The dystopian lake filled by the world’s tech lust. WHEN THE RIVERS RUN BLACK — Beautiful Stories. ELECTRICITY CHANGED EVERYTHING IN KINGSTON.
One hundred years ago, it was a sparsely populated backwater in one of America’s poorest regions. Satellite images show how factory farms alter our landscape. I think, at least I hope, that most people are aware of the mass quantities of water, grains, medicines, and land required to produce the levels of beef that we consume (and I do love my steak)... and the vast amounts of methane and waste produced.
Beyond that information, as long as a flood doesn't cause those lagoons to breach, the fact that they exist is not environmentally harmful outside their immediate vicinity. But of course, crap happens. The problem is, it becomes not just a humane/environmental issue but an economic and political one. If you ban the feedlots, then the price of domestic beef goes up and imports from countries that do not have those restrictions increases. There are no easy solutions, but we should always be looking for ways to reduce environmental impact and make our food production more humane. Most of these figures that get thrown around are either inflated, or are based on distorted logic (cattle farming doesn't need to involve industrial farming). Dans le Pacifique, un continent de déchets plastiques… et un insecte. Par Quentin Mauguit, Futura-Sciences La rencontre de quatre grands courants océaniques dans la Pacifique nord alimente une gigantesque gyre (appelée ou NPSG), tournant dans le sens des aiguilles d’une montre.
D’une surface de 34 millions de km², elle abrite en son centre une zone calme. De nombreux déchets, principalement des microplastiques , y terminent leur dérive, emprisonnés pour très longtemps. Les chiffres caractérisant la « grande plaque d'ordures du Pacifique » sont impressionnants. Les nanoplastiques, prochain fléau des océans ? Par Quentin Mauguit, Futura-Sciences Les océans abritent d’impressionnantes quantités de déchets principalement composés de microplastiques (moins de 1 mm de diamètre). L’existence de la plaque d’ordures du Pacifique s’étendant sur 3,43 millions de km², parfois jusqu’à 30 m de profondeur, peut en témoigner.
À la suite de leur dégradation, ces déchets se transforment progressivement en nanoplastiques, c’est-à-dire en particules ne mesurant que quelques dizaines de nanomètres de diamètre. Ils s’ajoutent alors aux nanomatériaux produits par l’industrie, par exemple en cosmétique, et qui finissent eux aussi leur vie en mer. Les conséquences de cette pollution sur la vie aquatique sont peu connues, notamment chez les organismes filtrant tels que les moules. Mises en présence de concentrations variables de billes en polystyrène mesurant seulement 30 nm de diamètre, les moules ont montré un manque d’appétit, un comportement pouvant être dommageable pour leur croissance. Zone humide : une première cartographie mondiale inquiétante. Pollution in China the World's Worst [PHOTOS] SkyTruth: l’anti-Yann Arthus Bertrand. Depuis 2001, John Amos déploie ses compétences d'analyste d'imagerie satellitaire pour évaluer l'impact environnemental réel des activités humaines.
Interview avec celui qui espère faire de SkyTruth un modèle de vérification des données écologiques. Lancée en 2001, l’ONG SkyTruth a décodé des centaines d’images satellitaires de toute une panoplie de désastres provoqués par les activités industrielles, agricoles ou immobilières : nappes de pétrole, déforestation, glissement de terrain et autres inondations. Loin de l’imagerie esthétisante de Yann Artus Bertrand ou de Nicolas Hulot, John Amos livre en Creative Commons des clichés expertisés à destination du public.
Découvert sur FlickR dans nos recherches de photographies sur les gaz de schiste, ce géologue a accepté de répondre à quelques questions pour OWNI. Comment vous est venue l’idée de SkyTruth ? La mine à ciel ouvert de Cerro de Pasco (Perou) au coeur d'une ville de 70.000 habitants. World's oceans in 'shocking' decline. 20 June 2011Last updated at 13:24 By Richard Black Environment correspondent, BBC News Coral reefs are subject to "multiple stressors" that could destroy many within a human generation.
Les océans pollués dangereusement par le plastique e. Un exemple de la pollution des côtes du Japon par les plastiques.
Notez l'énorme bloc de polystyrène expansé. Crédit : Katsuhiko Saido Les océans pollués dangereusement par le plastique en décomposition - 1 Photo Katsuhiko Saido est un chimiste membre du College of Pharmacy de l’Université Nihon à Chiba (Japon). Avec des collègues, ils eurent une désagréable surprise en découvrant que le plastique que l’on croyait plutôt stable dans l’océan se décomposait en fait assez rapidement. Or, celui-ci libère du bisphènol A (BPA) et un polymère appelé PS oligomère. Saïdo et les membres de son équipe de recherche ont précisément détecté du BPA et du PS dans des proportions de l’ordre d’une part par million dans l’eau des océans. Comme le rejet d’objets en plastique s'amplifie dans l’océan, il y a de quoi s’inquiéter. Si l’on en croit Saïdo, la situation pourrait même être bien plus préoccupante. A voir aussi sur Internet.