Histoire naturelle (Pline l'Ancien) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Naturalis Historia, édition de 1669. Le titre latin apparaît au génitif : Naturalis Historiæ Naturalis historiae, édition vénitienne de 1525 Cette monumentale encyclopédie, dans laquelle Pline a compilé le savoir de son époque, a longtemps été la référence en matière de connaissances scientifiques et techniques. Pline y a également recueilli des éléments merveilleux et des miracles, tout en gardant une distance par rapport aux faits rapportés[3]. Son intérêt perdure au XXIe siècle, comme en atteste l'édition critique en Pléiade en 2013[7] ou encore sa réédition dans la traduction d’Émile Littré aux Belles lettres en 2017[8]. La table des matières ci-dessous est un résumé reposant sur les noms modernes des principaux domaines étudiés dans ce traité universel fort de trente-sept livres. UN ORDINATEUR DANS L'ANTIQUITE. Calypso (lune) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autre vue du 13 février 2010, montrant des formations d'albédo en forme d'écoulement.Cliché pris par Cassini le 23 septembre 2005 2005Calypso, vue par Voyager 2 d'une distance de 197 000 km (NASA) Portail de la planète Saturne. L'astronomie grecque. Primitivement on nommait meteôra tous les phénomènes qui s'accomplissent au-dessus de nos têtes, soit dans les régions de l'air, soit dans les régions célestes.
La science de tous ces phénomènes ensemble, sous le nom de meteôrologia, meteôrôn theôria, embrassait l'astronomie et la météorologie, et constituait une partie de la science de la nature, physiologia, objet des spéculations des plus anciens philosophes de la Grèce. Quelques-uns, par exemple Xénophane et plus tard des épicuriens, considéraient les astres eux-mêmes comme des phénomènes de notre atmosphère, et telle fut sur les comètes l'opinion dominante de l'Antiquité. Mais, persuadés que la variabilité désordonnée est restreinte aux régions sublunaires, la plupart des philosophes et tous les savants dignes du nom d'astronomes placèrent plus haut les étoiles fixes et les planètes , y compris le Soleil et la Lune : ils en firent l'objet d'une science à part, science mathématique des mouvements réguliers des astres.
Comprises. L'astronomie grecque. D’un point de vue historique, l’astronomie grecque a été dominée par deux personnages, Aristote et Ptolémée, qui ont introduit des idées et des modèles incorrects qui allaient dominer la pensée scientifique pendant presque deux millénaires.
Aristote Le personnage clef est Aristote, un philosophe du IVe siècle avant notre ère, qui s’appuya sur les idées de l’un de ses prédécesseurs, Platon. Selon ce dernier, le monde devait avoir une forme sphérique et le mouvement de tout corps céleste devait être circulaire et uniforme, c’est-à-dire à vitesse constante.
Dans le système d’Aristote, comme dans celui de Pythagore, la Terre était immobile au centre du monde et entourée d’une succession de sphères cristallines. Le problème du modèle de Pythagore résidait dans le fait que chaque planète était associée à une seule sphère, ce qui ne pouvait pas expliquer les irrégularités des mouvements apparents. Ptolémée Claude Ptolémée : vers 85 – vers 165. Héraclide Aristarque de Samos. Astronomie grecque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'astronomie grecque est l'astronomie écrite dans la langue grecque lors de l'Antiquité. Elle n'est pas limitée géographiquement à la Grèce ou à l'ethnie grecque car la langue grecque est une langue véhiculaire lors de l'époque hellénistique, à la suite des conquêtes d'Alexandre le Grand. L'astronomie grecque est en partie caractérisée par la recherche d'explications rationnelles et physiques aux phénomènes célestes. Elle a été influencée par les Babyloniens et, dans une moindre mesure, par l'astronomie égyptienne.
En retour, elle a influencé les astronomies indienne, arabe et occidentale. Le développement de l'astronomie par les astronomes grecs et hellénistes est considéré par des historiens comme étant une phase majeure dans l'histoire de l'astronomie occidentale. Histoire[modifier | modifier le code] Astronomie grecque archaïque[modifier | modifier le code] Au VIe et Ve siècle av.