Comment la guerre du cloud a forcé IBM à mettre la main sur Red Hat (pour 34 milliards de dollars) IBM a payé 34 milliards de dollars pour Red Hat et une chance d'être un acteur du cloud - privé, public et hybride - avec l'objectif ultime de gérer plusieurs clouds dans l'entreprise.
Red Hat est la plus importante acquisition d'IBM à ce jour pour une raison : les enjeux sont très élevés et IBM a déjà été éliminé de la course au cloud public par Amazon Web Services, Google Cloud Platform et Microsoft Azure. Si vous ne pouvez pas être un grand fournisseur de cloud public, pourquoi ne pas simplement les gérer se demande IBM ? Les dirigeants de Red Hat louent l'acquisition d'IBM, mais les employés sont inquiets. Lorsque Bloomberg a annoncé que IBM était en passe d'acquérir Red Hat, les dirigeants de Red Hat étaient déjà prêts.
Les employés de l'entreprise, en revanche, ont été pris de court. Beaucoup d’entre eux s’inquiètent de l’acquisition par Big Blue de la première puissance au monde dans l'univers Linux et open source. Paul Cormier, président de la division Produits et technologies de Red Hat, proclame : "Aujourd'hui est un jour marquant pour l'open source. IBM s’empare de Red Hat pour 34 milliards de dollars. IBM vient d’officialiser l’acquisition de l’éditeur de logiciels open source et des distributions GNU/Linux Red Hat pour la somme record de 34 milliards de dollars (29,8 mds d’euros au cours actuel).
Il s’agit là de la plus importante acquisition réalisée par l’entreprise et la troisième dans secteur des nouvelles technologies aux Etats-Unis. Avec Red Hat, IBM dit vouloir devenir “le premier fournisseur mondial de cloud hybride” avec des solutions facilitant les rapprochements entre les cloud privés et publics. Big Blue a proposé 190 dollars par action, ce qui représente une prime de 73 dollars par rapport au cours de clôture de Red Hat de vendredi à la bourse de New York. L’opération sera financée pour partie sur des fonds propres et le reste par un endettement dont le montant n’a pas été précisé. En revanche, IBM a choisi de renoncer à son plan de rachat d’actions sur 2020-2021.
IBM présente le “plus petit ordinateur du monde”: que va t-on pouvoir faire avec ? La photo du dessus vous a bluffé ?
Et bien, accrochez-vous, car l’ordinateur qu’IBM a présenté hier comme étant le “plus petit du monde” est bien moins grand que ça. Le visuel situé en haut présente en réalité 64 cartes mère contenant chacune 2 des minis ordinateurs conçus par IBM. L’ordinateur seul est en réalité plus petit qu’un grain de gros sel comme le prouve ce deuxième visuel fourni par IBM. Ne vous emballez pas : appareil présenté par IBM n’est qu’un prototype qui est encore en phase de test. Et l’appareil n’aura pas des performances démesurées : il dispose grosso modo de la même puissance de calcul que les microprocesseurs x86 qui équipaient les ordinateurs dans les années 90.
Un ordinateur qu’on pourrait fixer à tous les objets du quotidien IBM prédit pourtant, à son minuscule appareil, un très grand avenir. Lutter contre la contrefaçon. Mashable. If there's one downside to powerful computers, it's that they're too damn big.
Luckily, that's about to change. At least, if IBM has anything to say about it. March 19 is the first day of IBM Think 2018, the company's flagship conference, where the company will unveil what it claims is the world's smallest computer. They're not kidding: It's literally smaller than a grain of salt. But don't let the size fool you: This sucker has the computing power of the x86 chip from 1990. The computer will cost less than ten cents to manufacture, and will also pack "several hundred thousand transistors," according to the company.
Ginni Rometty keynote: CES 2016. HP va investir 1 milliard de dollars dans le Cloud open-source. Celui qui contrôle le Cloud contrôle les services.
HP se réveille, certes, tard, mais l'entreprise a annoncé mercredi qu'il allait investir un milliard de dollars sur deux ans dans l'informatique dématérialisée sur Internet. Mais à la différence de la plupart de ses concurrents, HP mise sur une structure open-source. HP lance une nouvelle marque pour l'occasion, baptisée Helion, pour rassembler ses produits liés au Cloud. Ils sont basés sur l'infrastructure OpenStack cofondée par l'entreprise.
Certains services sont gratuits pour des projets de particuliers, d'autres sont payants, notamment pour les entreprises. Selon HP, adopter une structure open-source a plusieurs avantages: il est facile de tout migrer vers un autre fournisseur et les architectures hybrides et la customisation sont simplifiées. Globalfoundries rachèterait les semiconducteurs d'IBM. 100 - Welcome to IBM100. Après les serveurs, IBM se séparerait de ses puces ? Au mois de janvier, on apprenait qu'IBM avait cédé son département serveurs x86 à Lenovo pour 2,3 milliards de dollars afin de se recentrer sur la nouvelle ligne de l'entreprise qui mise davantage sur les services et les logiciels.
Selon le Financial Times, Big Blue pourrait chercher à se séparer de sa branche semi-conducteurs qui a pourtant contribué à sa renommée. On pense notamment à l'architecture Power utilisée dans les PowerPC des Mac Pro, le Cell de la PS3 ou encore le Power7 qui prend place au sein du supercalculateur Watson.