« Plus les inégalités hommes-femmes sont marquées, plus les taux de violence sont élevés » En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d’intérêts.
En savoir plus et gérer ces paramètres. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par François Béguin Une étude publiée mercredi 7 mai par les ministères de l'intérieur et des droits des femmes rapporte que la violence conjugale a fait 146 morts en 2013 en France (121 femmes et 25 hommes). Un chiffre en baisse par rapport à 2012, où 148 femmes et 26 hommes avaient péri, soit au total 174 victimes de la violence conjugale. Lire : 146 personnes mortes lors de violences conjugales en 2013 Françoise Brié, vice-présidente de la Fédération nationale solidarité femmes (FNSF), un regroupement d'associations qui luttent contre les violences, analyse les raisons de cette baisse. Cette baisse du nombre de morts pour cause de violence conjugale est-elle le fruit des politiques menées ces dernières années ?
Joystick : apologie du viol et culture du machisme. Retour de Mar_Lard, pour un coup de gueule contre Joystick, un magazine de référence sur les jeux vidéo.
(TRIGGER WARNING : Cet article contient des références explicites au viol et aux agressions sexuelles.) EDIT: le magazine Joystick a publié une réponse sur sa page Facebook. Laissez-moi vous conter une histoire. Hier, alors qu’en route pour visiter sa Mère-Grand elle attendait innocemment son train, la douce et pure @NeukdeSogoul s’aventura dans la forêt obscure du kiosque à journaux. Au lieu de se diriger immédiatement vers le rayon Féminins comme une bonne petite fille, elle s’est égarée du coté des magazines de jeux vidéo, la vilaine. Et elle fut édifiée. Comme elle sait que je kiffe la misogynie et encore plus dans mes jeux vidéo, elle m’a signalé le dossier en question.
Donc on va en parler. Women rights in the world / Droits des Femmes dans le monde Le darwinisme et l'inquiétante normalité du viol. ".
Son objet est de partir de l'affaire DSK et des réactions à celle-ci pour montrer que ces événements peuvent être expliqués à l'aide du darwinisme et de la sélection sexuelle. quant aux travaux qui entendent appliquer les théories de l'évolution au monde social. Après lecture, je maintiens celui-ci. Pourtant l'argumentation développée par Peggy Sastre est plus subtilement construite et plus solidement référencée que la moyenne, à défaut d'être vraiment convaincante. Alors, qu'est-ce qui cloche ? Simplement le fait que je ne suis pas sûr que, parvenu à la fin, on ait vraiment expliqué grand chose.
Évidemment, tout n'est pas parfait, et il y a quelques passages pour le moins étonnant, comme lorsqu'elle utilise un google fight pour essayer de prouver que combien le viol est répandu... Résumons brièvement son argument - même si le lecteur vigilant préférera lire l'original, ne serait-ce que pour s'assurer que je ne déforme pas trop. Ici, Peggy Sastre confond causes et raisons. Où sont les femmes ? Tuer sa femme quand elle veut partir : une circonstance atténuante - Mauvais genre(s) Par mauvaisgenres dans C'est du vécu le 5 Juillet 2011 à 14:34 La journée démarre mal mais au moins elle m'inspire quelques lignes après deux mois de disette bloguesque.
Hier, l'info circulait sur le site internet du journal local : une femme a été tuée d'un coup de fusil par son ex compagnon qui ne se supportait pas leur séparation. L'homme a ensuite retourné l'arme contre lui. C'est la deuxième fois en un mois qu'un homme ne supportant pas voir sa femme partir, choisisse la seule possibilité pour lui de l'en empêcher : la tuer. Ce matin, dans le journal local, rien en "Une" (bon c'est vrai l'homme en question ne vit pas en "cité", il a un statut social : il est prof d'EPS... je n'ose imaginer le traitement de cette histoire avec d'autres catégories sociales) , et en pages intérieures ce titre glaçant : "un couple d'enseignants se déchire à coups de fusil"
. - 04 juillet : à Marseille, Laetitia meurt tuée d'un coup de fusil par Pierre, son ex-compagnon qui ne supporte pas son départ.