1964 AZT alias Zidovudine en 1985. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir AZT. La zidovudine (azidothymidine, AZT ou ZDV) est un médicament antirétroviral, le premier utilisé pour le traitement de l'infection par le VIH. C'est un inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse (NRTI). Prof. Luc Montagnier se met à table. Test elisa une supercherie. Robert Gallo, plus magouilleur que scientifique transparent Le 26 Mars 1984, le dr.
Gonda, qui a été chargé par Gallo et ses assistants de photographier le "virus" au microscope électronique afin d'envoyer les images à la revue " Science " pour publication, écrit à Gallo et son équipe que "les particules observées sont des fragments d'une cellule dégénérée" et que " je ne crois pas que les particules photographiées soient le virus HTLV (VIH). Le collaborateur de Gallo, le Dr. Interview Dr Etienne de Harven Ten Lies about AIDS. Étienne DE HARVEN détaille l'Arnaque. Les 10 + gros mensonges sur le SIDA 1/4. 2/4. 3/4. 4/4. Les 10 plus grands Mensonges sur le Sida avec Jean-Claude Roussez. Prévenir une maladie qui n'existe pas.
Europe 1G.P. avec AFP Commercialisation en 2016.Marisol Touraine a annoncé le 23 novembre la vente prochaine du Truvada.
"Grâce à l’annonce de la ministre, cette modalité de prévention va être disponible et va permettre de renforcer la prévention en matière de contamination", s'est félicité Jean-Michel Molina, infectiologue à l'hôpital Saint-Louis à Paris et invité de David Abiker dans C'est arrivé cette semaine, samedi. Ce médicament est une combinaison d'antirétroviraux du laboratoire américain Gilead. Il s'est avéré que, pris quotidiennement ou même quelques heures avant et après une relation sexuelle, il permettait à des personnes saines de réduire très fortement le risque d'être contaminées par le VIH.
La fin du préservatif ? Le Truvada alias Emtricitabine/ ténofovir. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'emtricitabine/ténofovir est un agent antirétroviral contre le VIH-1 et le VIH-2, composé d’emtricitabine (nom commercial Emtriva) et de fumarate de ténofovir disoproxil (nom commercial Viread). Ces deux molécules sont des inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (NRTI). Confusion Consensus ou science ? Les rétrovirus endogènes et la recherche sur le sida : confusion, consensus, ou science ?
Les rétrovirus humains endogènes (HERVs) introduisent dans la recherche sur le SIDA, un élément de confusion qui ne peut être ignoré. Il semble évident, en effet, que la “charge virale” soit, en fait, une mesure des séquences nucléotidiques provenant de ces rétrovirus endogènes. En plus, les rétrovirus endogènes permettent d’expliquer la présence de particules rétrovirales reconnaissables au microscope électronique (ME), telles que celles qui sont illustrées dans la publication originale de l’Institut Pasteur en 1983. Ils peuvent également expliquer les apparentes “Mutations” de l’hypothétique VIH. Le groupe des “Repenseurs” (voir le site www.rethinkingaids.com) publia un programme co-signé par plusieurs milliers de scientifiques et de personnalités préoccupées par la cause réelle du SIDA. 1) Identification de marqueurs moléculaire rétroviraux.
Rethinking AIDS. Les virus de laboratoire UNE VIEILLE HISTOIRE. Voir également : Document : « Special virus Program »: Le Sida a bien été développé en laboratoire par les Etats-Unis (partie 2) Cet article vient compléter celui publié sur de nombreux médias citoyens cette semaine.
Le sujet peu sembler vu et revu depuis des années et pourtant, en constatant le doute qui persiste chez beaucoup de lecteurs, il convient de creuser le sujet afin de démêler le vrai du faux. Officiellement, la médecine indique que le SIDA, ayant officiellement causé 28 millions de morts à ce jour, proviendrait du virus d’immunodéficience humaine (VIH). Certaines théories indiquent quand à elles qu’aucun virus VIH n’a jamais été détecté chez un malade du SIDA et d’autres qu’il s’agit d’un virus crée en laboratoire.
Tout cela n’est pas très clair. Pour les sceptiques qui penseraient que ce sont de faux documents, vous trouverez ici un ensemble de 5000 pages de documents du congrès déclassifiés qui montrent que ce sont des documents originaux.
Le mycoplasme, 1 arme biologique. Par Donald W.
Scott Des agents pathogènes appelés mycoplasmes sont le produit de laboratoires de recherche dans le domaine de la guerre bactériologique et biologique. Plusieurs souches de mycoplasmes ont été développées dans l’optique de les rendre plus dangereuses. Elles sont aujourd’hui accusées d’être à l’origine du SIDA, du cancer, du syndrome de fatigue chronique, de la sclérose en plaques, de la maladie de Kroesfeld-Jacob et d’autres maladies du système nerveux.
I. Pr. Yves Levy Pdt du VRI à la recherche de cobails humains. Ethique - tableau comparatif déclaration d'Helsinki & ses révisions.