Ghost in the shell - Recherche AlloCiné. Ghost in the Shell. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autre. Ghost in the Shell (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Un second long-métrage reprenant certains personnages, Innocence : Ghost in the Shell 2, a été supervisé par le même réalisateur en 2004. Mamoru Oshii a également adapté le manga sous la forme d'une série animée, Ghost in the Shell: Stand Alone Complex, en 2002-2005. En 2008, un remake du premier film avec nouveaux effets spéciaux a été réalisé sous le nom Ghost in the Shell 2.0.
Cette traque se fait sur un fond de guerre des services avec la section 6, qui s'intéresse elle aussi au Puppet master dans le cadre d'un projet mystérieux, le « projet 2501 ». Outre l'élagage des nombreuses digressions du manga, le film a aussi supprimé la partie mecha (armures mécanisées). Le film est surtout axé sur la psychologie du major Motoko Kusanagi, et surtout sur l'angoisse métaphysique qu'elle ressent d'occuper un corps qui ne lui appartient pas mais est une création artificielle. Philosophy of Ghost in the Shell. The Ghost in the Shell series of anime and manga titles is a Japanese cyberpunk story that offers many observations on present day philosophy and speculations on future philosophy.
Yet, as those criminals are revealed to have more depth than was at first apparent, the various protagonists are left with disturbing questions: "What exactly is the definition of 'human' in a society where a mind can be copied and the body replaced with a synthetic form? " Ghost in the Shell 2: Innocence. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Synopsis[modifier | modifier le code] Innocence débute par une citation : « Si nos dieux et nos espoirs ne sont rien d'autre que des phénomènes scientifiques, alors notre amour est également scientifique. » — Auguste de Villiers de l'Isle-Adam, L'Ève future, 1886 Batou est accompagné de la pensée (du ghost) du major Kusanagi, selon ses propres termes son ange gardien ; ou plutôt de l'être issu de la fusion de la conscience du major et du Puppet Master, un programme informatique (connu sous le nom de « projet 2501 ») et agent intelligent autonome né de l'océan de l'information, susceptible de s'incarner dans un corps et qui a échappé à ses concepteurs (voir Ghost in the Shell). Enfin, Batou découvrira le secret des gynoïdes sur un bateau surarmé qui croise au large dans les eaux internationales et qui sert d'usine de fabrication, en pénétrant grâce à son ange gardien le système informatique surprotégé.
Fiche technique[modifier | modifier le code] Ghost in the Shell - Schismatrice. Troisième cas traité : celui de Ghost in the Shell Générique : Un film de Mamoru Oshii, directeur de l’animation : Toshihiko Nishikubo, animateurs clé : Kazushika Kise et Hiroyuki Okiura, conception des personnages : Hiroyuki Okiura, concepteur armes et véhicules : Shoji Kawamori et Atsushi Takeushi, directeur artistique : Hiromasa Ogura, musique de Kenji Kawai, histoire basée sur le manga de Masamune Shirow et scénario de Kazunori Ito.
Résumé : Dans ce film d’animation japonais appartenant à la catégorie des Mangas, il est question d’une enquête visant à démasquer une entité des plus mystérieuses et des plus dangereuses (car s’infiltrant dans tous les réseaux informatiques classés top secret de l’Etat), appelée le « Puppet Master », qui s’avère par la force des choses devenir une véritable quête d’identité pour le principal intéressé de l’histoire, à savoir le major Motoko Kusanagi de la section 9 des forces de sécurité. Ghost in the Shell 2 : Innocence - Schismatrice. Quatrième cas traité : celui de Ghost in the Shell 2 : Innocence Générique : Un film de Mamoru Oshii, directeurs de l’animation : Toshihiko Nishikubo et Naoko Kusumi, conception des personnages : Hiroyuki Okiura, concepteur machines et véhicules : Atsushi Takeushi, superviseur des effets digitaux : Hiroyubi Hayashi, effets visuels : Hisashi Ezura, production designer : Yohei Taneda, directeur artistique : Shuichi Hirata, musique de Kenji Kawai, histoire basée sur le manga de Masamune Shirow et scénario de Mamoru Oshii.
