En construcción Documental dvdripspanishwww lokotorrents com. La condition urbaine : En construcción, un film de José Luis Guerin. 1 Ce documentaire est né dans le cadre d’un master professionnel de « documentaire de création » prop (...) 2 Les photogrammes publiés dans cet article sont reproduits avec l’aimable autorisation de Ovideo TV. 1Aux commencements du nouveau millénaire, le Barrio Chino de Barcelone vivait ses derniers jours.
Ce quartier emblématique de la ville portuaire voyait ses célèbres ruelles dévorées par d’énormes pelles mécaniques dans le cadre d’un réaménagement urbain. Durant trois années (de 1998 à 2000), le cinéaste José Luis Guerin (Barcelone, 1960) et une équipe de six étudiants de l’université Pompeu Fabra1 ont filmé la transformation urbaine et humaine de ce quartier. En construcción est un documentaire réalisé dans la ville, un regard urbain porté depuis les bars et les trottoirs du Barrio Chino. 3 Cet aspect a été développé dans deux articles parus dans le cadre des recherches de l’atelier 4 de (...) 4 De gentry, petite noblesse en anglais. 5 M. 6 Idem. 7 N. 9 A. 11 P. Un “documentaire de création” au programme! – Sans tambour ni trompette. TheseMyriamMayerCorrigée07. European Cinema Education For Youth. 2bedc0134ac0c211677f1f5c57b1dad5.
En construcción (José Luis Guerín, 2001) El documental en construcción y la cámara urbana. 1 Comolli, Jean-Louis, Filmar para ver.
La ville, espace d’une rencontre. Le marin et la putain dans En construcción, de José Luis Guerin. 1 J.
Terrasa, « Les vanités enfouies » in Cahiers d’études romanes nº12, “La ville, lieux et limites (...) 1La ville que nous voyons dans le documentaire est, « au terme du montage, la construction symbolique d’un territoire urbain, dans lequel nous recherchons des points d’ancrage1. » Il y a deux ans, Jacques Terrasa s’était intéressé à la « matrice urbaine » représentée dans En construcción. Dans ce travail, il observait la présence d’icônes architecturaux permettant de nous situer dans l’espace filmique : L’Église Sant Pau, les trois cheminées du Paral.lel, l’horloge tournante du BBVA. 2Pour ce colloque, j’ai décidé de reprendre cette question posée par Jacques Terrasa : « Comment trouver nos marques dans la construction symbolique d’un quartier ?
Les vanités enfouies. Signes et sédiments dans le film En Construcción de José Luis Guerin. 1 Le film, produit par Ovideo TV, est une initiative du Máster de Documental de Creación de la Univer (...) 2 Jean Breschand, Le documentaire.
L’autre face du cinéma, Paris, Cahiers du cinéma/CNDP, 2002, p. 11 3 Gérard Collas, « Autour de José-Luis Guerin », lussasdoc.comletatsgenerauxl2002lsem_guerin.php4 (si (...) 1Durant trois ans, José Luis Guerin (Barcelone, 1960) a tissé une relation. Répondant ainsi à une commande de la télévision1, le réalisateur a séjourné dans un secteur du Barrio Chino barcelonais qui a été profondément restructuré vers la fin des années 1990. Après une longue période passée à construire une complicité nécessaire avec les habitants du quartier, la petite équipe de Guerin a filmé, jusqu’en 2000, les différentes étapes de la construction d’un édifice, tout près de l’église Sant Pau del Camp, au bas de la nouvelle Rambla del Raval. 4Dans plus d’une trentaine de plans, on distingue la façade et quelquefois le clocher de la plus vieille église de Barcelone.
La mémoire et le mur. Étude de l’incipit du film En Construcción. 1Trois minutes suffisent pour qu’un film prenne son envol.
