i24NEWS. "Notre événement est la cible d’attaques en ligne", ont déclaré les organisateurs de l’acte II Pour sa seconde semaine consécutive, un rassemblement sera organisé dimanche à Paris pour soutenir le mouvement de protestation qui est apparu au Liban le 17 octobre après la décision du gouvernement d'imposer une taxe sur les appels effectués via les applications de messagerie instantanée.
La semaine dernière, un premier rassemblement en solidarité avec les manifestants libanais avait été organisé sur la place du Trocadéro, où plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées. "Notre événement est la cible d’attaques en ligne", ont déclaré les organisateurs de l’acte II, à L’orient-le Jour.
"L’évènement que nous avions créé sur Facebook pour annoncer une nouvelle manifestation dimanche à Paris a été supprimé avant-hier, car des groupes de jeunes affiliés à des partis politiques libanais l’ont signalé en masse (aux administrateurs de FB, ndlr)", ont-ils ajouté. Liban : plusieurs blessés dans des heurts avec l'armée, le Premier ministre réclame une "enquête" Publié le : 26/10/2019 - 16:49Modifié le : 26/10/2019 - 19:40 La contestation s'est poursuivie samedi au Liban, pour le dixième jour consécutif.
Le Premier ministre a demandé une "enquête immédiate" après qu'au moins six personnes ont été blessées dans des affrontements avec l'armée. Le Liban de nouveau paralysé. Les manifestations antigouvernementales se sont poursuivies, samedi 26 octobre, contrant les efforts de l'armée visant à débloquer les routes du pays au dixième jour du mouvement de contestation. Au moins six personnes ont été blessées, dont certaines grièvement, dans des heurts entre des manifestants et l'armée, à Beddaoui, près de la ville de Tripoli, dans le nord du pays. L'armée libanaise a affirmé dans un communiqué que les manifestants avaient "jeté des pierres et lancé des pétards" sur les soldats. Liban: un mort par balle. Des centaines de Libanais aux funérailles du «martyr de la révolution» Des centaines de Libanais ont participé jeudi près de Beyrouth aux funérailles d'un manifestant tué lors du mouvement de contestation inédit qui agite le pays depuis près d'un mois.
Aux cris de «Révolution, révolution», la foule a défilé à Choueifat, ville d'origine de la victime, Alaa Abou Fakhr, 38 ans et père de trois enfants, tué mardi à Khaldé, au sud de Beyrouth par un militaire alors que des manifestants bloquaient des routes. Il a été qualifié de «Martyr de la révolution» par les manifestants qui, depuis le 17 octobre, Il reste 80% de l'article à lire. La suite de l'article est réservée aux abonnés La Croix.Déjà abonné(e) ? Connectez-vous La Croix,Cultivez votre différence Inclus dans l'abonnement :Tous les articles en illimité sur le webet les applicationsLe journal quotidien en version numériqueL'accès aux archives et dossiers thématiquesNos newsletters d'actualité et thématiques.
Les manifestations au Liban expliquées à travers les pancartes. Manifestation à Montréal pour la démission du gouvernement libanais. Des Québécois d’origine libanaise se sont réunis par centaines devant leur consulat à Montréal, dimanche, pour demander la démission du gouvernement du Liban, accusé d’avoir enlisé le pays dans une crise sans fin.
Mis à jour le 20 octobre 2019 à 15h48 Publié le 20 octobre 2019 à 14h56 ✓ Lien copié Thomas Dufour La Presse Les manifestants ont joint leur voix à celles de milliers d’autres personnes à travers le monde. Des dizaines de milliers de Libanais sont descendus dans les rues de Beyrouth, dimanche. Le mouvement a démarré de manière spontanée jeudi après l’annonce d’une taxe sur les appels effectués via WhatsApp. « De Montréal au Liban : nous sommes avec vous », pouvait-on lire sur une pancarte.
. « On veut envoyer un message clair à notre peuple au Liban », explique Cynthia Kreichati, coorganisatrice de l’évènement. En voyant l’ampleur du soulèvement populaire depuis quatre jours, plusieurs groupes communautaires ont décidé de mobiliser la diaspora libanaise présente à Montréal. M. Rechercher un article, une information, une archive — Le Figaro. À Baalbek, au Liban, les manifestations embarrassent le Hezbollah REPORTAGE - Malgré la peur des représailles, le mouvement de contestation n’a pas épargné le fief du parti chiite. (0) International le 15/11/2019 à 17:38 Au Liban les manifestations continuent, la crise s'aggrave Les manifestations contre la classe politique se sont poursuivies dimanche dans de nombreuses villes. (15) le 17/11/2019 à 21:59.
Au Liban, nouveau report de l’examen d’une loi d’amnistie sous la pression de la rue. C’est la deuxième fois.
Le Parlement libanais a été de nouveau contraint de renoncer, mardi 19 novembre, à l’examen d’une proposition de loi d’amnistie accusée de vouloir absoudre des cas de corruption – un des fléaux dénoncés par le mouvement de contestation qui dure depuis plus d’un mois. « La séance a été reportée à une date qui sera déterminée ultérieurement », a annoncé un responsable du Parlement, Adnane Daher, évoquant l’absence de quorum et « les conditions exceptionnelles actuelles, en particulier sécuritaires ». Plusieurs partis avaient, eux, annoncé qu’ils boycotteraient la séance, prévue à huis clos et déjà reportée il y a une semaine.