Les MOOCS : Cours massifs ou armes de destruction massive ? par Pascal Engel. Enseignement à distance : avantages et inconvénients. Avant de vous lancer dans une formation à distance, pesez le pour et le contre.
Même si elle peut se révéler pratique, il s’agit d’un investissement de temps et d’argent non négligeable ! Les avantages Ils sont nombreux. Les cours en ligne, plus efficaces que les salles de classe. Les universités françaises lancent leurs cours en ligne. Depuis jeudi, les étudiants peuvent suivre des cours hébergés sur la première plate-forme française de cours en ligne ouverts à tous.
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nathalie Brafman Plus de quatorze mille inscrits au Conservatoire national des arts et métiers, six mille à l'université Paris X Nanterre et plus de cinq mille à Sciences Po Paris. Depuis jeudi 16 janvier, il est possible de suivre l'un des cours hébergés sur la première plate-forme numérique française – FUN, pour France université numérique – de MOOC.
LES MOOCs : POUR OU CONTRE ? / Éducation / #3 / The 3DEXPERIENCE Magazine - 3ds Compass Mag. Cours à distance: les cours en ligne ouverts sont-ils la meilleure solution? Si le e-learning est devenu le sujet d'intérêt majeur des acteurs de l'enseignement, c'est avant tout grâce au développement des massively open online courses (MOOC).
Initiés aux Etats-Unis par les plus grandes universités, ces cours en ligne, pour la plupart gratuits, arrivent à la rentrée en France, à l'Ecole Polytechnique. Mais alors que l'université de San José vient de suspendre son MOOC, le succès du modèle est remis en question. Le numérique rend-il vraiment le savoir accessible à tous ? Atlantico : Une plate-forme nationale de cours en ligne ouverts et massifs (Massive Open Online Courses, MOOC) rassemblant l’ensemble des contenus des cours universitaires français doit être lancée fin octobre.
Les étudiants français et internationaux auront ainsi accès où qu’ils soient aux cours de l’enseignement supérieur. Pour autant, le support numérique suffit-il à délivrer un savoir ? D’autres facteurs essentiels à l’apprentissage et ne pouvant être remplacés entrent-ils en ligne de compte ? Erwan Le Noan : Les MOOCs sont nés il y a maintenant deux ans aux Etats-Unis, lorsque l’université de Stanfort a mis ses cours en ligne et permis à des étudiants du monde entier (plusieurs millions) de valider des parcours universitaires, sur leur ordinateur, depuis chez eux. Le phénomène s’est rapidement développé, à travers des plateformes comme Udacity, Coursera ou EdX.
Internet est incontestablement un facteur de diffusion du savoir. Université en ligne : Pour ou contre ? L'avis des étudiants. La Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, Geneviève Fioraso, a récemment déclaré vouloir développer la pédagogie à distance en misant notamment sur le numérique.
Cybersavoirs.univ-tlse2. L'accès au savoir en ligne. En matière de formation, la mode est au e-learning.
Finis les coûteux déplacements de salariés hors de leur entreprise, la promiscuité avec d’autres stagiaires, le contact « présentiel » avec des enseignants réels. Place aux formations individualisées, économiques, personnalisées. Internet, dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres, sera la nouvelle panacée des formations et des formateurs. L’Internet pour tous, c’est fini ! La bataille des contenus que se livrent opérateurs de télécommunications et géants du numérique est en passe de tuer la neutralité du Net.
LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Charles de Laubier Facebook a été pris sur le fait. L'enseignement à distance. L’Education populaire 2.0 : savoir par tous, savoir pour tous. Suite à la publication du rapport d’Emmanuel Porte intitulé « Des pratiques d’engagement en transformation : enjeux pour l’avenir de l’éducation populaire », l’Injep a organisé, mercredi 11 décembre 2013, à l’Assemblée nationale la seconde édition des Rencontres de l’Observatoire de la Jeunesse.
Cette année, elles étaient consacrées aux pratiques non-instituées de l’éducation populaire. Ces rencontres se sont faites en partenariat avec le Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d’éducation populaire (Cnajep), l’association Jets d’Encre, la MJC d’Elbeuf ainsi que le Réseau national des maisons des associations (RNMA). (Écouter le podcast) Comme l’a souligné Francis Lebon, la définition de la citoyenneté ne peut plus se réduire au vote et au principe majoritaire. La redécouverte des « communs » Dossier sur les rencontres de l’Observatoire de la jeunesse et des politiques de jeunesse 2013.
Apprendre avec internet, bien commun, accès au savoir,Génération Y. Disponible à partir du 15 juin 2016 Bruno Devauchelle Prix public TTC : 20,00 Broché : 192 pages Éditeur : FYP Éditions Collection : Société de la connaissance EAN 13 : 978-2916571614 Aujourd’hui, dans les musées, les bibliothèques ou le monde scolaire, le modèle d’intégration des technologies de l’information et de la communication est encore trop souvent celui de la résistance.
Pourtant, malgré les tentatives d’évitement de toute forme de remise en cause des organisations ou des habitudes, les TIC et les réseaux numériques font tomber une à une les frontières de ces institutions. Cet essai critique porte un regard sans concession sur les mutations des lieux de savoirs. Il analyse toute l’histoire du déploiement des TIC en leur sein depuis une vingtaine d’années, et explique en détail chacune des conditions nécessaires pour que le numérique soit au service du bien commun et de l’accès au savoir pour tous.
Passez l’information à vos amis enseignants ! WordPress: Com95 590 fr. La « société de l’information » : L’utopie du xxie siècle ? 1Depuis le XVIIIe siècle au moins, s’affirme, avec plus ou moins de force, l’espoir de mettre fin à l’activité proprement politique, qui suppose le débat public dans une collectivité en mesure de se donner ses propres règles de vie en commun.
Aussi pour assurer le fonction universelle du politique, celle d’instituer, d’une manière ou d’une autre, l’unité d’un ensemble social et d’en permettre le fonctionnement, on en est venu à imaginer le recours à d’autres instances et à d’autres pratiques que celles de la participation et de la confrontation des opinions. L’idéal consiste alors à « pacifier » la société, sans être prisonnier des conflits de nature idéologique constitutifs de la politique. Cette volonté d’établir une telle harmonie politique se manifeste très vite non seulement au niveau national, mais, de manière englobante, à l’échelle du monde entier. 1 Dans ses « mythologies », Barthes montre qu’une telle croyance renvoie à « ce mythe ambigu de la ‘c (...) 5 La société de marché 8.