Entrepreneurs sociaux : le plaisir solidaire. Cadres ou diplômés de grandes écoles, ces start-uppers ont préféré la cause qui leur tenait à cœur aux multinationales qui leur tendaient les bras.
Et ils révolutionnent le secteur. Polytechnique, Stanford et un premier poste dans une start-up de la Silicon Valley. LEGO And Ashoka Want To Help You Change The World Through Playful Learning. Sites/default/files/documents/up_campus_saison1.pdf. Citoyenneté : des jeunes en quête de politique. L'Observatoire de la jeunesse solidaire, animé par l'Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev), a mené sa sixième enquête consacrée à la perception de la politique par la jeunesse française auprès d'un échantillon représentatif de 500 jeunes de 15 à 30 ans.
Jeunes diplômés d’écoles de commerce, et si votre voie était celle du social business? Blasés, frustrés, dégoutés, les 18/34 ans?
Fin février, une enquête menée par France Télévisions décrivait en effet une jeunesse en manque de reconnaissance. 210.000 jeunes ont été interrogés. Le résultat semble sans appel: 45% imaginent que leur vie sera pire que celle de leurs parents. Et pourtant, ils sont nombreux à rêver d’une société plus solidaire. Parmi eux, certains veulent même lancer leur boîte. Comme Augustin Jaclin, 27 ans, cofondateur de Lemon Tri, une entreprise solidaire qui a pour but d’innover dans le recyclage des emballages de boissons consommées hors du domicile. Compréhesion et place des jeunes dans l'ESS, questions à Julien Bottriaux, Carole Akakpo et Pierre Mahuteau de l'Atelier.
Ressources Solidaires : "SUCCESS !
" Entreprises sociales - Tendances 2014. Atelier_bnpparibas_nouvelles_generations_et_culture_numerique_def_fr. Les visages de l’économie sociale et solidaire. « La Croix » fait le portrait de quelques-uns de ces « entrepreneurs sociaux », qui ont en commun de ne pas chercher le seul profit.
Ils sont responsables associatifs, étudiants tout juste diplômés, ou cadres du privé en recherche de sens. Les « entrepreneurs sociaux », selon une appelation récente, participent à l’essor de l’économie sociale et solidaire (ESS), en alliant activité économique et intérêt général. Qui sont ces entrepreneurs, quel a été le « déclic » qui les a motivé pour se lancer, et que pensent-ils des évolutions à venir dans le secteur ? A partir de ces trois questions, « La Croix » propose des portraits de ces hommes et femmes, qui pensent l’ESS comme une « troisième voie » viable, entre secteur public et modèle capitaliste classique.
Un secteur qui est appelé à « changer d’échelle », comme le prévoit un projet de loi approuvé par le Sénat cet automne 2013 et examiné par l’Assemblée au printemps 2014. » Erasmus for Young Social Entrepreneurs.
"Il faut transmettre le goût de l'entrepreneuriat social" Depuis trois décennies, l'entrepreneuriat social, mis en lumière et baptisé par le fondateur d'Ashoka, se développe partout dans le monde pour résoudre les problèmes sociaux et environnementaux les plus cruciaux. Rien que pour le réseau Ashoka, plus de 3000 entrepreneurs sociaux, dans 70 pays, mettent en oeuvre des innovations utiles, en échangeant et en collaborant entre eux.
Mais, face à la complexité et à l'exacerbation des problèmes, la question est désormais: comment aller plus loin? L’entrepreneuriat social des étudiants à l’UdeS : des modèles ... - des modèles ... - Médias. Lancement du Défi change ton monde 14 novembre 2013 Nouvelles UdeS L’Université de Sherbrooke se positionne en tant qu’actrice de l’innovation sociale et du développement durable en lançant le volet francophone du concours canadien Le défi change ton monde, une campagne de sociofinancement (crowdfunding) nationale destinée à inspirer et à soutenir des projets menés par des jeunes et qui ont un fort impact social ou environnemental.
Les deux regroupements ont reçu l’appui d’Ashoka Canada, une organisation internationalement reconnue pour son leadership en entrepreneuriat social. UP CAMPUS: Les étudiants dessinent l'entreprise de l'après-crise. Jeunesse et Entrepreneuriat Social. Entreprises - Emploi : Aider les jeunes créateurs d’entreprises. Le constat ne surprendra personne : Les jeunes sont les premières victimes de la crise de l’emploi.
Pourtant, si 52% d’entre eux disent souhaiter créer leur entreprise (contre 25% en moyenne pour l’ensemble des Français), beaucoup ne le font pas, le plus souvent en raison d’un manque de financement et d’accompagnement… Association d’aide aux personnes exclues du marché du travail, reconnue d’utilité publique, l’Adie permet à des publics qui n’ont pas accès au crédit bancaire classique de créer leur entreprise, et donc leur emploi, grâce au microcrédit. 200 jeunes accompagnés L’Adie a imaginé, dès 2008, le dispositif de formation CréaJeunes, faisant ainsi des moins de 32 ans une de ses priorités.
Une stratégie qui porte ses fruits puisqu’en Aquitaine, plus de 200 jeunes ont été accompagnés en 2012. Au-delà de ce dispositif, c’est tout un réseau local de partenaires qui œuvre aux côtés des jeunes entrepreneurs. Valérie Becquet, Claire Bidart (dir.), « Normes sociales et bifurcations dans les parcours de vie des jeunes » 1Le numéro 63 de la revue Agora débats/jeunesses propose un dossier sur la construction des parcours de vie à ce moment singulier qu’est la jeunesse.
À partir du constat que la transition vers la vie adulte s’est complexifiée du fait de la désynchronisation des étapes entre le statut de jeune et celui d’adulte, ce dossier propose d’analyser la jeunesse comme un processus. Cette approche dynamique permet de mettre en évidence la singularité des parcours de vie.