Métiers manuels : comment ils ont réussi sans le bac. A l’heure où le ministre de l'Education Vincent Peillon parle de revaloriser la voie professionnelle, le livre de Julien Millanvoye, "J’ai un métier" (Editions Globe L’école des loisirs, Paris mars 2013), fait du bien.
Il est un plaidoyer – ou plutôt un panégyrique - pour les métiers dits manuels, ceux qui font tant défaut au tissu économique français. Ces histoires de travail acharné, d’entraînement au geste parfait, se déploient à des années lumières du mépris que suscitent généralement les parcours professionnels. "Passe ton bac d’abord" est encore le refrain à la mode. A qui appartient le savoir ? Programme PISA. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le programme PISA (acronyme pour « Program for International Student Assessment » en anglais, et pour « Programme international pour le suivi des acquis des élèves » en français) est un ensemble d'études menées par l'OCDE et visant à la mesure des performances des systèmes éducatifs des pays membres et non membres. Leur publication est triennale. La première étude fut menée en 2000. Les résultats des études menées en 2012 ont été publiés en décembre 2013. Objectifs[modifier | modifier le code] Comparer les performances de différents systèmes éducatifs en évaluant les compétences acquises par les élèves en fin d'obligation scolaire (quinze ans).
Méthodologie[modifier | modifier le code] Domaine d'évaluation[modifier | modifier le code] Chaque évaluation met l'accent sur une compétence particulière, en 2000 sur la lecture[1], en 2003 sur les mathématiques[1] et en 2006 sur les sciences[1]. Un aménagement des salles de classe plus flexible augmenterait l'attention des élèves. ÉDUCATION - L'école n'en finit plus de déchaîner les passions.
En proie à la grogne du corps enseignant pour sa réforme des rythmes scolaires, le ministre de l'Éducation, Vincent Peillon, a semé le trouble ce dimanche, en préconisant une réduction des vacances d'été à six semaines et réparties en deux zones avant de faire marche arrière sous les critiques de l'opposition. Mais les hommes politiques ne sont pas les seuls à s'intéresser de près à la qualité de l'enseignement des futures forces vives de la nation.
Loin du tumulte médiatique, les scientifiques sont de plus en plus nombreux à se pencher sur l'environnement des lieux d'apprentissage.Une récente étude de l'Université de Salford au Rouyaume-Uni vient d'ailleurs d'établir une corrélation entre le niveau d'apprentissage des étudiants et l'agencement des salles de classe. Prime à la mobilité des infrastructures L'Université de Salford n'est pas la seule à s'être saisie du problème. 80% des étudiants satisfaits. Montessori, des beaux quartiers aux enfants pauvres de Noisy. Depuis un an et demi, une trentaine d’enfants de Noisy-le-Grand profitent de la pédagogie Montessori.
Objectif : lutter contre la reproduction de l’échec scolaire. Mercredi, des bénévoles d’ATD Quart Monde viennent chercher les enfants chez eux (Jennifer Delrieux/Rue89) Mercredi matin, 10 heures. Pédagogie inversée : des résultats scolaires nettement supérieurs. Au Calhoun Community College, en Alabama, les étudiants sont responsables de connaître la matière avant d’arriver en classe.
Sur place, ils travaillent ensemble sur des projets leur permettant de progresser dans leurs apprentissages, tout en menant des discussions significatives avec l’enseignant. Bienvenue à l’ère de la classe inversée! Le concept de classe inversée est très populaire ces temps-ci. L’idée a notamment fait du chemin avec la popularité grandissante de la Khan Academy, un espace Web qui fait la promotion de l’apprentissage libre et gratuit pour tous. Au Calhoun Community College, c’est la réalité de plusieurs groupes.
Dans les dernières années, le Calhoun Community College a vu sa clientèle augmenter de 25 % en raison de l’explosion démographique. La dynamique de classe inversée s’y est imposée naturellement. « C’est une philosophie et non une méthodologie, note Bobbi Jo Carter, coordonnatrice de l’apprentissage numérique au collège. À lire aussi : Pour suivre l’auteur : Une école, des élèves, mais pas de salle de classe. École expérimentale - Création école - Rennes et Ille-et-Vilaine. Petite Poucette, la génération mutante. Michel Serres, diplômé de l’Ecole navale et de Normale Sup, a visité le monde avant de l’expliquer à des générations d’étudiants.
Historien des sciences et agrégé de philosophie, ancien compagnon de Michel Foucault, avec qui il a créé le Centre universitaire expérimental de Vincennes en 1968, il a suivi René Girard aux Etats-Unis, où il enseigne toujours, à plus de 80 ans. Ce prof baroudeur, académicien pas tout à fait comme les autres, scrute les transformations du monde et des hommes de son œil bleu et bienveillant.
Son sujet de prédilection : la jeune génération, qui grandit dans un monde bouleversé, en proie à des changements comparables à ceux de la fin de l’Antiquité. La planète change, ils changent aussi, ont tout à réinventer. «Soyons indulgents avec eux, ce sont des mutants», implore Michel Serres, par ailleurs sévère sur sa génération et la suivante, qui laisseront les sociétés occidentales en friche.
Vous annoncez qu’un «nouvel humain» est né. Comment prenons-nous nos décisions ?