Que s’est-il passé sur la PAC fin octobre ? - Pour une autre PAC. On a pas mal entendu parler de Politique Agricole Commune ces dernières semaines, mais pour les personnes non initiées au processus de réforme de celle-ci, il n’est pas évident de bien saisir ce qui s’est joué.
Pour une autre PAC revient donc sur les jalons de la réforme qui ont fait l’actualité fin octobre. ACTE 1 — Les ministres de l’agriculture européens = le Conseil de l’UE Qui ? Les ministres de l’agriculture des États membres de l’Union européenne, réunis au sein du Conseil de l’UE, ont trouvé un accord sur la réforme de la PAC le mercredi 21 octobre. Cet accord a été orchestré par l’Allemagne, et plus précisément la ministre allemande de l’agriculture, dans la mesure où c’est le pays qui occupe actuellement la présidence du Conseil. Quoi ? Le lobby agricole lutte contre un verdissement de la PAC.
A mesure que le vote au Parlement européen sur la réforme de la politique agricole commune (PAC), prévu lors de la semaine du 19 octobre, se rapproche, le lobbying du COPA-Cogeca – comité des organisations professionnelles agricoles européennes – se fait plus intense.
Dans une lettre adressée aux eurodéputés, datée du 2 octobre, l’organisation présidée par Christiane Lambert, patronne de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), demande que les futurs « écorégimes », censés inciter les agriculteurs à adopter des mesures environnementales, ne représentent pas plus de 20 % des aides directes versées au titre de la PAC, alors que plusieurs groupes au Parlement – de la gauche jusqu’au centre droit – réclament que ce taux soit compris entre 30 % et 50 %. « Le COPA-Cogeca se bat pour préserver un statu quo », regrette Nina Holland, membre de l’ONG Corporate Observatory (CEO), spécialisée dans l’analyse de l’influence des lobbys à Bruxelles.
Verbalisé pour avoir Vendu des Tomates Hors Catalogue. Le 17 mai 2013, sur le marché de Lavelanet en Ariège, un maraîcher de Lavelanet, commune ariégeoise, a été contrôlé et verbalisé sur le marché.
Son délit ? Avoir vendu des tomates "hors catalogue", c'est à dire des tomates non inscrites au catalogue officiel. Une éleveuse bio "hors la loi" parce qu'elle soigne ses brebis par les plantes. Photo : DOMINIQUE FAGET, AFP Éleveuse à Bourdeaux (Drôme), Sandrine Lizaga a récemment reçu de la préfecture un "rappel réglementaire" comminatoire visant les soins par les plantes qu'elle prodigue à ses 60 brebis laitières.
A la Ferme du Serre, où elle s'est installée en 2010, tout commence lors d'un contrôle, le 6 août dernier, de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP), raconte l'éleveuse, mère de deux enfants qui travaille en couple. Fukushima Radiation Mutated Animals And Plants. La Chine « Continue de fabriquer de la sauce de soja avec des cheveux humains »! Les cheveux humains sont utilisés dans la confection de la sauce soja.
Voici une utilisation alimentaire de nos cheveux que vous ne deviez sans doute pas connaître. La marque « Hongshuai » (notez-la bien) vend ses sauces soja moins chères que les autres. Et pourtant ils promettent qu’ils sont à la pointe de la « technologie bio-ingénierie »… et en effet, ils utilisent les cheveux qui tombent sur le sol des coiffeurs locaux. Ensuite, il ne reste plus qu’à les traiter pour en extraire les acides aminés. On mange chinois ce midi ? Des cheveux dans votre pizza ? On ne parle pas de cheveux qui sont tombés par accident, mais des pizzas dont les ingrédients incluent des cheveux humains. Depuis le développement de l’économie chinoise, Blair Blacker, un entrepreneur en Floride, États Unis se dédie à l’importation de cheveux pour l’élaboration de bâches utilisés dans l’agriculture, et pour l’extraction d’une acide aminé utilisé dans l’alimentation.
Le Codex Alimentarius. Les effrayantes expérimentations animales d'un laboratoire américain qui aide l'industrie de la viande à être plus rentable. Pour baisser les coûts de la production de viande américaine, le laboratoire fédéral U.S.
Meat Animal Center, financé par le contribuable américain, met en oeuvre des expérimentations choquantes sur les animaux depuis les années 1960, révèle une longue enquête du New York Times. Dans ce centre, situé dans l'Etat du Nebraska, les scientifiques tentent notamment de créer des truies et des vaches qui ont des portées plus importantes et des grossesses à intervalles plus rapprochées, ainsi que des brebis «soins faciles» qui peuvent survivre et se reproduire sans trop d'intervention humaine.
Pour en arriver là, la direction du laboratoire ne recule pas devant un taux très élevé de décès, maladies et malformations de leurs animaux. Végétik Le lait faut vraiment vouloir pour en boire. Les mega-cochons de l'industrie agro-alimentaire. Okja n'est pas loin… Au nord-ouest du Cambodge, dans la région de Banteay Meanchey, la ferme porcine Duroc Cambodia dope ses animaux d’une manière hors norme, bénéficiant des faibles normes environnementales dans le pays.
Le résultat : des cochons géants, sur-musclés, souffrant de problèmes de santé pour le seul objectif de produire plus de viande. Ça ne vous rappelle rien ? Lorsque la réalité dépasse la fiction. Souvenez-vous d’Okja, le film sud-coréen de Joon-Ho Bong, sélectionné au festival de Cannes et disponible sur Netflix. Dans le scénario de fiction inspirée d’une certaine réalité proche, une multinationale américaine produit des “super-cochons” pour vendre toujours plus de viande, tout en berçant la population dans des illusions commerciales.
“Duroc Cambodia est fière de créer des monstres” Les photos et vidéos affluent sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook.