A nouveau mis en examen, Ziad Takieddine accuse Nicolas Sarkozy. Affaire Karachi. Troisième mise en examen pour Ziad Takkiedine - Faits divers. Ziad Takieddine : "Sarkozy devra répondre à toutes les questions" Vous multipliez les interviews ces derniers jours, vous avez retiré vos plaintes en diffamation contre plusieurs médias… Dos au mur, vous changez de stratégie de communication ?
- Je suis attaqué de toutes parts, et jusqu'ici je ne me défendais jamais. Vous êtes mis en examen dans le volet financier de l'affaire Karachi pour votre rôle dans deux autres contrats, Agosta (vente de sous-marins au Pakistan) et Sawari II (vente de frégates à l'Arabie saoudite). Les juges Le Loire et Van Ruymbeke soupçonnent un financement illicite de la campagne d'Edouard Balladur en 1995 par le biais de rétrocommissions liées à ces contrats. Vous niez toute intervention dans le contrat Agosta, comment expliquez-vous qu'il y ait autant d'éléments qui montrent l'inverse dans l'enquête ? - Je le nie et je le prouve. Une expertise montre que votre signature figure sur une page du contrat. - C'est un pré-contrat sans aucune valeur, qui portait toute une série d'annotations. Karachi : l'enquête élargie à des faits de blanchiment jusqu'à mars 2012 - France. Désormais, les juges chargés du volet financier de l'enquête Karachi pourront se pencher sur près de 19 ans de dossiers.
Le parquet de Paris les a autorisés a à étendre leurs investigations à des faits de blanchiment aggravé de 1993 à mars 2012, a-t-on appris lundi de source proche du dossier. Une décision qui pourrait conduire à une nouvelle mise en examen de l'homme d'affaires franco-libanais Ziad Takieddine, qui doit de nouveau être entendu par les juges mardi matin. "Il existe contre M. De Karachi à Kadhafi, ces "affaires" qui minent l'entre-deux-tours de Sarkozy.
Karachi : Guéant pourrait être entendu par les juges - 15/04/2012. En cas de défaite, Nicolas Sarkozy pourrait être convoqué par la justice. PARIS (AP) — En cas de défaite le 6 mai prochain, Nicolas Sarkozy perdrait son immunité pénale et redeviendrait un citoyen ordinaire.
Il pourrait ainsi se voir convoquer dans deux affaires judiciaires, Karachi et Bettencourt, où son nom plane fréquemment. Affaire Karachi : Balladur et Bazire mis en cause par l'ex-trésorier de campagne. Affaire Karachi: nouvelle mise en examen pour Ziad Takieddine. PARIS (AP) — L'homme d'affaires Ziad Takieddine a annoncé mardi sa mise en examen pour blanchiment aggravé pour des faits datant de 1992 à aujourd'hui dans le volet financier de l'affaire Karachi.
Il avait déjà été mis en examen dans cette même affaire pour recel, complicité d'abus de biens sociaux et faux témoignage fin 2011. Son avocate, Me Samia Maktouf, a décidé de faire appel de cette mise en examen, affirmant que le réquisitoire supplétif du parquet qui a amené cette mise en examen "est entaché de nullité". L'enquête Karachi élargie à des faits de blanchiment. Joly évoque des "présomptions concordantes" sur les affaires concernant Sarkozy. La candidate écologiste à l'Élysée Eva Joly a assuré, mercredi, sur France 2 qu'il existait des "présomptions concordantes et précises" contre Nicolas Sarkozy dans les affaires Bettencourt et Karachi et que c'était "une anomalie de pouvoir solliciter un second mandat" quand on est "cerné" comme lui "par des affaires judiciaires". C'est "une anomalie de pouvoir solliciter un deuxième mandat, alors que vous êtes cerné par des affaires judiciaires", a ajouté Eva Joly lors de l'émission Des paroles et des actes.
"Je rapporte, je dis ce qui est sur la table, ce que tout le monde sait, l'affaire Bettencourt, ce n'est pas un secret aujourd'hui qu'il y a des comptes off shore, qu'il y a des comptes en Suisse, nous savons par des écoutes, par des retours de commission rogatoire, qu'il y a des flux financiers qui sortent des comptes Bettencourt et qui rentrent chez des très proches de Nicolas Sarkozy", a-t-elle pointé. Affaire Karachi : les avocates de Takieddine cambriolées. Karachi : les familles peuvent se constituer parties civiles. Affaire Karachi. Les familles entrent en scène - France. VIDEO -- Hier, la Cour de cassation a permis aux familles des victimes de l'attentat de Karachi d'avoir accès au volet financier du dossier judiciaire.
Une décision qui permet d'étudier s'il existe un lien entre l'arrêt de versement de commissions occultes et les meurtres de onze Français en 2002. La Cour de cassation a jugé hier que les familles des victimes de l'attentat de Karachi pouvaient se constituer partie civile dans le volet financier de l'enquête. Déboutées le 31 janvier 2011 par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris, les familles des victimes s'étaient alors pourvues en cassation. « C'est une grande victoire car cette décision de la cour suprême justifie notre démarche pour associer depuis le début les familles des victimes au volet financier » a déclaré Me Olivier Morice, avocat des parties civiles.
Lien entre la corruption et l'attentat contre les Français Bettencourt : le juge était au courant.