme le bioart et les biosystèmes artificiels, nous amènent aussi aux limites de nos croyances, rendant dépassées certaines de nos conceptions bien ancrées de la nature et des principes fondamentaux de la vie. Cet ouvrage présente divers écrits sur les biotechnologies, le bioart et les biosystèmes artificiels. L'art génératif, qu'est-ce que c'est ? Décoder, décrypter et répondre aux questions de votre quotidien numérique : l’Antisèche est votre rendez-vous régulier sur RSLN.
La semaine dernière, en allant voir l'exposition « Multiversités créatives » au Centre Pompidou, nous vous avons fait découvrir des oeuvres numériques d'un nouveau genre. Que se passe-t-il quand les artistes pensent la technologie comme les ingénieurs. L’artiste Honor Harger (@honorharger) s’occupe de Lighthouse, une agence culturelle numérique chargée de monter des productions et des expositions pour montrer que la culture numérique n’est pas qu’une question d’outils et de technologie, mais bien avant tout une question d’émotions et d’apprentissages.
Son blog, le décélérateur de particules (@_decelerator), est ainsi à son image, à la confluence entre l’art et la technologie. Sur la scène de Lift France 2012, elle nous posait la question suivante : Que se passe-t-il quand les artistes pensent la technologie comme les ingénieurs ? « Les artistes qui utilisent les nouvelles technologies sont une source essentielle pour comprendre la manière dont notre monde se confronte aux technologies », estime Honor Harger.
Prenons l’exemple de l’imprimante 3D, une des technologies actuelles les plus intéressantes, permettant de construire n’importe quel objet depuis ses spécifications. L’art est toujours en avance. Archée : cyberart et cyberculture artistique. Transmédiations : hommage à un penseur « aux qualités transversales » Tatiana Burtin Transmédiations.
Traversées culturelles de la modernité tardive, dirigé par Jean-François Vallée, Jean Klucinskas et Gilles Dupuis, paru aux Presses de l’Université de Montréal (324 p.) Les « traversées culturelles » que propose l’ouvrage sont autant de « ponts » jetés vers la connaissance d’une poétique moderne en crise. A partir du préfixe « trans- », qui peut signifier ce qui traverse, ce qui chevauche, ce qui se transforme ou ce qui se situe au-delà (10), Vallée et Klucinskas forgent le néologisme de « transcepts » (17) pour qualifier la richesse des apports scientifiques de Walter Moser, « pionnier » des études transculturelles. Simulation technologique et matérialisation artistique: Une exploration ... - Samuel Bianchini, Nathalie Delprat, Christian Jacquemin. Archéologie du Net Art. L’art numérique en trois questions (1/3)
L’art numérique en trois questions (2/3) L’art numérique en trois questions (3/3) Textes « Derrick Giscloux. Autisme et arts numériques, au corps de l’interactivité Dans le cadre d’un projet autour des arts numériques et du handicap aux côtés de Fany Buy, comédienne et intervenante dans un Institut Médico-Educatif, voici une amorce de réflexion qui gravite autour de la question de l’autisme et des passerelles évidente avec l’interactivité du geste, la perception subjective et la capacité/possibilité d’expression spontanée du visiteur dans une exposition.
L’autiste est pénétré de front par le réel. La violence avec laquelle la réalité lui apparait résulte en un fait: l’autiste adopte un état d’évitement. Incapable mentalement de relier sa pensée ou ses émotions, de scinder ses perceptions et analyser le présent dans sa dimension relationelle, il éprouve des difficultés ou une incapacité totale à concentrer son attention, à gérer ou combiner ses sens et de ce fait à canaliser ses émotions. Qu'est-ce que l'art numérique ? Corps et immersion - Ou les pratiques.... Steven Bernas, Catherine Bouko - 9782296568174. SIMULATION TECHNOLOGIQUE ET MATÉRIALISATION ARTISTIQUE - Une exploration transdisciplinaire arts/sciences, Samuel Bianchini, Nathalie Delprat, Christian Jacquemin. Ce que les arts numériques font à l'histoire de l'art #3 [BIAN 2012 : La chute, Chantal duPont] Ce que les arts numériques font à l'histoire de l'art #1 [BIAN 2012 : Fragmentation, Robert Lepage]Ce que les arts numériques font à l'histoire de l'art #2 [BIAN 2012 : Instrumentation, Peter Flemming] L'agora Hydro-Québec d'Hexagram est à mon avis l'une des plus belles salles montréalaises pour l'exposition de projets d'envergure comme celui de La Chute de Chantal duPont.
Celui-ci s'articule en trois temps : une installation formée de projections lumineuses sur le plancher d'une salle plongée dans la pénombre, un projet Web que l'on peut considérer comme une œuvre à part entière et, la partie principale, une installation audio et vidéo multi canaux à cinq projecteurs. Livrer sa vulnérabilité L'artiste a recueilli plus d'une dizaine de témoignages dévoilant le contexte dans lequel diverses chutes accidentelles humaines prennent formes. La chute n'est pas un nouveau thème pour les arts actuels. Pendant la Manif, ils tombent un peu partout dans Québec, Sublimer la vulnérabilité 26 avril-5mai.
Ce que les arts numériques font à l'histoire de l'art #2 [BIAN 2012 : Instrumentation, Peter Flemming] Ce que les arts numériques font à l'histoire de l'art #1 [BIAN 2012 : Fragmentation, Robert Lepage] En pénétrant dans la salle principale de l'exposition de Peter Flemming chez Skol, difficile de ne pas diriger spontanément son attention vers la grosse sculpture de bois tout au fond de la pièce.
Sa forme évoque un immense tam-tam bricolé dont la disposition inclinée rappelle à son tour l'antenne parabolique, celle qui permet de capter des fréquences et d'en traduire les signaux. Toutefois, cette sculpture capte sa propre résonance afin de la transmettre au spectateur. Elle participe ainsi d'un concert, mené de pair avec deux autres sculptures sonores composées de différents objets usités (seaux, fenêtres, bobines magnétiques...etc.). Ce que les arts numériques font à l'histoire de l'art #1 [BIAN 2012 : Fragmentation, Robert Lepage] Avec ce billet sur l’œuvre Fragmentation de Robert Lepage, j'entame une série d'articles sur des œuvres numériques et ouvrages théoriques.
Ces réflexions sont symptomatiques d'une histoire de l'art qui se transforme et s'adapte afin de décrire, contextualiser et comprendre les expériences esthétiques que génèrent les pratiques artistiques émergentes. Je profite bien sûr de la BIAN, première Biennale internationale d'arts numériques de Montréal, pour amorcer cette étude de laquelle surgiront peut-être quelques assises ou, plus modestement, des propositions qui permettront de saisir la portée de telles expérience à l'heure actuelle. L’art assisté par ordinateur par Anne-Charlotte Philippe.