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Social et territoires. Territoires ruraux. Transition / Résilience écologique et Territoires. Saint-Étienne, l’envers du décor. Posted by urbanites on jeudi, septembre 16, 2021 · Leave a Comment.
L’enseignement des langues régionales et l’embarras constitutionnel. Saisi par une soixantaine de députés de la majorité, après le vote au Parlement le 8 avril dernier d’une proposition de loi « relative à la protection patrimoniale des langues régionales et à leur promotion » déposée par le député breton Paul Molac, le Conseil constitutionnel vient de rendre un verdict qui suscite de vives réactions.
Le groupe parlementaire de Paul Molac, « Libertés et territoires », envisage des recours auprès des institutions européennes ; et le président du MoDem, François Bayrou, s’insurge : « Sur l’immersion, c’est une vision totalement dépassée. Lorsque les riches arrivent en ville, les locaux perdent leur droit d’y vivre. Partout en France, certains territoires deviennent victimes de leur succès.
Avec l’essor du télétravail, de nombreux cadres des métropoles décident de changer d’air et s’installent en campagne, pour des résidences principales ou secondaires. Les populations locales deviennent alors le dommage collatéral de cet exode urbain : face à la spéculation et l’augmentation des prix de l’immobilier, il devient de plus en plus dur pour les locaux historiques de se loger, jusqu’à devoir quitter leur territoire d’origine.
Décryptage d’un phénomène de gentrification qui mériterait d’être plus encadré par les collectivités pour un mieux-vivre ensemble. La nouvelle carte des régions : des effets de transformation inattendus. La loi de 2015 portant sur la réforme de la carte des régions ne paraissait guère porteuse d’une logique de transformation.
En effet, elle a été perçue comme un prétexte pour démontrer la capacité du président Hollande à réformer, sans que l’objet de la réforme, à savoir le fait régional et ses transformations éventuelles, ait été au cœur du débat. Pourtant, en favorisant la création de régions de très grande taille, elle a actualisé et en partie renouvelé la promesse historique confiée à l’échelon régional depuis près de soixante-dix ans maintenant : celle d’une institution capable à la fois de « moderniser » la société par les politiques publiques qu’elle mène (développement économique et aménagement du territoire notamment) et par la façon plus stratégique de les conduire (la planification et les contrats entre l’État, les régions et les autres collectivités locales, entre autres).
82 monnaies locales en France : ces leviers de transitions territoriales. 10 ans après l’émergence de la première monnaie locale complémentaire en France, il en existe aujourd’hui 82 !
Elles rassemblent 10 000 entreprises & associations et 35 000 citoyens-consommateurs. Pour la première fois, une étude approfondie a permis, au terme d’un an et demi d’enquête, de mesurer l’impact concret de ces monnaies. Connaissez-vous l’eusko, la bou’sol, la sol-violette ? Ce sont des monnaies locales, complémentaires de la monnaie officielle, qui sont utilisées dans le périmètre d’une ville, voire d’une région.
Bâti dispersé, bâti concentré, des disparités territoriales persistantes (INSEE, 2021) Source : Stéphanie Himpens, Mathilde Poulhes, François Sémécurbe, Bâti dispersé, bâti concentré, des disparités territoriales persistantes, INSEE Analyses, n° 63, mai Les bâtiments sont concentrés dans les villes et villages dans le quart nord-est de la France alors qu’ils sont beaucoup plus souvent dispersés dans des hameaux et des lieux-dits dans l’ouest et le sud.
Ainsi, en 2005, 91 % des bâtiments de la région Grand Est sont concentrés, contre 62 % en Bretagne. Ces spécificités géographiques perdurent dans le temps. Les nouveaux bâtiments tendent à reproduire l’organisation existante du bâti. Cette inertie pourrait refléter la diversité des paysages plus ou moins propices à l’installation de nouveaux bâtiments en dehors des espaces déjà bâtis. Valoriser la richesse d’un territoire par un jeu de société : la démarche de Grégory Bordier. (c) Jeux Bordier, 2021 Les JEUX BORDIER sont spécialisés dans la conception et l'édition de jeux de société et proposent aux territoires qui le souhaitent de contribuer à leur promotion en mobilisant cet outil original et innovant.