C’est ce que semble prouver l’incipit binaire du documentaire En Construcción, le quatrième long métrage de José Luis Guerin. En deux temps, d’abord avec une série d’images d’archives de la fin des années 1950, puis avec un plan fixe sur un vieux mur du Barrio Chino barcelonais, mis à nu après la destruction de l’immeuble qui lui était accolé, le réalisateur nous fait pénétrer dans la mémoire et l’intimité de ce quartier populaire. 2Comme un enfant qui superpose la trace de ses pas à celle d’un promeneur ayant laissé son empreinte dans le sol meuble, tout créateur recherche cette présence antérieure, se plait à construire son édifice (livre, film, musique, tableau…) en liaison avec des œuvres qui l’ont précédé. 1 « Les vanités enfouies. Ina. Découpage du film – Séquencier – Sans tambour ni trompette. Barrio Chino/Raval – Documentaire/Reportage – Sans tambour ni trompette. Voici deux liens vers deux reportages récents filmés dans le Raval (nom officiel du Barrio Chino) et diffusés, au mois d’aout 2018, sur une chaîne de télévision (Antena3) et sur le site d’un quotidien national numérique (Público tv) Ces vidéos nous permettent: 1) de considérer, 17 ans plus tard, les effets et échecs du processus de transformation urbaine et humaine auquel nous assistons dans En construcción mais aussi, et surtout 2) d’observer les différences entre un documentaire de création comme En construcción (qui propose donc un traitement créatif de la réalité et suppose manipulation et dramatisation des “choses vues et entendues”) et un reportage “sur le vif” (qui prétend nous montrer “la réalité”…) .
Il m’est impossible d’intégrer les vidéos dans ce billet, mais en cliquant sur les liens, vous tomberez sur elles. Los vecinos del barrio del Raval de Barcelona tapian sus puertas para evitar a okupas. Público TV - Los vecinos del barrio del Raval viven atemorizados por los okupas. La dernière marche? – Sans tambour ni trompette. “Le Raval: la dernière marche” (titre original, en catalan: “El Raval: l’últim esglaó”, en espagnol: “El Raval: el último escalón”) est un des documents télévisuels les plus remarqués au sujet du Raval du XXe siècle.
Ce reportage, réalisé par Jaume Vilalta et Miquel García en 1988 pour la chaîne de télévision catalane TV3, traite des différents aspects qui marquaient déjà le quartier à la fin des années 1980: pauvreté, insalubrité, précarité, transformation urbanistique, prostitution, drogue… Voici ce qu’en dit la page de TV3: “Pendant plus de deux mois, des reporters du programme “30 minutes” ont tenté de capturer la réalité de la zone la plus déprimée de Barcelone, le vieux Barrio Chino. Joan Colom et le Barrio Chino – Sans tambour ni trompette. José Luis Guerin: notes pour une filmographie – Sans tambour ni trompette. En construcción : Work in progress – Sans tambour ni trompette.
(Cette présentation du film est une reprise, quelque peu modifiée, de ma thèse).
En construcción (2001) est le long métrage qui fit connaître José Luis Guerin à un large public. Dès sa sortie en salle le film connut un grand succès[1]. Il fut conçu en étroite collaboration avec un groupe de cinq étudiants[2] du master professionnel de documentaire de création de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone. La petite équipe consacra près de trois ans à l’élaboration du film (1998-2000): une année de préparation (nombreuses visites au Barrio Chino, nombreuses heures passées à la filmothèque, documentation sur l’histoire de la ville et du quartier, sur l’architecture, l’urbanisme, etc.) et deux années de tournage-montage réalisés en alternance. Le sujet choisi fut celui de la réhabilitation d’un quartier ; le lieu : le Barrio Chino ; le temps du tournage : celui de la construction d’un immeuble. La ville, espace d'une rencontre En Construcción de José Luis Guerin - Dossiers - Cinespagne.com.
Le marin et la putain Myriam Mayer termine une thèse sur l'oeuvre cinématographique de José Luis Guerin au Centre Aixois d'Etudes Romanes.
