Jean Giono - L'homme qui plantait des arbres. La nouvelle de Jean Giono qui suit a été écrite vers 1953 et n'est que peu connue en France.
Par contre, traduite en treize langues, elle a été largement diffusée dans le monde entier et si appréciée que de nombreuses questions ont été posées sur la personnalité d'Elzéard Bouffier et sur la forêt de Vergons, ce qui a permis de retrouver le texte. Si l'homme qui plantait des chênes est le produit de l'imagination de l'auteur, il y a eu effectivement dans cette région un énorme effort de reboisement surtout depuis 1880. Cent mille hectares ont été reboisés avant la première guerre mondiale, surtout en pin noir d'Autriche et en mélèze d'Europe, ce sont aujourd'hui de belles forêts qui ont effectivement transformé le paysage et le régime des eaux.
Voici d'ailleurs le texte de la lettre que Giono écrivit au Conservateur des Eaux et Forêts de Digne, Monsieur Valdeyron, en 1957, au sujet de cette nouvelle : Cet homme parlait peu. Après le repas de midi, il recommença à trier sa semence. L'Homme qui plantait des arbres. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Vous lisez un « bon article ». L'Homme qui plantait des arbres est une nouvelle de langue française écrite en 1953 par l'écrivain français Jean Giono pour « faire aimer à planter des arbres », selon ses termes. Il s'agit de l'histoire, présentée comme authentique, du berger Elzéard Bouffier, personnage pourtant de fiction, qui fait revivre sa région, localisée en Haute Provence, entre 1913 et 1947, en plantant des arbres.
Écrite à la suite d'une commande du magazine américain Reader's Digest, la nouvelle a eu un retentissement mondial. Elle est aujourd'hui considérée comme un manifeste à part entière de la cause écologiste. L'Homme qui plantait des arbres est aujourd'hui reconnu comme une œuvre majeure de la littérature d'enfance et de jeunesse et elle est, à ce titre, et pour son message écologique de développement durable, étudiée en classe. Résumé[modifier | modifier le code] Le manuscrit[modifier | modifier le code] L'Homme qui plantait des arbres (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'Homme qui plantait des arbres est un film d'animation réalisé par l'illustrateur canadien Frédéric Back pour Radio-Canada en 1987 à partir de la nouvelle du même nom écrite par Jean Giono en 1953. Il a été distribué simultanément en deux versions : une version française, narrée par Philippe Noiret, et une version anglaise, narrée par Christopher Plummer. La musique a été composée par Normand Roger. Docu : l'homme qui a planté une forêt de ses propres mains. Innovation : Un projet révolutionnaire d’arbre aquatique et urbain réservé à la faune et la flore.
Comment je suis devenu plus humain : écoutez notre entretien avec Tristan Lecomte. Tout au long de son parcours au sein d’Alter Eco, Tristan Lecomte n’a cessé de tisser des liens forts, fraternels, et privilégiés avec les petits producteurs agricoles.
Ces rencontres ont été la source d’actions concrètes développées pour soutenir les producteurs, grâce au commerce équitable et à l’agriculture biologique. A présent, via les marchés de la compensation carbone, il accompagne les petits producteurs vers toujours plus d’indépendance. Tristan Lecomte s’est récemment installé en Thaïlande pour vivre au plus proche de la terre. Il est aujourd’hui, lui-même, un petit producteur de riz bio et un planteur d’arbres. "Je souhaite humblement suivre l’exemple de Pierre Rabhi, qui allie la sagesse aux gestes", confie-t-il. "Le chemin reste gigantesque avant que nous ne parvenions à sauver la planète que nous avons mise en danger.
Ecoutez notre entretien avec Tristan Lecomte La Forêt comme ligne directrice Les petits producteurs, une solution de par le monde. L’homme qui a fait renaître une forêt…. Un grand bol d’air pur, et beaucoup d’espoir avec cet article qui montre qu’avec de la volonté tout est possible!..
Le célèbre photographe Sebastião Salgado a présenté lors du Monaco Press Club le 13 mars dernier son pari fou : redonner vie à une forêt tropicale au Brésil épuisée par des années d’exploitation en plantant près de 2 millions d’arbres.Sur le papier, le projet aurait pu paraître totalement irréalisable : faire renaître de ses cendres une forêt totalement dévastée et épuisée par des années de surexploitation. C’est pourtant le pari qu’ont réussi à relever l’éminent photographe brésilien Sebastião Salgado et sa femme Leila.C’est en 1997 que l’aventure commence. Le couple hérite alors d’une ferme familiale dans l’Etat du Minas Gerais, au Brésil. La ferme familiale de Sebastião Salgado en 2008« Miracle de la vie »Le plus étonnant est que dans cette nouvelle forêt créée de toutes pièces, tout un écosystème s’est naturellement reformé.
Les Macédoniens plantent cinq millions d'arbres. Reverdir le désert.