Panel citoyen pour l’arrêt du nucléaire cyberaction. #nucléaireL'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) cherche actuellement à constituer un « panel citoyen » de riverains des centrales nucléaires pour « affiner sa stratégie post-accident ».
Dans le même temps elle consulte le public « sur les conditions de la poursuite de fonctionnement des réacteurs de 900 MWe au-delà de 40 ans ». La seule stratégie acceptable est d’empêcher l’accident. Et les seules conditions qui garantissent qu’il n’arrivera pas est l’arrêt définitif de tous les réacteurs en activité, l’interdiction de mise en service de l’EPR de Flamanville et l’interdiction de construction de nouveaux réacteurs. L’ASN doit faire ce travail de salubrité publique en commençant par décider l’arrêt définitif des réacteurs qui ont atteint 40 ans ou qui ne vont pas tarder à les atteindre : Bugey, Tricastin, Dampierre, Gravelines, Saint Laurent des Eaux, Blayais, Chinon, Cruas, etc.
. [ 1 234 participations ] Cyberaction mise en ligne le 23 décembre 2020. ICEDA : halte à la contamination nucléaire généralisée cyberaction. La mise en service de l'ICEDA (Installation de Conditionnement et d'Entreposage de Déchets Activés), sur le site nucléaire du Bugey dans l’Ain, va générer de nombreux transports de matières et déchets radioactifs sur nos routes et voies ferrées, dans nos villes et villages, du Nord au Sud et d’Ouest en Est, à moins que ce soit l’inverse !
[ 1 038 participations ] Cyberaction mise en ligne le 07 octobre 2020 Proposée par CyberacteursEn partenariat avec Sortir du Nucléaire Cornouaille, Stop-Bugey , la FAN Bretagne. LA PHOTO ROUGE (10 ) Pour un référendum sur la sortie du nucléaire en France. EDF est à la veille de choix cruciaux pour l'avenir de la filière énergétique de la France.
Des investissements énormes vont devoir être faits pour prolonger la durée de vie du parc nucléaire et construire de nouveaux réacteurs. Ces choix vont nous engager pour les 50 prochaines années. Cette décision ne peut être celle d'un homme ou d'un parti politique, il ne peut être fait que par les citoyens conscients des enjeux et des risques pour les générations futures. La poubelle nucléaire française est pleine, le projet d'enfouissement de Bure est un aveu d'impuissance, l'accident de Fukushima a montré que tous les risques ne peuvent pas être pris en compte, EDF est endetté et ne pourra faire face au coût du démantèlement sans cesse renvoyé sur les générations futures.
Il est temps d'être réalistes et de regarder les choses en face, une page est en train de se tourner. ACDN - Action des Citoyens pour le Désarmement Nucléaire. 1. 29 novembre : COP 21 et libertés publiques ACDN, qui avait dénoncé le 27 novembre la scandaleuse interdiction de la manifestation pour le climat à La Rochelle se félicite que le gouvernement, sous l’effet du concert de protestations que sa politique a suscitées, ait finalement ordonné aux préfets d’autoriser les rassemblements pour le climat, à La Rochelle et ailleurs.
A La Rochelle, malgré la précédente interdiction, plus de 450 personnes (selon un comptage précis) se sont rassemblées le 29 novembre pour encercler le bassin du Vieux Port d’une joyeuse chaîne humaine et défendre le projet d’un monde vivable. ACDN y a porté le mot d’ordre : ni nucléaire, ni effet de serre ! L’absence de tout incident pendant cette manifestation comme pendant le Marathon qui venait de rassembler des milliers de personnes, prouve que la mobilisation citoyenne pour une cause, quelle qu’elle soit, doit se poursuivre sans se laisser intimider ni par le terrorisme, ni par « l’état d’urgence ».
Les Greenwashers ont suivi Nicolas S., militant d'Areva, caché sous un panneau solaire. Deux ans de prison pour avoir bloqué un convoi d'uranium ? Terry Morantin encourt deux ans de prison et 4 500 euros d’amende.
Elle est inculpée d’ « entrave à la circulation » d’un transport de matières dangereuses. Le 12 septembre 2013, cette militante anti-nucléaire a participé à une action du collectif Stop Uranium devant l’usine Areva-Comurhex de Malvési, près de Narbonne. Avec une quarantaine d’autres militants, ils ont bloqué un camion chargé de tétrafluorure d’uranium, aussi appelé UF4 – une substance radioactive servant à fabriquer le combustible des réacteurs nucléaires. « Pas moins de trois à cinq camions d’UF4 quittent chaque jour cette usine, et circulent sur plus de 200 km entre Narbonne et Pierrelatte, sans escorte ni information aux riverains », accuse le collectif Stop Uranium.
Ce jour-là, les manifestants se couchent sur la route, s’enchainent devant le convoi, déploient des banderoles anti-nucléaires, mesurent la radioactivité autour du camion bloqué. Nous sommes tou-te-s des bloqueurs-ses d'uranium ! Journée nationale d'action samedi 13 octobre 2012. Nucléaire - arrêt immédiat. 2ème édition- Oct 2012 IntroductionDevant l’évidence reconnue de son urgente nécessité, proposer et surtout justifier un scénario d’arrêt immédiat du nucléaire peut se révéler être un exercice absurde : chaque jour qui passe ne nous rapproche-t-il pas davantage d’une catastrophe irrémédiable ?
… 1ère partie : arrêter pourquoi ? Risque « d’accident » et réalité des déchets : le déni d’une civilisation. Avignon : Nouvelle action de contournement de l'Omerta nucléaire. Un convoi nucléaire bloqué à Lille. Un convoi de déchets nucléaires, parti mardi des Pays-Bas, a été arrêté durant un quart d’heure après avoir franchi la frontière franco-belge dans la région lilloise (Nord) à la suite d’une action de militants anti-nucléaires, a-t-on appris auprès de ces derniers. Entré en France vers 22H00, venant de Belgique, le train a été arrêté quelques minutes plus tard, a indiqué Laura Hameaux, porte-parole de Sortir du Nucléaire. Il venait de quitter la gare belge de Mouscron où il était arrivé vers 21H20.
«J’ai reçu un message de militants disant qu’ils avaient arrêté un TER sur la voie, qui précédait le convoi, et que celui-ci est bloqué derrière», a expliqué Mme Hameaux, selon qui le convoi a ainsi été arrêté 15 minutes. Etrange convoi nucléaire à la gare.
Pour une remise en question du "Tout Nucléaire Français" Nucléaire : Outre-Rhin, on demande la fermeture de Cattenom.