Résumé : L’inspecteur Batou se doit de résoudre avec un nouveau partenaire (le major Motoko Kusanagi disparaissant à la fin du premier tome), à savoir l’agent humain Togusa, une série de meurtres horribles perpétrés par des robots domestiques à l’apparence féminine, des Gynoïdes. Le film : Dans ce film, et comme évoqué ci-dessus, il est question de vérité. Mamoru Oshii l’avoue lui même, Innocence est un drame pour adulte. Ghost in the Shell - analyse du film. Véritable date dans l'histoire du cinéma d'animation (voire dans l'histoire du cinéma tout court), le premier Ghost in the shell mis en scène par Mamoru Oshii (Patlabor, Avalon, Innocence) et inspiré du manga de Masamune Shirow (Appleseed, Dominion Tank Police) demeure une décennie plus tard un incontournable de la science-fiction contemporaine. Si la richesse de l'œuvre n'est sans doute plus à démontrer, son essence ne cesse de fasciner, car ce qui nous est présenté n'est ni plus ni moins que la fin de l'humanité et la naissance de sa succession.
Ghost In The Shell (1995) In 2029, Major Motoko Kusanagi spies on a building, where a foreign diplomat conspires with a hacker to seek asylum in his country.
The hacker is wanted to fix a “bug” in something called Project 2501. Review and Analysis: Ghost in the Shell, Solid State Society. The DVD for this feature-length OVA was given to me by my cousin visiting from out of town–thanks Neil!
Ghost in the Shell (1995) - Futuristic Crime Thriller. Ghost in the Shell 2: Innocence. ------------- Critique 1 ------------- Malaisé, dès lors, pour le spectateur, de se retrouver dans cet univers futuriste.
D'autant qu'après une demi-heure, la ténébreuse enquête le plonge dans un abîme d'incompréhension, comparable à celui d'un collégien devant l'examen d'un étudiant de math sup. Tant d'ostentation abstruse empêche de pleinement s'extasier devant cette suite longtemps attendue de Ghost in the Shell, par ailleurs brillantissime dans le développement de sa thématique. Car c'est très subtilement qu'Innocence pointe du doigt les dérives technologiques et montre la crise spirituelle qu'elles engendrent. D'un pessimisme indécrottable, son auteur évoque une société en voie de déshumanisation où même les robots se font harakiri. Et puis, entre deux citations philosophiques de Descartes ou de Milton, il nous balance un fulgurant gunfight façon John Woo.
-Gogeta- ------------- Critique 2 ------------- Enfin une suite ! L’anime en quête d’identité : la saga ghost in the shell. Au moyen d’une analyse des deux volets de ghost in the shell, Bruno Dequen examine les liens entre l’animation japonaise (anime) et les théories postmodernes.
Au delà de l’observation de certains thèmes postmodernes visibles au sein des deux récits, tels que la redéfinition de l’identité ou l’absence de sens stable, l’auteur s’attarde à démontrer en quoi les spécificités techniques de l’anime font de ce médium un outil d’expression privilégié pour la pensée postmoderne. Anime may be the perfect medium to capture what is perhaps the overriding issue of our day, the shifting nature of identity in a constantly changing society. […] In particular, animation’s emphasis on metamorphosis can be seen as the ideal artistic vehicle for expressing the postmodern obsession with fluctuating identity.
-Susan Napier [1] Susan Napier fait ainsi écho à l’intérêt théorique que l’anime suscite depuis quelques années. Ghost in the Shell (philosophical scenes) Ghost in the Shell - Inner Universe. Ghost in the Shell. Ghost-in-the-shell. Ghost in the Shell cyborg. Ghost-in-the-shell-2. Ghost in the Shell.