Visage à espace. Le visage dans le miroir joue un grand rôle dans notre vie.
En général, on s'identifie à lui ; on devient lui : ce que je vois là-bas dans le miroir j'affirme que c'est moi. Le visage dans le miroir a donc un énorme pouvoir : celui de me transformer en un être de chair et d'os, petit, limité, mortel. Il agit comme la méduse du mythe grec qui d'un simple regard transformait les hommes en statue de pierre. Mais si je suis bien attentif, le miroir peut au contraire devenir mon meilleur ami, celui qui me libère, mon gourou. Le visage me montre en fait ce que je ne suis pas et si je prête attention aux faits, il peut m'éveiller à ce que je suis vraiment, vraiment. Là-bas dans le miroir, je vois des couleurs; ici du coté de celui qui regarde, je ne vois aucune couleur.
Pensée du 09 février 13. -Philippe MEIRIEU: "Désir d'apprendre" Dimanche 13 janvier 2013 7 13 /01 /Jan /2013 14:07 La modernité exaspère la contradiction entre le désir de savoir - tout et tout de suite - et le projet d'apprendre qui impose de tâtonner, d'assumer l'ignorance et d'apprivoiser le temps. « Savoir » et « apprendre » ne sont pas synonymes.
Le goût d'apprendre s'est effondré chez beaucoup d'élèves dans la volonté de savoir. C'est parce qu'ils veulent « savoir tout de suite » qu'ils ne comprennent pas la nécessité d'apprendre. La modernité technique elle-même organise de manière systématique nos activités pour que nous puissions savoir sans apprendre et sans avoir appris. Il faut que les enseignants comprennent que la modernité agit de la sorte ; dans le cas contraire, ils ne comprendront pas pourquoi il est si difficile aux élèves de renoncer à savoir tout de suite pour prendre le temps d'apprendre.
De la même manière, la modernité exaspère une contradiction entre « le primat du réussir » et « le primat du comprendre ». Jung Carl Gustav - Site d'information et de ressources jungiennes cgjung.net. Ten Things Science Taught Us About Happiness in 2012. (Photo: Ed Yourdon / Flickr)Last year's most surprising, provocative, and inspiring findings on the science of living a meaningful life.
The science we cover here on Greater Good—aka, “the science of a meaningful life”—has exploded over the past 10 years, with many more studies published each year on gratitude, mindfulness, and our other core themes than we saw a decade ago. 2012 was no exception. In fact, in the year just past, new findings added nuance, depth, and even some caveats to our understanding of the science of a meaningful life. Here are 10 of the scientific insights that made the biggest impression on us in 2012—the findings most likely to resonate in scientific journals and the public consciousness in the years to come, listed in roughly the order in which they were published. 1.
“Regulating compassion is often seen as motivated by self-interest, as when people keep money for themselves rather than donate it,” write the researchers. Jon Stewart interviews George Carlin. George Carlin **OFFICIAL** You Are All Diseased - Children. -Science: Notre cerveau est génial ! "On sait que c’est l’entité la plus complexe de l’univers connu.
Mais les découvertes se multiplient et font exploser tous les schémas. Notre cerveau est bien plus élastique que prévu, ses neurones peuvent même repousser. Et il fonctionne en wifi, relié aux cerveaux des autres. " On sait que c’est l’entité la plus complexe de l’univers connu. Mais les découvertes se multiplient et font exploser tous les schémas. 1, un cerveau plastique qui peut voir avec la peau L’idée de plasticité corticale et neuronale ne figure dans aucun programme de médecine avant les années 1990 : les premiers qui en parlent sont ridiculisés, tels Paul Bach-y-Rita et son frère George, deux médecins hors norme qui, à la fin des années 1960, réussissent à sauver leur père, un professeur de tango paralysé par un accident vasculaire cérébral (AVC) et que les neurologues disaient condamné. 2, des trillons de milliards de réseaux neuronaux De nouveaux neurones ? 3, à plein régime et en permanence. How Plants Feel. A hormone called jasmonate mediates plants' responses to touch and can boost defenses against pests.
PROTECTIVE TOUCH: After 4 weeks of being gently bent back and forth 10 times, twice a day, Arabidopsis plants unable to produce the hormone jasmonate exhibited normal growth (left), while the plants that could produce jasmonate when touched had delayed flowering, shorter flower stems, and smaller leaf clusters (right). Plants that were touched also had smaller wounds from a fungal infection, and moth larvae that fed on touched plants did not grow as large.© JOELLE BOLT THE PAPER E.W. Chehab et al., “Arabidopsis touch-induced morphogenesis is jasmonate mediated and protects against pests,” Cur Biol, 22:701-06, 2012. Although it’s known that plants can detect and respond to touch, how they relay information from physical contact has been less clear.