Entretien avec Grégory Bordier, dirigeant de cette société et directeur de production. Grégory Bordier, pouvez-vous nous présenter votre parcours ? J’ai suivi des études de géographie en me spécialisant dans l’aménagement du territoire, à l’université de Rennes-Villejean. J’ai ensuite effectué différents stages au sein de quelques communautés de communes et j’ai créé mon poste d’emploi-jeune par le biais d’une association en tant qu’agent de promotion et de valorisation du patrimoine du Pays de Brocéliande.Pourquoi avez-vous eu l’idée de créer « Jeux Bordier » et à quelle date avez-vous lancé votre entreprise? Marques territoriales : la carte de décembre 2020. Mayotte 4, Peuplement et organisation sociale. Peuples et ethnies, les Mahorais de souche 95 % des habitants de ce petit territoire français, sont d’origine bantoue.
On compte aussi quelques familles indiennes, souvent venues s’installer sur l’île pour faire du commerce, mais aussi des Malgaches et quelques Réunionnais. Les métropolitains en poste sur l’île représentent à peine 2 % de la population. Les chiffres clés des régions en 2020. Publiée par l’association Régions de France, en partenariat avec la Banque des Territoires, l’édition 2020 des chiffres clés des régions est organisée en deux parties, les données financières générales et les grandes politiques régionales.
En 2020, les budgets des 18 conseils régionaux représentent un total de 43 milliards d’euros de dépenses, dont 25,3 milliards d’euros en fonctionnement et 12,6 milliards d’euros en investissement. Aujourd'hui mon territoire : Fiches Actions. Une proposition de loi du Sénat veut renforcer le rôle et les compétences des départements. « La crise sanitaire a montré que les départements doivent retrouver leur clause de compétence générale et obtenir de nouvelles attributions en matière médico-sociale et sanitaire pour clarifier leurs compétences et faciliter leur action de proximité unanimement reconnue », estime le sénateur du Nord, Olivier Henno, qui a déposé début octobre une proposition de loi visant à renforcer le rôle et les compétences des départements.
En effet, alors que les départements ont joué un rôle majeur dans la crise sanitaire ces derniers mois (distribution de masques, gestion des les services départementaux d’incendie et de secours, action publique de proximité…), ils ne sont pas toujours reconnus à leur juste valeur. Ils ont souvent été décriés, et leur existence même a pu être remise en cause il y a quelques années. Et « le département est aujourd’hui un échelon territorial tenu en étau. Les départements sont également confrontés à des difficultés financières. Marie Gasnier. Construire la résilience territoriale pour anticiper les chocs à venir. A quoi servent les projets alimentaires territoriaux ? - Vidéo Dailymotion. Renforcer la "démocratie participative" : la réforme du Cese devant les députés. Le projet de loi visant à donner du tonus à cette discrète instance consultative, pour en faire le fer de lance de la « démocratie participative », répond à une promesse de longue date du président Emmanuel Macron.
Le texte sera défendu dans l’hémicycle par le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti. La crise des Gilets jaunes et le « Grand débat » qui a suivi, de même que la Convention sur le climat, ont aussi montré que « les Français aspirent à être mieux associés et à participer plus directement aux décisions publiques », a relevé le garde des Sceaux devant la commission des Lois de l’Assemblée. À défaut d’un grand chamboulement qui aurait demandé une révision constitutionnelle, le projet de loi organique propose de revoir de nombreux rouages de la vénérable institution dont l’origine remonte à 1925, et qui siège au Palais d’Iéna à Paris. Il ne faudra ainsi que 150 000 signatures sur une pétition citoyenne pour demander au Cese de se saisir d’une question et rendre un avis. Le maire, élu ou punching-ball préféré des Français ? Les étés se suivent et se ressemblent. Et le Covid n'aura pas – bien au contraire – apaisé les esprits.
Alors que l'été 2019 avait été singulièrement marqué par l'agression meurtrière du maire de Signes le 5 août, nombre d'élus ont cette année encore été victimes de violences physiques et/ou verbales au cours des dernières semaines : le maire de Miribel-les-Échelles (Isère) fin juillet, celui de Saint-Philippe-d'Aiguille (Gironde) le 5 août, celui de Portbail (Manche) le lendemain (sa plainte a été classée sans suite après un simple rappel à la loi), celui de Croisilles (Pas-de-Calais) le 8 août ou tout récemment encore celle du maire de Chalifert (Seine-et-Marne), sans parler des menaces de mort reçues par celui de Givors (Rhône) le 21 août.
Communes-intercos : la nouvelle alliance ?
Occitan. .bodycard 0020. Printemps 2020 et après?