Walter Benjamin - Passagenprojekt. Yinka Shonibare MBE’s ‘Jardin d’Amour’ [Garden of Love] (Musée du Quai Branly, Paris, 2007) – Museum Geographies. Yinka Shonibare’s Jardin d’amour [Garden of Love] (2007) was the second – and most high-profile thus far – of the single-artist installations staged during the Quai Branly museum’s early programming history[1].
The artwork consisted of a labyrinthine, reconstructed 18th century Rococo-styled ornamental French garden arranged as three secluded enclosures in which different thematic tableaux were staged. Each of the main display areas were separated by shrub-covered trellis, tightly bound reed-screen fences, privets, climbing plants and artificial rose bushes that served as foliage-covered boundary walls around the entire exhibition. In response to the Quai Branly commission Shonibare himself felt that the scientifically ethnographic and historically colonial context of the collections was perfect for his work – particularly because it was a way for him to challenge the historical and stereotyped denials about African modernism that prevail in Western (art) historical discourses. 31 août 1946 : le jour où un écrivain a montré la vérité d’Hiroshima. «Journal d'Hiroshima»: le terrifiant carnet d'après la Bombe. Temps de lecture: 8 min L’explosion atomique d’Hiroshima, dont on commémore, ce 6 août, le 70ème anniversaire, est souvent racontée par le gigantisme effrayant de ses chiffres.
Ou par le génie scientifique démentiel dont a fait montre l’homme, en 1945, en chargeant l’équivalent de 15.000 tonnes de TNT dans une bombe d’uranium de 4,5 tonnes, baptisée du petit nom charmant de Little Boy par l’état-major américain. Ce talent des physiciens, l’historien Didier Le Fur en résume ainsi les premiers effets dans son implacable préface au livre célèbre du médecin Michihiko Hachiya, Journal d’Hiroshima, réédité chez Tallandier et qui vient de sortir en poche: «La bombe explosa à 580 mètres d’altitude. Une immense bulle de gaz incandescent de plus de 400 mètres de diamètre se forma en une fraction de seconde émettant un puissant rayonnement; dessous, les températures augmentèrent en quelques instants de 4.000 degrés. 22 jours «À ma grande stupeur, je découvris alors que j’étais complétement nu.
Wayback Machine. 6 août 1945 : le dernier matin d'Hiroshima. 6 août 1945 : il fait beau sur Hiroshima, le temps est clair, l'atmosphère vivifiante et tonique et pour un peu on pourrait se croire dans une ville tranquille et active du Japon traditionnel d'avant-guerre.
En fait, la ville n'a jamais été réellement menacée par les bombardements de ces années de guerre au point que les habitants d'Hiroshima ne lèvent même plus les yeux vers le ciel lorsque les B-29 américains zèbrent le ciel pour aller bombarder d'autres villes jugées sans doute plus stratégiques ou plus importantes. La ville qui compte un demi million d'habitants, compte tenu du stationnement permanent d'une importante garnison militaire, est située bien loin de Tokyo, trop loin peut-être pour présenter un grand intérêt aux yeux de l'Etat Major américain.
Le dernier matin... ©DR Pourtant, cette fois, peu après 7h les sirènes se mettent à hurler à l'approche d'un B-29 dont on apprendra plus tard qu'il était en mission d'observation météo. Fin d'alerte une demie heure plus tard. FRD Article InterseI miotique RW 2013. Artist Alexey Kondakov Imagines Figures from Classical Paintings as Part of Contemporary Life. 07 Romagnolo rev.
Philip Glass - Metamorphosis. Vivaldi Recomposed by Max Richter. Gucci dévoile sa nouvelle campagne “Utopian Fantasy” Ces nus contemporains qui s'inspirent de l'histoire de l'art. De manière plus ou moins évidente, de nombreux artistes contemporains jouent sur les références à l’histoire de l’art dans leurs oeuvres.
Le nu n’échappe pas à cette tendance ! Ce mois ci, Artsper vous propose de tester votre connaissance des nus dans l’histoire de l’art… A travers des oeuvres d’art contemporain qui y font directement référence ! Saurez-vous reconnaître les tableaux de maîtres qui inspirent les artistes d’aujourd’hui ? ©Manon Couse Derrière ce nu presque kaléidoscopique de la jeune photographe Manon Couse, se trouve une référence à un chef-d’oeuvre de la Renaissance dont on ne connaît pas l’auteur… Il s’agit en effet d’une version très contemporaine du tableau Gabrielle d’Estrées et l’une de ses soeurs, réalisé par un peintre de l’Ecole de Fontainebleau dont le nom n’est pas parvenu jusqu’à nous.
Gabrielle d’Estrées et une de ses sœurs, Musée du Louvre, 1594 ©Franck Doat Posture, formes, turban… Vous avez déjà vu la femme sur cette photo de Franck Doat quelque part ?