Annonces BODACC entreprise BEY MEDIAS. Fondateur Nicolas BEYTOUT Wikipédia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Biographie[modifier | modifier le code] Petit-fils de Pierre Beytout (qui se remarie avec Jacqueline Beytout), diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, il est journaliste à l’Économie, la Correspondance Économique, la Lettre des Échos, les Échos, dont il est nommé rédacteur en chef par sa grand-mère (deuxième épouse de son grand-père paternel)[1], propriétaire du titre à l'époque, puis comme directeur de la rédaction en 1996. Sa nomination par Serge Dassault en 2004 au même poste au Figaro provoque les critiques des syndicats de ce journal, qui craignent l'influence de ses propriétaires sur le contenu du journal. Francis Morel soulignera quelques années plus tard qu'« il a fait faire beaucoup de progrès au journal »[1].
Portrait en pied de Nicolas Beytout. « Rien qui dépasse.
La mèche proprement plaquée, une cravate sur une chemise bien mise, à fines rayures, ça va de soi, des chaussures bien cirées. Nicolas Beytout, 47 ans, directeur de la rédaction des Échos depuis 1996, a la tenue de l’emploi. Le bureau qui sied à son titre, sobre comme un livre de comptes. La maison est sérieuse, et Nicolas Beytout aussi, qui la tient bien.
Bien droite », « Nicolas Beytout, le manitou », Libération, 15/09/2003 Groupe de Bilderberg, Le Siècle, Medef, Commission Trilatérale, ami intime de Nicolas Sarkozy, petit-fils de l’ancienne propriétaire des Échos, Nicolas Beytout est LE porte-voix de la pensée unique mondialiste dans les médias. Petit fils (par alliance, mais sans lien direct de parenté, étant en fait le petit-fils de Pierre Beytout) de Jacqueline Beytout (née Egger en février 1918 à Marseille), qui avait racheté à la famille de Servan-Schreiber Les Échos de l’exportation en 1963. Non renseigné Invité du Centre du luxe et de la création. « Je sais. French American Foundation relais US. Lors de sa visite aux États-Unis, Nicolas Sarkozy prononça un discours, le 12 septembre 2006, à la French American Foundation (FAF, la « Fondation franco-américaine »).
Rappelant la nécessité de « rebâtir la relation transatlantique (…) et de favoriser la constitution d’une Europe politique forte et influente sur la scène internationale » [1], le prétendant à l’Élysée a dû ravir par ces propos les dirigeants de cette Fondation largement méconnue. L’étude de celle-ci est pourtant profitable afin de mieux saisir les liens ô combien étroits qui lient les élites franco-américaines. La FAF doit son origine aux actions de trois éminents États-Uniens [2] : James G. Dans les années 1970, les trois hommes mirent en commun leurs réseaux [5] français dans le monde politique, économique, ainsi que dans la presse et le milieu universitaire.
Il fut décidé que la French American Foundation aurait un siège à New-York et l’autre à Paris. Pour commencer, John D. Directeur Général Christophe CHENUT. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Chenut. Biographie[modifier | modifier le code] Diplômé de l'Université Paris-Dauphine en 1984 et titulaire d'un MBA de l'Institut supérieur des affaires[1] en 1986, il devient éditeur du magazine Création (Groupe Stratégies). 2008-2012 Directeur Général Lacoste S.A. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Lacoste. Lacoste Logo de Lacoste. 2012 vendu à Maus Frères Holding. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Maus Frères SA Le groupe Maus Frères Holding est un ensemble suisse de sociétés de distribution et commerciales. Histoire du groupe[modifier | modifier le code] Le premier magasin a été créé à Bienne par Ernest et Henri Maus (une mercerie) avant de s'allier avec Léon Nordmann en 1902 pour ouvrir leur premier supermarché à Lucerne appelé Warenhaus Leon Nordmann. Dans les années 1980, Maus Frères étend ses restaurants à l'extérieur des grands magasins avec la chaîne Manor et poursuit ses diversifications en 1985 avec l'ouverture des premiers City-Disc. Ch.Chenut censure le Prix Lacoste Elysée 2011. La célèbre marque au crocodile est-elle coupable d'un acte de censure ?
La question est en ce moment au coeur de nombreux débats sur Internet, suite à la décision de Lacoste d'évincer Larissa Sansour de son Lacoste Elysée Prize. Main lobby © Larissa Sansour En novembre dernier, l'artiste née à Jérusalem avait été retenue (avec sept autres finalistes) pour participer au Prix Lacoste Elysée avec son projet Nation Estate. M. Chenut n'aime pas la Palestine. FranceInter L'édito de Nicolas Beytout. L'Opinion France Wikipédia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'Opinion est un journal quotidien français lancé en mai 2013 par Nicolas Beytout. Ce quotidien, d'après son fondateur, se veut un journal d'obédience libérale, pro-business et européenne ; c'est à la fois un média numérique et un journal papier[3],[4]. L'Opinion est lancé officiellement le 15 mai 2013[5]. Son président-fondateur Nicolas Beytout, ancien président des Échos et ancien directeur des rédactions du Figaro, est le premier actionnaire et directeur de la rédaction. Il s'est inspiré de modèles internationaux tels que le quotidien italien Il Foglio et le site américain Politico, spécialisé sur la politique américaine[6].
14/05/2013 lancement bimédia L'Opinion. Nicolas Beytout lance L’Opinion, un bimédia (papier – Internet) avec un positionnement « libéral, européen et pro-business ».
Ce sera aussi « un média d’opinion, engagé et ouvert », comme le précise l’ancien directeur des Echos qui se lance dans ce « pari fou » à travers une structure d’édition dédiée (Bey Médias Presse & Internet). Le site Internet a été inauguré hier soir (mardi 14 mai) avec un premier éditorial inaugural de Nicolas Beytout. Et la première édition du quotidien papier doit sortir ce matin (mercredi 15 mai) en kiosque. Irène PINNA de l'équipe lesÉchos. Site Internet L'Opinion.