Paris livre la meilleure part de ChagallUne exposition rassemble les années russes de l'oeuvre du peintre. Marc Chagall, les années russes 1907-1922.
Musée d'art moderne de la Ville de Paris, 11, avenue du Président-Wilson, 75016 Paris. 40.70.11.10. Jusqu'au 17 septembre 1995. BASQUIAT. Between 15 October 2010 and 30 January 2011 the Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris is devoting an enormous retrospective to American artist Jean-Michel Basquiat.
Marking the fiftieth anniversary of his birth, this is the first Basquiat exhibition ever on this scale in France. Of mixed Puerto Rican and Haitian descent, Basquiat was born in Brooklyn in 1960 and died of a drug overdose in New York in 1988, aged twenty-seven. He was part of the generation of graffiti artists who burst onto the New York scene in the late 1970s.
In 1977, he began signing his graffiti "SAMO" – for "Same Old Shit" – with the addition of a crown and the copyright symbol ©. In the course of a dazzling career, his work moved from street art to painting, offering a mix of Voodoo and Biblical mythologies, comic strips, advertising and the media, African-American music and boxing heroes and assertion of his negritude. Chief curator : Fabrice Hergott Curators : Marie-Sophie Carron de la Carrière, Dieter Bucchart. Keith Haring, du 19/04 au 18/08. Le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris s’associe au CentQuatre pour consacrer à Keith Haring une rétrospective géante.
L’idée serait géniale, si l’angle « politique » des commissaires ne venait saccager l’aimable candeur du pop artiste… Au point de faire prendre des Haring pour des lanternes. Keith Haring n’est ni de la première génération du pop art, ni de la dernière pluie : né en 1958, il s’installe à New York à l’aube des années 1980, tandis que la Factory d’ Andy Warhol tourne à plein régime. Il commence alors à réaliser à la craie des dessins dans le métro (1980 – 1985) puis sur toutes sortes de supports. Le succès est immédiat. Son style, qui conjugue un trait extrêmement lisible et une saturation baroque de la surface, fait tenir ensemble l’art des graffeurs, les codes de la BD et l’équilibre couleur/dessin de la grande peinture (école Fernand Léger).
Dan Flavin - Musée d'Art Moderne de Paris. Le Musée d'Art Moderne de la ville de Paris accueille la Rétrospective Dan Flavin qui constitue un événement exceptionnel pour cet artiste internationalement connu, mort il y a 10 ans.
Considéré comme un des fondateurs du minimalisme et de l’art situationnel, Dan Flavin a centré tout son travail sur la lumière en s’imposant 3 axiomes : la novation et l’unicité du médium employé, (des tubes fluorescents disponibles dans le commerce limités à quatre longueurs standard et neuf couleurs), la dépendance de l’environnement architectural (les configurations géométriques créées sont toujours appliquées sur l’une des faces ou angles du volume d’exposition) et la notion d’art factuel (l’existence et le sens de la corporéité de l’œuvre dépend de sa perception mentale par celui qui la regarde). Au plan de la scénographie, les œuvres sont exposés dans des salles blanches d’une luminosité variable et selon un parcours quasi chronologique. La salle consacrée "Monument for V. Francis Picabia. Singulier idéal, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, 16 novembre 2002 - 16 mars 2003: Amazon.fr: Collectif. Pierre Bonnard - Paris Musées, les musées de la ville de Paris.
Musée d'Art Moderne à Paris - Mark Rothko. Le Fauvisme ou "l'épreuve du feu". Eruption de la modernité en Europe. - Librairie Descours. LARRY CLARK. Première rétrospective en France du photographe et réalisateur Larry Clark, né en 1943 à Tulsa aux Etats-Unis.
L’exposition, conçue en étroite collaboration avec l’artiste, revient sur 50 années de création à travers plus de 200 tirages d’origine, pour la plupart inédits. De ses clichés noir et blanc du début des années 1960 aux longs métrages qu’il réalise depuis 1995 tels que Kids (1995), Bully (2001) ou Ken Park (2002), Larry Clark, internationalement reconnu pour son travail, traduit sans concession la perte de repères et les dérives de l’adolescence. À côté des portraits de nouveaux-nés et d’animaux réalisés par sa mère photographe dont il était l’assistant, l’exposition présente les images mythiques de Tulsa (1971) et Teenage lust (1983), ainsi que des œuvres inédites de ces périodes. Un film 16 mm sur la vie des toxicomanes de Tulsa, tourné en 1968 et récemment retrouvé, est également projeté pour la première fois.