Elle nous propose ici une analyse de séquences autour d'un documentaire de ce réalisateur, En construcción (2001), présentée lors du colloque « La ville dans le documentaire espagnol ». La ville que nous voyons dans le documentaire est, « au terme du montage, la construction symbolique d'un territoire urbain, dans lequel nous recherchons des points d'ancrage. » Il y a deux ans, Jacques Terrasa s'était intéressé à la « matrice urbaine » représentée dans En construcción. Dans ce travail, il observait la présence d'icônes architecturaux permettant de nous situer dans l'espace filmique : l'Eglise St Pau, les trois cheminées du Paral.el, l'horloge tournante du BBVA.
Pour ce colloque, j'ai décidé de reprendre cette question posée par Jacques Terrasa, « comment trouver nos marques dans la construction symbolique d'un quartier? + d'infos À lire aussi. Portail du film documentaire. José Luis Guerín. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Serra. José Luis Guerin (né en 1960 à Barcelone) est un réalisateur espagnol. Biographie[modifier | modifier le code] Filmographie[modifier | modifier le code] Réalisateur[modifier | modifier le code] Récompenses et distinctions[modifier | modifier le code] En construcción. En Construcción, de José Luis Guerín - Critikat. En Construcción profite de la sortie de Dans la ville de Sylvia pour sortir des limbes dans laquelle la distribution l’avait jusque-là laissé. Présenté en 2001 en Espagne, ce documentaire met en scène (littéralement) la transformation de la ville de Barcelone. Et notamment d’un quartier, le Barrio Chino, qui subit de plein fouet le mouvement de gentrification urbain. Une dialectique entre l’ancien et le moderne s’installe, sous fond d’esthétisation extrême du matériau documentaire.
Quatrième long-métrage du réalisateur espagnol, qui s’était déjà fait remarquer par le très beau Innisfree en 1990, et continuation d’une lubie : exploiter les frontières de la fiction et du documentaire. Thème très à la mode aujourd’hui puisqu’on l’a vu exploité à outrance par la presse spécialisée au Festival de Cannes de cette année, peut-être un peu prise de court par un phénomène déjà bien enraciné. Le film n’est pour autant pas militant.
José Luis Guerin - Débordements. De José Luis Guerin, on ne savait, en France, presque rien. Si ce n’est quelques projections dans des festivals comme le Cinéma du réel et la sortie en catimini de deux de ses films en 2008, Dans la ville de Sylvia et En construccion, le travail de cet Espagnol, qui livre parcimonieusement mais régulièrement depuis trente ans des objets cinématographiques d’une singularité étonnante, est resté inédit. L’intégrale de ses films au Centre Pompidou, accompagnée de l’exposition de sa correspondance filmée avec Jonas Mekas et d’une installation, La Dame de Corinthe, vient plus combler un manque qu’elle ne répare un oubli. Car son travail, entre documentaire, fiction, note, esquisse, journal, essai, apparaît aujourd’hui comme un chaînon manquant dans la transition entre une pratique cinématographique classique et les expériences de cinéma proteiformes qui se sont multipliées ces dernières années.
José Luis Guerin : J’ai commencé par être spectateur. D : Où voyais-tu les films ? En Construccion de Jose Luis Guerin (mardi 4 février 2014, 20h30) Des immeubles du Barrio Chino de Barcelone tombent un à un. Ses habitants sont amenés à vivre dans un « non-temps », suspendus entre un passé mythique, lequel ressurgit contre toute attente, et un futur vague et assurément terne. C’est dans cette « vie dans le creux » le réalisateur espagnol José Luis Guerin s’immisce et nous embarque.
Son documentaire « qui n’en est pas tout à fait un » explore avec une minutie vivante et vivifiante les récits des habitants, leurs souvenirs et leurs espoirs, à l’heure où les murs brisés permettent une véritable mise à nu. Nicolas Thévenin, co-créateur de la revue Répliques, qui consacrait son deuxième numéro à José Luis Guerin (notamment), animera une discussion à l’issue du film. Durée : 125 minutes.Couleur.Pays : Espagne.Année : 2008.Avec : Juana Rodríguez Molina, Iván Guzmán Jiménez, Juan Lópe.
