Des ebooks en Bibliotheque...? - Infogram, charts & infographics. "Donner accès aux bibliothèques publiques à l’intégralité de la production éditoriale numérique" Recommandations pour une diffusion du livre numérique par les bibliothèques publiques - signé par l'interprofession le 8 décembre 2014 Presque 150 000 titres Livres numériques disponible en France (mars 2014) pour le grand public source Hervé Bienvaut, consultant indépendant Combien cela coûterait-il d'acheter en numérique l'ensemble de nos collections actuelles?
Si l'offre existait et que les bibliothèques devaient racheter ensemble de leurs collections de livres imprimés au prix actuel de l'offre PNB, combien cela coûterait-il la première année? 9 millions € A investir dans une collection de livres numériques pour les collectivités de plus de 100 000 habitants 2,6 millions € A investir dans une collection de livres numériques pour les villes de plus de 40 000 à 100 000 habitants Par taille de collectivité, voici ce que ça coûterait Budget PNB à investir.
Prêt entre particuliers. Des auteurs paranos. Heureusement, ils ne sont pas encore entrés dans une bibliothèque pour y mettre le feu sous prétexte qu'elle mettait des livres à disposition gratuitement.
Mais dans l'idée, c'est tout comme. Au début du mois, ce que Cnet.com décrit comme "une bande hystérique d'auteurs" s'est acharnée sur un site qui propose aux internautes de se prêter leurs livres numériques entre eux, en respectant parfaitement les DRM imposés par les éditeurs et par les plateformes Amazon et Barnes & Nobles. Rappelons que depuis fin 2010, ceux qui achètent un livre numérique sur la plateforme Kindle d'Amazon peuvent "prêter" leur exemplaire virtuel pendant une période maximale de 14 jours, à un autre utilisateur du Kindle, à condition que l'éditeur ait accepté le prêt de ses livres. Celui qui prête l'ouvrage perd alors son propre droit de lecture pendant la durée du prêt, qui est unique.
Le site LendInk mettait en relation ceux qui souhaitent livre un livre et ceux qui l'ont acheté et acceptent de le prêter. Amazon. Lancée le mois dernier aux États-Unis en même temps que les nouvelles tablettes Kindle Fire, la liseuse Kindle Paperwhite arrive en France.
Elle est proposée en précommande dès aujourd’hui à 129 euros (version WiFi) et 189 euros (avec connexion 3G prise en charge par Amazon pour le téléchargement des ebooks) et sera livrée à compter du 22 novembre. Pour cette nouvelle version, le géant du e-commerce a breveté une technologie d’affichage LED où l’éclairage se fait par l’avant de l’écran et dirige la lumière vers le bas à travers une couche antireflet parcourue de nano-guides afin d’assurer un meilleur confort de lecture.
Résultat, l’écran monochrome de la Paperwhite affiche 62 % de pixels en plus, une densité de 212 points par pouce et un contraste est 25 % plus élevé que la Kindle classique. Le tout en conservant une autonomie de 8 semaines. Le lancement de la liseuse en France s’accompagne de l’arrivée du service de prêt d’ebooks Kindle. Kobo (abandonné) Après avoir développé depuis 8 mois son projet de plateforme de prêt d’ebooks, changement de cap chez Kobo qui manifestement n’a plus totalement les mains libres depuis son rachat par Rakuten.
Le groupe Japonais semble avoir comme priorité de se concentrer d’abord sur le développement international. Le projet est donc stoppé pour une durée indéterminée. Ainsi, le prêt d’ebooks, une fonctionnalité permise sur Kindle ainsi que sur les appareils Nook, et qui avait été à l’origine de la création d’un grand nombre de sites et plateformes, ne sera pas proposé par Kobo. Il est vrai que depuis la grande époque où les plateformes de centralisation des prêts se multipliaient, et où le prêt d’ebooks était le sujet à la mode, Kobo s’est développé avec des partenariats dans plusieurs pays Européens, tous sur le modèle de celui qui unit actuellement Kobo et la Fnac. Dommage, l’arrivée du Kobo en France m’avait laissé espérer un temps qu’on pourrait accéder à ce genre de fonctionnalité…