Allô Prof. 3 exemples de projet vidéo dans une école. Cet article a comme but de vous montrer 3 possibilités de projet vidéo possibles dans une école.
Nous avons souvent le réflexe de demander aux élèves de réaliser des vidéos qui seront présentées devant la classe et ensuite ceux-ci meurent avec le projet. Voici trois exemples de projets vidéo qui peuvent faire rayonner votre école tout en valorisant l’utilisation des technologies. 1) Le fameux Lip Dub Le 1er Lip Dub a été réalisé en 2006 par Jake Lodwick le fondateur de la plateforme Vimeo.
Il s’est filmé en marchant et en chantant une chanson qu’il écoutait dans ses écouteurs. Le principe du Lip Dub est simple: être tournée en un seul plan-séquence sans montage ;comporter une ou plusieurs chansons, originales ou reprises ;montrer une ou plusieurs personnes chantant la chanson (lip dub se traduit par « doublage sur les lèvres »);être diffusé et accessible sur les médias sociaux.
Voici des exemples du primaire, du secondaire et de l’université. Le Lip Dub de l’école primaire Wilfrid-Bastien. Sans titre. La «classe inversée»: le pari d'enseigner à l'envers. Assise devant l'ordinateur familial dans la petite pièce adjacente à la cuisine, Alyss-Ann Moisan, 11 ans, regarde la capsule du jour en mathématiques.
Éric Tremblay, son professeur de sixième année de l'école Alexander-Wolff à Shannon, explique le concept d'«unité». Derrière lui, un tableau qui lui sert à donner des exemples. C'est exactement comme s'il était devant sa classe, mais il est plutôt devant une caméra. C'est sa collègue et voisine dans la vie, Karine Riley, qui filme. La petite vidéo ne dure que quelques minutes. Il ajustera ainsi les exercices et les projets qu'il développera en classe en fonction de la théorie vue la veille par ses élèves. Mais le jeu en vaut la chandelle, assurent les deux profs à la fine pointe de la technologie. Des élèves assidus Le père d'Alyss-Ann, Jean-François Moisan, voit d'un bon oeil la méthode pédagogique employée par monsieur Éric et madame Karine. Un pionnier. Pédagogie/classe inversée (Flipped classroom)
Comment se fait-il que certaines régions du Monde parlent de classe inversée depuis déjà deux ans et que j’en ai seulement fait connaissance il y a quelques mois?
Vous la connaissez? Si vous lisez ce billet, il y a de fortes chances que vous êtes familiers ou familières avec celle-ci et/ou que vous cherchez, tout comme moi, à la comprendre davantage. Pourquoi fait-elle fureur? Pourquoi j’ai inversé ma pédagogie en début février 2012? Voici quelques explications du pourquoi. Dans l’article Warning : Flipping Your Classroom Might Lead To Increased Student Understanding Teaching Science and Math on précise qu’il s’agit d’une philosophie et non d’une stratégie. J’aime bien que l’article souligne qu’il faut changer le statu quo, car le statu quo ne fonctionne pas.
We all know how students like to interact with one another as well. Quant aux élèves et parents, il faut comprendre la dynamique à mon école. Quant à mes besoins professionnels, j’avais besoin de changement. Faire ses premiers pas vers la classe inversée. Un dossier conjoint Infobourg – Carrefour Éducation Peut-être avez-vous entendu parler dernièrement de la fameuse dynamique de « classe inversée »?
Elle semble être sur toutes les lèvres! Parmi les enseignants qui l’ont expérimentée, certains ne peuvent plus s’en passer et y voient des avantages énormes, notamment grâce aux nouvelles possibilités de personnalisation de l’enseignement entraînée par l’augmentation du temps disponible pour les élèves. Mais tout d’abord, qu’est-ce que la classe inversée? C’est une façon d’organiser le temps de classe de sorte que la partie magistrale du cours est dispensée de façon électronique (capsules vidéo, lectures personnelles, visites virtuelles, etc.) et le temps de classe est consacré au travail d’équipe, aux discussions et aux activités d’apprentissage actives. Ce dossier conjoint de Carrefour Éducation et d’Infobourg propose de faire le tour de la question et de prendre connaissance de l’expérience de certains enseignants.
Plan du dossier : 1.