Parfum de glace – Yôko Ogawa. Yôko Ogawa 小川洋子 Parfum de Glace.
Au sud de la frontière, à l’ouest du soleil. Titre original : (国境の南、太陽の西, Kokkyō no minami, taiyō no nishi) Haruki Murakami (村上 春樹) 2002 pour la traduction française de Corinne Atlan 10/18 domaine étranger Résumé : voici ce que dit la quatrième de couverture : Hajime a connu pour la première fois l’amour en compagnie de la douce Shimamoto-san.
Heureusement que je ne ai pas lu ce résumé avant de commencer le roman, car il m’aurais ôté toute envie de le lire. Pourtant c’est vrai. Pourtant, une fois commencé ce roman, je l’ai terminé en très peu de temps. Larmes de princesse – Minako Oba. Roman de Oba Minako (大庭 みな子) Titre original : Ôjo no namida (王女の涙) Publié à Tokyo en 1988 Publié en France aux Éditions du Seuil en 2006 Traduit du japonais par Corinne Atlan.
L’auteur : Minako Oba est né en 1930 à Tokyo. Deux autres de ces romans ont été traduits en français : L’île sans enfants (1995) et La Fleur de l’oubli (2002), également publié aux Éditions du Seuil. Résumé : A la mort de son mari, Keiko revient au Japon, après avoir vécu plus de 20 ans à l’étranger. Mon avis : J’ai beaucoup aimé ce roman, qui se lit très vite. Sans qu’elle sût elle-même pourquoi, chaque fois qu’elle avait une conversation avec le professeur Qiû , Keiko parlait d’un ton neutre, comme si elle traduisait, au lieu d’employer ce ton féminin principalement destiné à exprimer des émotions surannées, qu’elle prenait avec Utako par exemple. Plus loin elle revient sur cette idée page 164-165: Mais les réflexions de Keiko ne se bornent pas au langage et aux différences culturelle. Autres photos : link, link. Le bateau-usine - KOBAYASHI Takiji. Jeudi 22 avril 2010 4 22 /04 /Avr /2010 18:00 Auteur : KOBAYASHI Takiji Editeur : Yago Date de parution : Octobre 2009 Prix : 18 Euros 138 pages Note : 4 / 5 Nous sommes au Japon, dans les années 20.
Nous allons suivre ici le quotidien de l'équipage du Hakkô-maru. Les conditions de travail et de vie sont catastrophiques. Les chefs sont écoeurants d'égoisme et de méchanceté, s'offrant ce quils refusent à leurs hommes. Les bateaux-usines sont d'ailleurs des épaves ambulantes : de vieux batiments russes gagnés à la guerre vaguement repeints feront l'affaire... Bref la révolte gronde chez ces hommes qui n'en peuvent plus d'être considérés comme du bétail etqui sont à deux doigts d'y laisser leur vie. Nous assisterons à la prise de conscience collective des travailleurs qui apprendront à s'unir pour lutter contre l'exploitation et le capitalisme. Le bateau-usine est un texte majeur de la littérature dite prolétarienne. Ecrite en 1929, ce texte est frappant de réalisme. L'avis de Michel. Naufrages. Souvent on me demande quel est mon type de littérature préféré.
A chaque fois je suis bien enbêté car en vérité je lis de tout, et l’impacte qu’aura un livre sur moi dépend plus de mon état d’âme au moment de le lire que de son genre, voire même de sa qualité. Et le livre dont je vais vous parler aujourd’hui en est le parfait exemple. C’est Tenger qui me l’a prêté, cela doit faire maintenant plusieurs années. Je l’avais presque aussi tôt commencé et… je ne dépassais jamais la page 10. Impossible d’entrer dans l’histoire, je trouvais le style pesant et ça me donnais mal à la tête rien que de me dire qu’il fallait que je termine ce livre.
Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé exactement depuis ma première tentative, ni pourquoi je n’avais pas aimé. Trêve de bavardage, passons au livre ! L’histoire : Naufrage nous raconte la vie dans un village japonais, accroché au flan d’une montagne, les pieds dans la mer, au climat hostile et la vie plus que dure. Totto-chan, la petite fille à la fenêtre. Totto-chan, la petite fille à la fenêtre 窓ぎわのトットちゃん Testuko Kuroyanagi (黒柳 徹子) traduit par Olivier Magnani 2006 pour la traduction française Résumé : Totto-chan est virée de l’école primaire dès les premiers jours.
Mon avis : Au début de ma lecture j’étais très enthousiaste. Les premières pages répondaient à mes attentes. Voilà !