Nine Stages of Mind Purification - (tdr FR ds la description) 9 stages of Mahamudra Meditation {BEST VERSION} Association. L'histoire des quatre frères harmonieuxIl y a bien longtemps de cela, dans la jungle aux alentours de Varanasi, vivaient dans l’amitié et l’harmonie, un faisan, un lapin, un singe et un éléphant.
Ces quatre frères se disaient que si, de leur côté, leur esprit était en parfait accord, c’était grand dommage que dans le monde les jeunes aient si peu de respect pour les plus anciens ; et ils décidèrent de se témoigner mutuellement du respect selon la tradition du Dharma.Ayant pris cette résolution, les quatre frères entreprirent de faire des offrandes et de rendre hommage.
Les plus jeunes voulurent montrer leur respect pour les plus âgés en les transportant sur leur dos. Colophon :Récit original du Bouddha Shakyamouni rapporté dans le Vinayavastou (Fondement de la discipline). Traducteur inconnu. Le sentier de Samatha. Comment mesurer la qualité de sa méditation?
Ceci est intéressant à aborder car il arrive que l'on entretienne des doutes ou que l'on perde courage si on ne constate pas de résultat immédiat dans sa pratique. Il faut savoir que le sentier est balisé et comporte 9 étapes qui ont été décrites au moyen d'un dessin symbolique, ce que le cerveau droit peu comprendre et appréhender facilement.
Dans cette peinture, le moine représente le méditant, et l’éléphant représente l’esprit que l’on cherche à apprivoiser. Il rencontre des obstacles que sont le singe (c'est-à-dire l'agitation mentale) et la noirceur de l'éléphant, qui représente l'opacité mentale. Les moyens à disposition du méditant sont la hachette, tenue dans la main droite du moine et une corde à crochet tenue dans sa main gauche. Le feu qui décroît au fur et à mesure des étapes exprime l'énergie que le méditant doit dépenser pour soutenir sa méditation. 1. C’est le singe qui vous mène par le bout de la trompe. Nos émotions sont les réactions, instantanées et inconscientes, à des situations données, extérieures ou intérieures.
La plupart du temps elles débarquent dans la seconde et nous ne pouvons que les supporter, passif. Le bouddhisme et la psychanalyse donnent des outils pour les observer et s'en libérer. Il faut tout d'abord comprendre que les émotions (en tibétain, ce mot comprend également les pensées), en fait tout ce qui agit et réagit dans notre esprit, sont la plupart du temps la source de nos souffrances. On s'y attache ou au contraire on voudrait les voir disparaître, et dans ces états d'esprit on n'est pas soi-même, mais un pantin régit par des réactions non maîtrisées. Quand on commence à s'observer, on peut voir les émotions et les pensées courir dans la tête, nous faire leur cinéma, la confusion qui nous prend, la moutarde qui monte au nez ou au contraire la joie illusoire qui sera perdue la seconde suivante.
Pour cela il faut savoir jouer et maîtriser les émotions. Le bouddhisme et ses valeurs (amour, sagesse, compassion, paix, liberté, solidarité) Il y a deux personnages : l’homme, qui est le sujet méditant ; l’observateur, l’éléphant, son esprit.
Le méditant manie les deux outils dont il dispose pour développer samatha : l’attention et le rappel. La hachette, incisive, représente l’acuité de l’attention vigilante et la corde à crochet est le souvenir de la pratique, le rappel. Comme de nombreuses distractions interrompent l’état d’attention vigilante, le méditant doit y revenir par des rappel constamment répétés. La vigilance est l’acuité de base de la pratique et le rappel l’élément qui en assure la continuité.
L’état de samatha a deux principaux obstacles : d’une part l’agitation créée par les fixations sur les pensées et les émotions, et d’autre part la torpeur, l’opacité mentale. En bordure du chemin sont placés différents objets : plat de nourriture, petite cymbale et miroir représentant les objets sensoriels : saveurs, odeurs, sons et formes visuelles, qui distraient du chemin de samatha si le méditant se dirige vers eux.