Jours fériés & fêtes religieuses - Japon (ASIE) - MEETING, INCENTIVE, CONGRESS, EVENT. Jours fériés au Japon. Les Japonais travaillent beaucoup (de longues heures, en tout cas) et rechignent parfois même à prendre leurs vacances.
Régulièrement, le gouvernement ajoute donc des jours fériés pour "forcer" les salariés à se reposer. Voici la liste des fêtes nationales qui correspondent aux jours fériés au Japon. Ces jours marquent également le congé de la plupart des administrations, ainsi que de certains jardins japonais, parcs, musées et temples / sanctuaires. Bon à savoir dans le cadre d'un voyage au Japon : si un jour férié tombe un dimanche, c’est le lundi (le lendemain) qui est chômé.
Pour être tout à fait précis, il convient d'ajouter à cette liste de nombreuses fêtes régionales et locales, mais qui ne sont que très rarement des jours chômés. Au Japon, il existe également un concept traditionnellement très fort, une à deux fois par an : il s'agit de plusieurs jours fériés d'affilée qui, mis bout à bout, constituent une petite semaine de repos pour beaucoup de Japonais.
Les jours fériés du Japon. Pour éviter de vous casser le nez sur la porte d’un musée, d’un restaurant ou d’un temple lors de votre voyage, découvrez les fêtes nationales japonaises !
Le jour de l'an (1er janvier) La nouvelle année japonaise commence par un grand nettoyage (ôsôji) destiné à purifier la maison. Il est aussi de coutume de se rendre au temple dès minuit pour découvrir les prédictions de l'année (omikuji). Jour des Adultes (2ème lundi de janvier) Chaque année une cérémonie est organisée pour les Japonais de 20 ans, afin de célébrer leur majorité civile. Jour de la fondation du Japon (11 février) On célèbre la création de l'Etat japonais, le 11 février 660 avant JC, par le légendaire Empereur Jimmu.
Équinoxe de printemps (20 ou 21 mars) Pour fêter le changement de saison, de nombreux Japonais fleurissent les tombes de leurs ancêtres. Fête de la Verdure (29 avril) A l'origine, le 29 avril, on fêtait l'anniversaire de l' Empereur Hirohito. Les religions au Japon. Au Japon, deux religions cohabitent et se mélangent dans la vie d’un japonais : le shintoïsme et le bouddhisme.
Une telle mixité est difficile à comprendre pour un occidental, habitué aux grandes religions monothéistes et exclusives. Un grand nombre de sectes découlent également des ces religions, avec des pratiques différentes, compliquant encore plus le tableau. Enfin, on y trouvera aussi une petite communauté chrétienne (2% de la population), issue des comptoirs portugais que le Japon a connu de 1543 jusqu’à leur fin et l’interdiction du christianisme en 1637. Le shinto Le shinto (la Voie des dieux) est la religion d’origine du Japon. Les origines du Shinto sont très lointaines et remontent probablement à la protohistoire. Le shinto ne s’embarrasse pas de métaphysique et reste terre à terre, quelque peu égocentrique. Le bouddhisme Le bouddhisme, originaire d’Inde, fut importé au Japon par l’intermédiaire de la Chine au VI° siècle. Fêtes, célébrations, rites, us et coutumes liés au calendrier japonais. Janvier Shôgatsu : le Nouvel An Le terme shôgatsu désigne à l’origine le premier mois de l’année ainsi que les fêtes et autres rituels qui marquaient traditionnellement cette période durant quatre semaines et en faisaient l’événement le plus important du calendrier japonais.
À l’heure actuelle, il correspond plutôt à la première semaine de l’année. À cette occasion, les habitants de l’Archipel décorent volontiers leur maison, en particulier l’entrée, le petit autel shintô ou le tokonoma, une niche aménagée dans le mur de la pièce principale où l’on expose des objets d’art et un arrangement de fleurs. Ils portent des vêtements traditionnels et mangent la cuisine traditionnelle du Nouvel An (osechi), ainsi que des zôni, des morceaux de gâteaux de riz glutineux pilé (mochi) servis dans un bouillon à base de légumes et de poisson agrémenté de divers ingrédients en fonction des régions. Article lié : [Diaporama] La cuisine traditionnelle du Nouvel An Février Article lié : La fête du Setsubun.