En construcción: "Dans la ville de Sylvia" et "En construccion" : le monde rêvé de José Luis Guerin. Inconnu en France, ou presque : José Luis Guerin, Catalan de 48 ans, cinéaste depuis vingt-trois ans, dont on découvre avec bonheur les deux derniers films. Une fiction (Dans la ville de Sylvia, 2007) et un documentaire (En construccion, 2001) que relient la passion de la ville, de la dérive poétique, de la méditation sur la manière dont le temps sédimente dans l'espace. Présenté en 2007 à la Mostra de Venise, Dans la ville de Sylvia évoque en trois tableaux l'errance d'un jeune homme à Strasbourg, à la recherche d'une fille prénommée Sylvia, qu'il y a croisée quelques années auparavant.
Un carnet d'esquisses et un plan de la ville sous le bras, le jeune dandy se poste d'abord à la terrasse du café du conservatoire de théâtre de la ville et y observe le spectacle des jeunes femmes qui y éclosent aux beaux jours. Le manège dure, jusqu'à ce que l'oeil se fixe sur un visage qu'il semble reconnaître. 'En construcción', de José Luis Guerin. Estrategias discursivas del cine documental. El caso de En construcción (José Luis Guerín, 2001) – Caliza. Encuentra aquí información de En construcción; Jose Luís Guerín para tu escuela ¡Entra ya! Ficha Didáctica del Documental "En Construcción" (2001, dir: José Luis Guerín) Título original: Entre les murs. Año: 2008. Duración: 128 min. País: Francia. El documental social: El trabajo – En construcción de José Luis Guerín.
Guerín retrata este barrio de Barcelona a través del proceso de construcción, que se vuelve esencial ya que la película basa su estructura temporal en dicho proceso. Nos damos cuenta de esto por ciertos elementos que van cambiando lentamente, mismos planos que revelan el avance de la construcción. En construccion. En Construcción (2001) de Jose Luis Guerín - AlohaCriticón.
Dialnet CiudadMuerteYTransformacionSocialLaBarcelonaDeAyer 4920079. Eldocumentalmigratorioenlacinematografiaespanola BalserosyEnConstruccionN14 Ano2016. Canet La fricci n entre el azar y lo controlado en el cine de Jos Luis Guerin. 6674 16738 1 PB. Comentarios para el encuentro con José Luis Guerin. Alumnos de 1r y 2n de Bachillerato del Insitut Moisès Broggi preparan el encuntro con José Luis Guerin trás el visionado de En construcción. Introducción Ante todo queremos agradecerle que esté hoy aquí, es para nosotros una gran oportunidad conocerle. Estamos aquí alumnos de 2º y 1º del Bachillerato de Artes. Cabanasnew. Construyendo tiempo: La Mirada de Ulises » Blog Archive » José Luis Guerín nos guía por un barrio «En Construcción» Con José Luis Guerín nos disponemos a ver «En Construcción», uno de los documentales más reconocidos de los últimos años. El director catalán nos guía en un paseo por el popular «Barrio Chino» de Barcelona para asistir a su demolición, después de contemplar unas imágenes de archivo sobre su vida en los años cincuenta.
José Luis Guerín: cuando el cine se pueda hacer como un poema, entonces será un arte libre - Mi Primer Corto. ENTREVISTA A JOSÉ LUIS GUERÍN (Parte I) : A Cuarta Parede. “El síndrome Guerin”, o la absorción por el cineasta antiguo. Paco Villar. Matar al Chino. Entre la Revolucion urba. Del Chino al Raval. Cultura i transforma. La historia del cine documental. Documental. Cuál es el origen del cine documental. Cine documental. Aproximacion del lenguaje documental. José María Aznar. Partido Popular. Dictadura de Francisco Franco. Transición española. Felipe González. Partido Socialista Obrero Español.