L'Australie demande pardon aux Aborigènes. Dans un discours historique prononcé devant le Parlement etretransmis en direct par les chaînes nationales, le Premierministre Kevin Rudd a demandé pardon aux premiers habitants dupays.
Il s'y était engagé lors de la campagne électorale. «Nousprésentons nos excuses pour les lois et les politiques desparlements et gouvernements successifs qui ont infligé une peine,une douleur et une perte profondes à nos compatriotes australiens»,a déclaré Kevin Rudd. «Pour la douleur et les souffrances subies par ces "générationsvolées", leurs descendants et leurs familles, nous demandonspardon», a ajouté le Premier ministre. «Aux mères et pères, auxfrères et soeurs, pour avoir séparé des familles et descommunautés, nous demandons pardon». «Et pour l'atteinte à ladignité et l'humiliation infligées à un peuple fier de lui-même etde sa culture, nous demandons pardon», a poursuivi Kevin Rudd.
«Plus jamais ça» agences/sun. L’Australie rend ses terres aux Aborigènes Larrakia. La mystérieuse tribu disparue des Yawijibaya : Culture Aborigène en Australie. Une courte vidéo diffusée par Guan de Ididj, qui intéressera sûrement les passionnés : (Traduction - très libre - de la description de la vidéo sur Youtube) Au Nord-Ouest de l'Australie Occidentale, se trouve les High Cliffy Islands, un groupe d'îles sur lesquelles vivaient le peuple Yawijibaya.
Des indices archéologiques suggèrent que cette tribu aborigène se serait établie sur ces îles il y a près de 7000 ans. Des témoignages et photos font état d'une société bien adaptée à son environnement, puisant dans l'océan l'essentiel de ses ressources ; les Yawijibaya étaient également de constitution plus robuste et de plus grande taille que les aborigènes du continent, certains géants pouvaient dépasser les 2m10.
Un film en noir et blanc de 1929 a permis de garder une trace du mode de vie de peuple. Le mystère de la disparition du peuple Yawijabaya a suscité beaucoup de questions. Le mystère continue encore de nos jours... One Voice - Des humains dansent pour la forêt. Une danse... 10 000 Indonésiens font la danse des mille mains contre la déforestation. Plus de 10 000 Indonésiens se sont réunis cette année afin d’interpréter la Saman, la danse traditionnelle des « mille mains », dans le but de protester contre la destruction de leur parc national, le Gunung Leuser, au profit des palmiers à huile.
Ils se sont rassemblés à Sumatra afin de dénoncer la déforestation massive qui touche l’Indonésie pour le bois, mais également pour l’huile de palme largement utilisée aujourd’hui par les industriels de l’agro-alimentaire. Et quoi de mieux qu’une ancienne tradition mêlant chant et danse pour se faire entendre ? Avec plus de 10 000 participants, le résultat est aussi époustouflant que symboliquement fort. L’huile de palme est devenue omniprésente dans les aliments industriels transformés.
Manne pétrolière contre patrimoine aborigène. 27/12/2006 00:08 Filed in: Actualité| Art rupestre Cédant sous la pression d'un grand groupe pétrolier (Woodside), le gouvernement australien vient de rejeter la proposition de classer les sites d'art rupestre de la péninsule de Burrup.
C'est en quelque sorte une version moderne de la lutte du pot de terre contre le pot de fer: cédant sous la pression d'un grand groupe pétrolier (Woodside), le gouvernement australien vient de rejeter la proposition de classer les sites d'art rupestre de la péninsule de Burrup, selon The West Australiandu 22 décembre 2006. Cette péninsule (dont le nom local est Murujuga) et l'archipel voisin comportent, outre de nombreux monuments lithiques et des ensembles de stèles, plusieurs centaines de milliers de gravures rupestres (entre 500.000 et 1.000.000 selon les estimations), parmi lesquelles il en est qui ont six ou sept mille ans, et certaines sans doute beaucoup plus (30.000 ans, peut-être).
Il y a un nom pour ce genre d'action: génocide. Convergence. The Burrup (Murujuga) is the largest and possibly the oldest rock art precinct in the world.
The area is beyond value and as well as being of great archaeological, cultural and artistic merit, it is a storehouse of knowledge and memory. The place is of great significance to indigenous people of the region. A dedicated team of professionals and scientists from Friends of Australian Rock Art (FARA) hosted a visit to the Burrup in mid July. Our group was accompanied by expert archaeologists and guides. Here are some quotes from those who took part in the Burrup convergence: - “Truly enlightening” - “The scale of the landscape, the industry and its proximity to the rock art, has shocked me to the core”
Canadian Aboriginal Writing & Arts Challenge.