Michel Crozier est mort. Tendances. Compétitivité, petite histoire d'un concept. VIDÉO C'est un mantra adopté par tous.
La compétitivité est devenue le mètre étalon de toute politique économique ou industrielle. Le problème, c'est que ce concept économique n'en est pas réellement un. Contrairement à la productivité, il ne fait pas l'objet d'un consensus sur sa définition. Selon l'endroit d'où l'on parle, on range derrière ce mot des questions de coût du travail, de formation, d'innovation, d'infrastructures ou de taux de change.
Certains jaugent la compétitivité d'un pays à l'aune de tous ces indicateurs, comme le Global competitiveness index publié depuis 1979. Il faudra attendre 1954 pour qu'il prenne sa coloration économique et les années 1970 pour qu'il s'impose comme un concept valable. Le modèle des cinq forces expliqué par Michael Porter. Henry Mintzberg interviewed by Michael Kull. Vie chère : les vraies causes. Publié le jeudi 23 mai 2013 à 03H00 En 2011, à l’occasion de la première série de manifestations de l’Intersyndicale, nous avions fait l’inventaire des sept raisons qui expliquaient la vie chère en Calédonie. Deux ans après, rien n’a changé ou presque. Tour d’horizon. Quelles sont les causes du coût élevé de la vie ? La Calédonie est une île au marché intérieur relativement restreint pour permettre aux entreprises locales d’être compétitives.
Photo Archives LNC 1. Qui dit île dit forcément frais de transport pour la marchandise. 2. L’entreprise inscrit son activité dans un cadre onéreux qui, inévitablement, imprègne son rendement. Certains économistes pointent aussi du doigt la productivité du travail, inférieure en Calédonie par rapport à la Métropole. 3. Mesure destinée à protéger de la concurrence les entreprises industrielles et les activités agricoles calédoniennes, la protection de marché participe également à la vie chère. La fin du modèle japonais ? LE MONDE ECONOMIE | | Jean-Marc Le Gall (conseil en stratégies sociales, professeur associé au Celsa) Avant même le drame de Fukushima, le Japon était en proie au doute.
Tel est le constat qui est ressorti des échanges entre économistes, géographes et chercheurs en gestion, lors de conférences organisées du 5 au 8 mars à l'Osaka City University. Confronté à une longue période de déflation, puis à la crise actuelle, le capitalisme nippon apparaît aujourd'hui profondément remis en question. Humanite : Google, le meilleur des mondes. The Economics of Evil Google. Adieu Sony Ericsson, place à Sony Mobile Communications - Multimédia et nouvelles technologies. Le gouvernement envisage la vente des participations de l'Etat dans les grandes entreprises. Dans une interview accordée au Wall Street Journal, le ministre du Redressement productif ne donne pas d'exemples mais laisse entendre que le gouvernement réfléchit à l'éventualité de vendre ses participations dans certaines grandes entreprises.
Cela permettrait de financer la restructuration budgétaire. Le 27 mars, Bercy annonçait la vente de 3,12 % de ses parts dans Safran, le groupe français d'aéronautique et défense dont il reste le premier actionnaire. Une lucrative cession qui va rapporter près de 448,5 millions d'euros à l'Etat français, pour "doter la nouvelle Banque publique d'investissement (BPI) de fonds propres supplémentaires", avait précisé le ministre de l'Economie et des Finances Pierre Moscovici. Et ce type d'opération pourrait bien se renouveler, comme le confie le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg dans un entretien au Wall Street Journal le 5 avril. Elodie Vallerey. BMW revoit son modèle de production pour sa i3 électrique - Construction automobile. Les premiers exemplaires de préséries de la i3 sortent actuellement des chaines de l’usine de Leipzig.
Pour produire cette citadine électrique, BMW a entièrement revu son process de production. "Bienvenue dans l’usine du futur. " L’affiche qui accueille visiteurs et salariés à l’usine BMW de Leipzig (Allemagne) donne le ton. C’est sur ce site, déjà l’un des plus modernes du groupe, que le constructeur bavarois a décidé d’implanter la chaine de production de ses véhicules écologiques, badgés BMWi. Cegid bascule à fond dans le cloud - Informatique. L’année 2013 s’annonce comme un tournant pour Cegid.
L’éditeur lyonnais de logiciels de gestion devrait voir les revenus de ses services de location de logiciels en ligne, connus sous le sigle SaaS (Software as a Service), dépasser pour la première fois ses ventes traditionnelles de logiciels sous forme de licences. En 2012, ses services SAAS ont représenté un chiffre d’affaires de près de 27 millions d’euros, en progression de 35%, contre près de 33 millions d’euros pour ses ventes de licences, en retrait de 15,6% par rapport à 2011.
"Compte tenu de ces rythmes d’évolution, les deux courbes vont vraisemblablement se rejoindre cette année", prévoit Patrick Bertrand, directeur général de Cegid. 100% SaaS, un rêve Jusqu’où ira cette activité de cloud ? Un cloud privé signé IBM En tout cas, Cegid accélère son virage vers le cloud en investissant 800 000 euros dans un nouveau cloud privé managé par IBM.