Areva suspends Trekkopje uranium mine project - iNamibia. Tuesday, 13 December 2011 Staff Writer | Published in: Business News Areva has decided to suspend the Trekkopje uranium mine project. The company hopes to resume the project in 2016, if the uranium price recovers sufficiently. Areva revised the resource estimate for the Trekkopje deposit from 45,200 t U to 26,000 t U, since chemical analysis of ore samples showed much lower uranium concentrations than expected from radiometric monitoring, in particular for low grade ores. The production cost estimate for the mine thus increases, correspondingly. Rumours already started in October Areva planned to abandon the Trekkopje uranium mine project as part of a massive restructuring program that is to be set up in reaction to a drop in demand caused by the German nuclear phase-out and the Fukushima disaster.
Meanwhile, the future of the Areva Desalination Plantis also uncertain. "As the EDC plant was only commissioned in April this year, it is too early to make a comparative analysis. Business. Les 17 milliards de CFA d’Areva au Niger ont bien payé l’avion présidentiel ! Vendredi 20 décembre, Stéphane Lhomme se présente devant la justice, accusé de diffamation par Areva.
En décembre 2012, le directeur de l’Observatoire du nucléaire avait commenté un don de 25 millions d’euros (environ 17 milliards de francs CFA) effectué par le géant du nucléaire français au budget 2013 du Niger, dénonçant « une manœuvre de corruption, probablement sur le plan légal et assurément sur le plan moral ». Démenti formel d’Areva, dans un premier temps. Puis l’industriel avait bien dû reconnaître qu’une somme avait été versée puisque Massaoudou Hassoumi, directeur de cabinet du président nigérien, crachait le morceau début janvier 2013. Il s’agissait même d’une somme de 35 millions d’euros étalée sur trois ans, expliquait-il, en dédommagement de l’ajournement par Areva de l’ouverture de la mine d’uranium prévue à Imouraren, occasionnant un manque à gagner important pour le Niger, très dépendant des revenus de l’uranium. Stéphane Lhomme tire une nouvelle cartouche. La face cachée du nucléaire français.
Depuis 40 ans, le développement du nucléaire est justifié au nom de « l’indépendance énergétique » de notre pays.
Pourtant, avant même la fermeture de la dernière mine d’uranium française, en 2001, le combustible nécessaire aux centrales françaises était importé en grande partie. Il l’est maintenant en totalité. Si les sources d’approvisionnement se sont diversifiées, le sous-sol africain a été historiquement, et reste encore aujourd’hui indispensable au fonctionnement de notre parc électronucléaire. Comment peut-on alors parler d’indépendance énergétique ? C’est simple, il suffit à nos dirigeants de considérer que le sous-sol des anciennes colonies françaises continue d’appartenir à l’ex-métropole, ou de payer l’uranium à un prix tellement dérisoire qu’il en devient négligeable. Survolez les pays pour connaître la situation locale. La mission de Survie se concentre principalement sur la lutte contre la Françafrique.
Areva : Minimise les manifestations d'Arlit, renégociations. (CercleFinance.com) - Areva a contesté les informations selon lesquelles hier à Arlit, ville du Nord du Niger près de laquelle le groupe exploite des gisements d'uranium, aurait eu lieu une manifestation “hostile” qui aurait rassemblé jusqu'à 5.000 personnes, selon certaines sources et agences de presse.
“Des collaborateurs nigériens d'Areva ont pu dénombrer environ 200 participants lors de ce rassemblement. Des photographies prises sur les lieux sont mises à la disposition des médias souhaitant évaluer l'ampleur de cet événement”, affirme le groupe. Dans le Nord du Niger, Areva exploite des gisements via les co-entreprises Cominak (détenue à 63,4% par le groupe français) et de Somaïr (à 34%). Une troisième mine d'importance, Imouraren (dont la société d'exploitation est détenue à 66,6% par Areva), est en cours de développement pour une entrée en production prévue en 2015. Copyright (c) 2013 CercleFinance.com. Vous suivez cette action ? 4 pages "Areva en Afrique" Depuis 40 ans, le développement du nucléaire est justifié au nom de « l’indépendance énergétique » de notre pays.
Pourtant, avant même la fermeture de la dernière mine d’uranium française, en 2001, le combustible nécessaire aux centrales françaises était importé en grande partie. Il l’est maintenant en totalité. Si les sources d’approvisionnement se sont diversifiées, le sous-sol africain a été historiquement, et reste encore aujourd’hui indispensable au fonctionnement de notre parc électronucléaire. Comment peut-on alors parler d’indépendance énergétique ? C’est simple, il suffit à nos dirigeants de considérer que le sous-sol des anciennes colonies françaises continue d’appartenir à l’ex-métropole, ou de payer l’uranium à un prix tellement dérisoire qu’il en devient négligeable.