Om̐ Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
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Reiki Libre - Choku Rei. Symbole - Ma religions le BoUdDhIsMe. Kazaprof1. Triquetra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Triquetra entrelacé En symbologie, un triquetra (mot dérivé du latin tri-, « trois » et quetrus, « coins ») est un symbole constitué de trois vesicae piscis, parfois accompagné d'un cercle intérieur ou extérieur[1]. Cette forme a été utilisée pour symboliser des groupes de trois objets ou de trois personnes. Utilisations anciennes[modifier | modifier le code] Paganisme germanique[modifier | modifier le code] Le triquetra a été trouvé sur des pierres runiques d'Europe du nord, et sur des monnaies germaniques anciennes. Art celtique[modifier | modifier le code] On rencontre souvent le triquetra dans l'art hiberno-saxon, tout particulièrement en orfèvrerie et dans les manuscrits enluminés, comme le Livre de Kells.
Symbolique chrétienne[modifier | modifier le code] Le symbole du triquetra fut ensuite utilisé par les chrétiens comme symbole de la Trinité (le Père, le Fils et le Saint-Esprit). Pentagramme. Pentagramme est, à l'origine, un terme qui concerne l'écriture.
Il se réfère à un caractère calligraphié composés de cinq graphèmes élémentaires. Le signe de cantillation hébraïque chalchèlèt est un pentagramme. Mot[modifier | modifier le code] Dans son étymologie grecque, le mot « pentagramme » contient le préfixe penta- (πέντα) signifiant « cinq » et le suffixe -gramma (γράμμα) signifiant « lettre, caractère d'écriture ». En calligraphie, un pentagramme est donc un caractère composé de cinq éléments graphiques nommés graphèmes. L'accent hébraïque chalchèlèt noté à l'aide d'un pentagramme : Le terme pentagramme s'applique aussi à la figure d'une étoile à cinq branches, désignée en latin par les termes pentagulum et pentaculum, mais aussi par les termes Signum pythagoricum (« Signe pythagoricien »), signum Hygae (signe d'Hygée, à partir du mot grec ὑγεία, « santé ») ou encore signum salutatis (en latin : « signe de la salutation », entre pythagoriciens).
Cette théorie peut être nuancée : Œil Oudjat. Hexagramme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Signification[modifier | modifier le code] Leur signification est la suivante : En unicode, dans la table des hexagrammes, ils sont codés de U+4DC0 à U+4DFF (19 904 à 19 968 en décimal). Liens externes[modifier | modifier le code] Le Mémoire de la mue, la traduction libre en ligne du Yi Jing en français.[1], liste des 64 hexagrammes avec explication des composants élémentaires.[2], tirage en ligne. Ânkh. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Ankh. Ânkh Origines[modifier | modifier le code] Les hypothèses divergent quant au signifié que codifie l'idéogramme. On a pu supposer qu'il s'agissait d'un utérus stylisé. Une troisième hypothèse est celle de la vertèbre d'un bœuf, perspective que pourrait corroborer l'origine bovine de la première lettre des alphabets phéniciens ou sémitiques qui renvoie au même animal, symbole de puissance et force civilisationnelle. Croix (christianisme) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Christ, identifié à la croix elle-même La croix est aujourd'hui le symbole principal du christianisme. Considérée comme l'image de la crucifixion du Christ, elle appartient à une symbolique à la fois plus ancienne et universelle. Le signe de croix, qui consiste à tracer une croix sur son front avec un ou plusieurs doigts, ne semble pas attesté avant l'époque de Tertullien. Les représentations chrétiennes de la croix n'apparaissent qu'à partir du IVe siècle, après l'avènement du christianisme dans l'Empire romain, sous le règne de Constantin le Grand. Par tradition, l'iconographie chrétienne représente la croix de la Crucifixion comme un "+" allongé, dont la barre verticale est plus longue que la transversale : la croix latine.
L’image de la croix est antérieure de plusieurs siècles à Jésus de Nazareth[1]. Licorne rose invisible. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir LRI. Représentation de la Licorne rose invisible. La LRI est utilisée pour dire que les croyances surnaturelles sont arbitraires, par exemple, remplacer le mot Dieu dans n'importe quelle déclaration théiste par Licorne rose invisible[3]. Les attributs de couleur rose et d'invisibilité qui s'excluent mutuellement, conjugués à l'incapacité de réfuter l'existence de la LRI, fait une satire des propriétés que certains théistes attribuent à leur divinité[4].
Historique[modifier | modifier le code] L'idée de la Licorne rose invisible est apparue sur Usenet, notamment sur alt.atheism, au début des années 1990[5] (ce qui explique que la quasi-totalité des références à son sujet soient en anglais). Cette idée a ensuite été développée principalement entre 1994 et 1995 par un groupe d'étudiants de l'Université de l'Iowa. . « Les Licornes roses invisibles sont des êtres d'un grand pouvoir spirituel.
. — Steve Eley, Manifeste.