Ressources culturelles. "On pose la question de savoir si l'homme est par nature moralement bon ou mauvais.
Il n'est ni l'un ni l'autre, car l'homme par nature n'est pas du tout un être moral, il devient un être moral que lorsque sa raison s'élève jusqu'aux concepts du devoir et de la loi. On peut cependant dire qu'il contient en lui-même à l'origine des impulsions menant à tous les vices, car il possède des penchants et des instincts qui le poussent d'un côté, bien que la raison le pousse du côté opposé.
Il ne peut donc devenir moralement bon que par la vertu, c'est-à-dire en exerçant une contrainte sur lui-même, bien qu'il puisse être innocent s'il est sans passion. La plupart des vices naissent de ce que l'état de culture fait violence à la nature et cependant notre destination en tant qu'hommes est de sortir du pur état de nature où nous ne sommes que des animaux. " ABOUT, Pierre- José ( 1981) : Kant, Traité de pédagogie, introduction et notes, Paris, Hachette. . = Lisons le texte ensemble: Bonne continuation. Le droit chez Kant - CPGE - Jean Zay. Le droit chez Kant (par J.
-F. Kervégan) La Révolution française, commence Jean-François Kervégan, a eu un impact considérable sur la philosophie allemande. Cette révolution s'est faite au nom de principes et au nom du droit. C'est une révolution philosophique. La philosophie juridique et politique de Kant constitue un commentaire spéculatif de la Révolution française. À la différence de ses prédécesseurs, Kant rejette l'hypothèse d'un état de nature ou d'un contrat social primitif.
La constitution de la société politique repose sur des principes de droit public. Antoine de La TailleProfesseur de CPGE - Philosophie - Lycée d'Etat Jean Zay Internat d'excellence. Kant rencontre Aristote là où la raison rencontre l'appétit. Résumé Nous pouvons tous, je crois, reconnaître la justesse de la thèse d'Aristote à l'effet que le véritable raisonnement pratique a pour résultat non pas une simple croyance à propos du caractère désirable, ou même du caractère obligatoire, d'un acte, mais plutôt l'initiation effective d'une action.
Cette thèse donne lieu à une énigme : comment la délibération, archétypiquement une inférence propositionnelle rationnelle ( logon ), peut-elle logiquement aboutir à un acte ? L'action présuppose la motivation, mais la motivation est une force appétitive active, et non pas une proposition concernant le désir ou le caractère désirable d'un acte (elle est donc alogon ). La raison pratique n'est pas similaire aux substances qui peuvent manifestement être mélangées les unes aux autres, mais elle est censée constituer une fusion normative régie par des principes — le choix est un appétit délibéré , comme le dit Aristote.
Comment ceci est-il possible ? Abstract. LEXIQUE / Le vocabulaire d'Immanuel Kant. Absolu (Absolut) : On emploie de nos jours le mot absolu simplement comme quelque chose qui est considéré en soi et qui a par conséquent une valeur intrinsèque.
"Je me servirai donc du mot absolu dans ce sens plus étendu et je l'opposerai à ce qui n’a a de valeur que relativement et sous un rapport particulier ; car le relatif est restreint à ces conditions, tandis que l'absolu est valable sans restrictions" (KtCRP, Logique transcendantale, Dialectique transcendantale, Livre I, Sec 2, p269). Action (Handlung) : L'action signifie déjà le rapport du sujet de la causalité à l'effet (KtCRP, PUF, p192). De l'action libre : Quand nous jugeons des actions libres, nous ne pouvons que remonter jusqu'à la cause intelligible, mais pas au-delà, nous pouvons reconnaître que cette cause est libre, c'est-à-dire déterminée indépendamment de la sensibilité et que, de cette manière, elle peut être la condition inconditionnée au point de vue sensible des phénomènes (KtCRP, PUF, p. 407). a.
B. 1. Unité. 2. Philosophie/Vocabulaire/Kant. Un livre de Wikilivres.
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100 Fiches de culture générale: Histoire de la pensée - Dominique Bourdin, Gilbert Guislain, Paul Jacopin, Jean-Marie Nicolle. Ajoub_fiches_pour_Kant.pdf (Objet application/pdf)