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Produits alimentaires

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Ces substances que nous cache... le Big mac ! Réagissez : Partagez : Si on pense aux produits symboles de la mondialisation, le produit phare du géant du fast-food McDonald’s, le Big Mac, hamburger de deux étages que tout le monde connaît, fait partie des plus évidents exemples. Il est incontournable dans notre série « Ces substances que nous cachent…. les produits stars« .

Oui, au fait, le Big Mac aurait-il des choses à nous cacher ? Au sommaire : Ces substances que nous cache… le Big mac ! © CC, Jon Betts Une photo représentant le Big Mac. C’est à Pittsburg en 1967 qu’est né le Big Mac. Le burger à 2 étages, avec 2 steaks, de la sauce (dont la recette était soi-disant secrète !) Planetoscope : aujourd’hui, le Big Mac est vendu dans plus de 120 pays et à plus de 900 millions d’unités dans le monde par an. Le Big Mac, tout beau, tout bon ? Pourquoi un simple burger a-t-il eu, et a-t-il toujours autant de succès dans le monde ? 1- Un look de pub ! On a tous en tête une image publicitaire du Big Mac. La réalité est tout autre. Après le scandale de la viande de cheval, la fraude à la gelée royale ? - Alimentation. La gelée royale, ce complément alimentaire riche en vitamines, fait-elle l’objet de pratiques commerciales douteuses ? 98 % de la gelée royale vendue en France est importée d’Asie, principalement de Chine.

Recours à des antibiotiques interdits, congélations à répétition, nourriture artificielle : le flou qui règne sur la traçabilité de certains produits risque d’entacher l’image de toute la filière, y compris bio. D’autant qu’une étude réalisée par des apiculteurs français vient jeter le trouble. La gelée royale, cet aliment fabriqué par les abeilles nourricières pour leur reine, est réputée pour ses qualités nutritives, riches en vitamines et en oligoéléments. Vendue via des sites Internet entre 10 € et 30 € les 25 grammes, la gelée royale, certifiée bio de préférence, est aussi un marché lucratif. Et c’est bien ce qui met en colère les apiculteurs du Groupement des producteurs de gelée royale (GPGR). Et ce n’est pas très flatteur pour plusieurs marques.

L’appréciation du GPGR : Je vais vomir un peu et je reviens. Le malheur est dans nos assiettes, car pour des raisons discutables, l’industrie alimentaire est prête à nous faire avaler toutes les couleuvres, pourvu que çà lui profite. Au moment où le salon de l’agriculture ouvre ses portes, c’est l’occasion de faire le point sur ce que nous proposent nos ingénieux commerçants. Lorsque vous allez acheter votre steack quotidien, pour ceux qui le peuvent encore, des surprises se préparent. Tout le monde connait (?) La pratique de la « remballe » qui consiste à enlever les parties périmées d’un morceau de viande afin de redonner à l’entrecôte une seconde jeunesse, et en broyant les parties enlevées, votre boucher « remballeur » en fait d’éventuelles merguez bien épicées. vidéo Mais il y a pire.

Certains bouchers peu scrupuleux n’hésitent pas à nettoyer la viande avariée avec de l’acide sulfurique, tel ce marseillais mis en examen en 2007. lien Les enquêteurs chinois ont relevé plus de 70 000 cas de fraude. Mal lui en prend. Autres articles : Les super-colles à viande : une pratique trompeuse et dangereuse. - Le blog de adn109. Avez-vous déjà acheté de la viande enroulée dans des feuilles plastiques ou parfois observé que le morceau de lard enroulant un morceau de viande y était fortement « collé »! Ne croyez pas que ce beau morceau de viande, enrobé de cellophane, que vous achetez dans les grandes surfaces provienne d’une seule bête.

En fait, il est probable qu’il s’agisse de plusieurs morceaux de moins bonne qualité et de bêtes différentes que l’on a recollées ensemble. Comment est ce possible? Est-ce que cette pratique est dangereuse? Et si oui, pourquoi? C’est ce que nous allons voir ensemble. Qu'est-ce que cette « colle à viande »? La « colle à viande » est en fait une poudre d’enzymes lyophilisées qui sont capables de créer des liaisons covalentes entre deux protéines différentes (liaisons inter-caténaires).

La « fibrine glue » est utilisée également en chirurgie pour suturer sans fils, différents tissus entre eux comme par exemple souder deux vaisseaux sanguins ensemble ou lors d’une greffe de la cornée. Fraises d’Espagne, on arrête le massacre ? Aujourd’hui, pour cette nouvelle édition des pieds dans le plat, attaque en règle de la fraise d’Espagne encore trop fréquente sur nos étals.

La chiquita fresa de Donana va en prendre plein la poire. Attention, ça tâche ! Toxique à tous les étages, la fraise d’Espagne fait partie de nos importations massives : plus de 80 000 tonnes chaque année. Qu’on se le dise, l’envie de fraises n’est pas qu’une question d’hormones. Dès les premiers beaux jours tout le monde en veut dans son assiette, polichinelle dans le tiroir ou pas.

Fraise contre lynx Le problème c’est qu’en France, on se boulotte près de 2 kg de fraises par an et par personne. Depuis les années 60, sur la côte Ouest de l’Espagne, c’est le paradis de la fraise et l’enfer des écologistes. 4500 tonnes de plastique sont utilisées chaque année. Garantie 100% produits chimiques Elle est bonne au moins cette fraise d’Espagne ? Saisons à la carteVous en voulez encore ? Bio la fraise d’Espagne ? De la viande de mouton prohibée chez Spanghero. On ignore si la viande, qui devait entrer dans la composition de merguez, s'est retrouvée sur le marché. La direction de l'entreprise affirme avoir été dupée par le trader néerlandais incriminé dans le scandale de la viande de cheval. L'entreprise audoise Spanghero, déjà en première ligne dans le scandale de la viande de cheval vendue comme viande de boeuf dans des plats cuisinés, va devoir faire face à une nouvelle polémique. Selon une enquête de RTL, la brigade nationale d'enquêtes vétérinaires a découvert en février dans les entrepôts de Castelnaudary deux lots de viande de mouton d'origine britannique, normalement interdite à l'importation en Europe.

Ces 57 tonnes de viande de mouton, achetée congelée, devaient servir à la composition de merguez. «Spanghero a été trompé par son fournisseur» «Par mesure de prévention, nous avons enjoint à rappeler tous les produits fabriqués à partir de cette viande», a affirmé Guillaume Garot, ministre délégué à l'Agroalimentaire. La malbouffe se met à table. Mc Donald : un hamburger oublié pendant 14 ans semblerait être mangeable (vidéo. Si le film « Super Size me » ne vous a pas encore déterminé à ne plus consommer de nourriture issue du fast food, ceci pourrait peut-être vous y encourager davantage. Le Dailymail, révèle en effet une étrange histoire d’hamburger résistant aux marques du temps. En 1999, David Whipple aurait décidé d’observer la décomposition d’un hamburger acheté au Mc Donald. Sauf que ce jeune homme aurait complètement oublié son projet et aurait laissé trainé cet hamburger durant 14 ans.

Aujourd’hui, il semblerait que cet hamburger n’ait pas la moindre odeur. Aucunes traces de pourrissure, on le mangerait presque ! Regardez l’émission « The Doctors » où toute son aventure est expliquée :