Semur fête un de ses fleurons. Que ressentez-vous au moment de fêter les 40 ans des Ateliers d’Armançon ?
« Fierté et honneur. Aujourd’hui, nous fêtons les 40 ans de notre implantation à Semur-en-Auxois. Avant l’arrivée en Bourgogne de ma famille, mon grand-père et mon père étaient installés à Paris. C’est donc en 1971 que ma famille est venue dans l’Auxois. En 40 ans, les ateliers se sont agrandis et nous avons embauché un grand nombre d’habitants de la région. Un grand nombre de vos salariés seront présents aujourd’hui. . « J’ai toujours coutume d’appeler les salariés qui sont là depuis le début “mes grognards”.
Au départ, la famille Thomas n’avait pas de liens avec la Bourgogne. . « Effectivement, mon grand-père n’était pas Côte-d’Orien. Aujourd’hui, vous défendez toujours une idée d’entreprenariat familial… « Je travaille avec ma femme, mes enfants, ma sœur.
Les Ateliers d’Armançon relocalisent en France. Notez cet article : le 02/10/2012 à 05:00 | Maxime Courché Vu 137 fois «Des crises, j’en ai connues d’autres », a coutume de rappeler Thierry Thomas, président directeur-général des Ateliers d’Armançon.
Une façon de montrer que le contexte économique morose traduit par les récents chiffres du chômage n’entrave pas la bonne marche de son entreprise. La réorientation de Sandra Heitzmann. L’affaire est dans le sac. Notez cet article : le 02/10/2012 à 08:26 | Jean-Philippe Guillot Vu 527 fois Jean-Philippe Guillot Ce début de relocalisation de la production en France par les Ateliers d’Armançon est un véritable cas d’école.
C’est aussi une voie dans laquelle le staff du Redressement productif serait bien inspiré de s’infiltrer en ces périodes troublées. Les Ateliers d'Armançon en pleine expansion. Économie L'entreprise de maroquinerie de Semur-en-Auxois va relocaliser une partie de sa production située au Vietnam.
B.L. Publié le 04/10/2012 | 19:30, mis à jour le 15/10/2012 | 17:49 video title Les Ateliers d'Armançon relocalisent Certains secteurs d'activité ne connaissent pas la crise... Histoire : les Ateliers d’Armançon ont 40 ans. Notez cet article : le 02/10/2012 à 05:00 Vu 640 fois Les Ateliers d’Armançon ont fêté l’an dernier leurs 40 ans d’existence.
À l’origine, Auguste Thomas, le créateur de cette entreprise, n’avait pas de lien avec la Bourgogne. Il a tout d’abord créé une entreprise dans le même secteur à Paris, avant de venir s’installer à Semur-en-Auxois en 1971. Quelques années plus tard, son fils, Thierry, prenait la relève. Ateliers d'Armançon à Semur-en-Auxois - Industrie Explorer. La réorientation de Thibault Collet. Lancement 8 jours pour un métier aux Ateliers d’Armançon (Le conseil régional / En direct avec le président du conseil régional / Actualité) Le Châtillonnais: Cap sur la maroquinerie. Au lycée Eugène Guillaume de Montbard.
Le lancement du projet d'ouverture d'une formation au CAP Maroquinerie par apprentissage a sans nul doute été le point d'orgue de la semaine de l'industrie organisée au lycée Eugène Guillaume à Montbard.En présence de Florence Legros, Recteur de l'Académie de Dijon et de Cécile Legrand, sous-préfète, Sylvain Monier, proviseur du lycée, a fait visiter l'atelier de maroquinerie aux personnes ayant pris part au projet, représentant le Greta 21, Pôle emploi, le Conseil Régional, l'Académie de Dijon, les Missions Locales, Bourgogne Intérim, les Ateliers d'Armançon de Semur-en-Auxois, le CFA de l'académie de Dijon, et la municipalité. La diversité des personnes présentes permettait de rendre compte d'un important travail de partenariat entre les institutions publiques, l'Académie, et l'entreprise les Ateliers d'Armançon. De notre correspondante Pascaline KROMICHEFF. Les Ateliers de l'Armançon s'agrandissent. Aller-retour, et réciproquement.
Notez cet article : le 05/10/2012 à 05:00 Vu 195 fois Délocalisation, relocalisation… L’économie mondiale a décidément un sens de l’humour un peu cruel.
Et surtout rien n’est jamais plus tout noir ou tout blanc. On a vu pendant des années les industriels déménager leurs usines vers l’est, l’extrême-est, le moyen-est… bref, vers des pays où on peut penser que quelques améliorations sont encore à apporter au droit social, mais où cela revient moins cher de produire : c’était de bonne guerre, disaient certains tandis que d’autres hurlaient au scandale.
Depuis peu – mais le mouvement semble se dessiner de plus en plus – on « relocalise ».