Les HÔPITAUX COMPLEMENTAIRES pendant la GRANDE GUERRE - Musée d'histoire militaire. Les FORMATIONS SANITAIRES à LYON et COMMUNES PROCHES en 1914-1918 : Août 1914, premier mois de guerre, les premiers trains sanitaires transportant des blessés arrivent à partir du 21 à la gare de Vaise, puis également à la gare de la Part-Dieu, remplacée par la suite en 11/1915 par la gare des Brotteaux.
La ville de Lyon, éloignée des combats, bien placée sur un grand axe d’évacuation et bien dotée en infrastructures va jouer un rôle majeur dans le traitement des blessés et malades. La capacité importante d’accueil des hôpitaux permanents va être immédiatement insuffisante, ce qui amène à organiser des Hôpitaux Temporaires dans tous les bâtiments disponibles : écoles, institutions religieuses... Ils répartis en plusieurs catégories administratives (complémentaires, auxiliaires, bénévoles). Leur numérotation couvre l’ensemble des formations de la 14° Région Militaire (par exemple le HC 2 est à Vienne). Train sanitaire à la gare de Vaise HC 12 : Hôpital du Vinatier, Bron, 245 lits. VAR - Hôpitaux militaires (1914-1918) - h. La Grande Guerre des soldats tuberculeux. Notes Proposition de résolution invitant le Gouvernement à assurer des soins aux militaires tuberculeux avant leur renvoi dans leurs foyers.
Chambre des députés, n° 800, session de 1915. Annexe au procès-verbal de la séance du 25 mars 1915. L’historienne Sophie Delaporte consacre une importante étude à la tuberculose dans l’armée française pendant la Grande Guerre dans sa thèse (Delaporte, 1999, vol. 2, 228-254). 4e région. 4e Région. 4e région. 4e région, 3e secteur médical d’Alençon, « Rapport du mois d’avril 1916, par le médecin major de 1re classe Gandy, médecin de secteur » ASSA, carton 41. 7e région, secteur médical de Bourg-Belley (Ain), « Rapport du médecin-major de 2e classe Péhu, novembre 1917 », ASSA, carton 45. 4e région, place de Laval, « Rapport sur le fonctionnement pendant le mois mars 1918, par le médecin major de 2e classe H.
Patrimoine hospitalier et Histoire : les hôpitaux et la 1e guerre mondiale. A l’occasion du centenaire de la première guerre mondiale en 2014, la FHF invite les établissements hospitaliers à participer à un projet de mémoire.
La célébration prochaine du centenaire de la première guerre mondiale offre l’opportunité de revisiter la mémoire particulière qu’en ont conservé de nombreuses institutions, au premier rang desquelles les hôpitaux civils et militaires, qu'ils soient situés près du front ou « à l’arrière ». Le projet construit avec la Société Française d'Histoire Hospitalière (SFHH) et l'Office National des Anciens Combattants (ONAC) vise à mieux comprendre l’impact du conflit sur les hôpitaux en illustrant son propos par des études de cas. Un important travail en archives associé à la recension des témoignages écrits sera réalisé par les auteurs sélectionnés, avec le soutien des correspondants départementaux de l’ONAC.
Le parcours des blessés - Sur les chemins de la Grande Guerre. Dès le début de la guerre, des milliers de soldats blessés doivent être évacués du front vers l’arrière.
Du traitement d’urgence à la convalescence, c’est un véritable « parcours du blessé » qui se met en place. Hiérarchisés dans leurs structures et les soins apportés, les services de santé constituent autant d’étapes dans le déplacement et la prise en charge des victimes ; tel est ici l’enjeu de ces deux photographies argentiques conservées à l’Historial de la Grande Guerre à Péronne.
Le poste de secours Le poste de secours divisionnaire situé dans la zone des combats constitue la première étape de la prise en charge du soldat blessé. Lorsqu’il n’est pas porté par des soldats valides, le blessé s’y rend grâce à des moyens rudimentaires, comme les brouettes porte-brancards, occasionnellement attelées à des animaux. Bessiere.pdf. Hôpitaux Militaires Temporaires: localisation,type,organisation... - Forum Pages d'Histoire : service santé. Les Hopitaux militaires IV - editions. Tome IV F.
Ollier et J. -L. Quénéc’hdu Cet ouvrage abondamment illustré est le quatrième d’une collection déclinée en cinq tomes d’une étude qui se veut exhaustive sur les 10 000 hôpitaux militaires de la Grande Guerre. Major du service de santé de l’armée de terre, François Olier se passionne depuis près de trente années pour l’Histoire du service de santé militaire français durant la Première guerre mondiale. Jean-Luc Quénec’hdu est ingénieur chimiste de formation et cht’imi d’adoption. Les évacuations sanitaires par voie maritime : Navires-hôpitaux et péniches sanitaires. 21 x 29,7 cm - 320 pages - 38 € Archives départementales du Doubs - Les hôpitaux pendant la première guerre mondiale.
Quelques documents issus des fonds des Archives départementales du Doubs ont servi à alimenter un reportage diffusé en 2011 par France 3 Franche-Comté.
Il y est question des hôpitaux qui ont dû se développer en masse afin d'accueillir les nombreux blessés et malades du front durant la première guerre mondiale. Dans la perspective de ce travail, un état sommaire état sommaire des sources sur cette question a été effectué par le personnel des Archives départementales. Il est intéressant de noter qu'une bonne partie de ces documents ne sont pas encore communicables à ce jour : en effet, les informations médicales sont protégées durant 120 ans à compter de la date de naissance de l'intéressé, sauf s'il est décédé depuis plus de 25 ans. Ce qui est fort probable, mais encore faut-il le prouver ! On trouve notamment un registre de rapports journaliers tenus par l'officier d'administration de l'hôpital temporaire de Besançon-Saint-Claude (coté 1J663). Les HÔPITAUX COMPLEMENTAIRES pendant la GRANDE GUERRE - Musée d'histoire militaire.
Hopitauxmilitairesguerre1418.overblog.com - Histoire des hôpitaux militaires et du service de santé durant la Grande Guerre.