Republished study: long-term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerantgenetically modified maize. This report describes the first long-term (2-year) rodent (rat) feeding studyinvestigating possible toxic effects arising from consumption of an R-tolerant GM maize(NK603) and a complete commercial formulation of R herbicide.
The aims of thisinvestigation were essentially twofold. First, to evaluate whether the signs oftoxicity, especially with respect to liver and kidney functions, seen after 90 days'consumption of a diet containing NK603 R-tolerant GM maize [3, 7] escalated into serious ill health or dissipated over an extended period oftime. Second, to determine if low doses of full commercial R formulation at permittedlevels were still toxic, as indicated by our previous in vitro studies [8, 9].
The previous toxicity study with NK603 maize employed only this GM crop thathad been sprayed with R during cultivation [3]. What is also evident from our data is that ill effects were not proportional to the doseof either the NK603 GM maize ± R or R alone. Anti-GMO activist professor Seralini wins again in court, finding Marc Fellous guilty of forgery and defamation.
(NaturalNews) On 22 September a judge in the Criminal Court of Paris found Marc Fellous guilty of forgery and the use of forgery in order to defame Prof Gilles-Eric Seralini and CRIIGEN, a research association which focuses on the risks of genetic engineering and pesticides and the development of alternatives.
(Article republished from GMWatch.org) Marc Fellous is a GMO proponent who was formerly President of the Biomolecular Engineering Commission (CGB), which assessed the safety of GMOs in France for the ministries of agriculture and environment from 1998 to 2007. OGM, plantes mutées et hygiène chimique, l'interview de Joël Spiroux. En 2012, l’équipe Séralini publie dans une grande revue scientifique – « Food and Chemical Toxicology » – une étude sur l’herbicide Roundup ainsi que sur le maïs OGM NK603 qui le tolère, tous deux des produits de la firme Monsanto.
Menée sur des rats pendant deux ans, cette étude démontre les dangers d’une consommation de maïs OGM dans le temps, ainsi que du Roundup. Les photos de rats atteints de tumeurs énormes, affichées en une des journaux, font le tour du monde et provoquent un tollé. Monsanto et les agences sanitaires qui avaient autorisé la mise sur le marché de ces produits réagissent vivement et critiquent l’étude. Le gouvernement de l’époque tente néanmoins de montrer qu’il prend en compte les inquiétudes de la population suscitées par l’étude qui montrait, outre des tumeurs, des pathologies rénales, hépatiques et hormonales, et propose de lancer des discussions sur le sujet et une nouvelle étude, encadrée cette fois par l’Etat.
OGM, l'heure de vérité ! MesOpinions TV. Monsanto's GMO Corn Linked To Organ Failure, Study Reveals. In a study released by the International Journal of Biological Sciences, analyzing the effects of genetically modified foods on mammalian health, researchers found that agricultural giant Monsanto’s GM corn is linked to organ damage in rats.
According to the study, which was summarized by Rady Ananda at Food Freedom, “Three varieties of Monsanto’s GM corn - Mon 863, insecticide-producing Mon 810, and Roundup® herbicide-absorbing NK 603 - were approved for consumption by US, European and several other national food safety authorities.” Monsanto gathered its own crude statistical data after conducting a 90-day study, even though chronic problems can rarely be found after 90 days, and concluded that the corn was safe for consumption. The stamp of approval may have been premature, however. In the conclusion of the IJBS study, researchers wrote: “Effects were mostly concentrated in kidney and liver function, the two major diet detoxification organs, but in detail differed with each GM type. OGM : la guerre secrète pour décrédibiliser l’étude Séralini. Des grains de maïs MON810, génétiquement modifiés, produits par Monsanto, lors d’une manifestation anti-OGM à Trèbes, près de Carcassonne, le 23 janvier 2012 (ERIC CABANIS/AFP) Pour enterrer définitivement l’étude controversée du professeur Gilles-Eric Séralini tendant à démontrer la nocivité potentielle d’un maïs OGM et de l’herbicide Roundup,ses détracteurs ont trouvé un moyen simple : obtenir de la très sérieuse revue Food and Chemical Toxicology (FCT) qui l’a publiée, qu’elle se rétracte et « retire » l’étude de la liste de ses publications.
C’est à quoi s’emploient de nombreux experts, dans une bataille qui ressemble à une opération savemment orchestrée. Une véritable guerre de relations publiques où tous les coups sont permis. OGM : Monsanto échappe à une audition par l'Anses sur le maïs NK603. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Paul Benkimoun Auditionné conjointement, mercredi 7 novembre, par les commissions des affaires sociales et du développement durable de l'Assemblée nationale, un responsable de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a expliqué que l'entreprise Monsanto n'avait pu être entendue par l'agence dans le cadre des suites à donner à la publication controversée du biologiste Gilles-Eric Seralini sur les effets du maïs OGM NK603, que la firme produit.
OGM : comment Monsanto a échappé à l’audition de l’ANSES. Nap42_13510811380.pdf (Objet application/pdf) Ogm ou la science contre la démocratie (Jean-Pierre Berlan) Jean-Pierre Berlan, ex-directeur de recherche à l’INRA (Institut National de Recherche Agronomique) analyse l’affaire des conclusions de la recherche de Gilles Seralini sur un OGM, le maïs NK603.
Jean-Pierre Berlan ne tente pas de battre en brèche (ou non) le protocole de Mr Seralini, ce que la plupart des « experts » se sont empressés de faire, mais souligne les problématiques centrales que les OGM cultivés en plein champ, et voués à nourrir les êtres vivants posent : celles de la démocratie, de l’agriculture moderne des industries chimiques, du règne des experts, de l’addiction des populations aux pesticides. Montrer des dangers des éthers de glycol, du nucléaire, du sel, des Ogm expose à des déboires sûrs plutôt qu’à des promotions.
Le courage et le mérite de Séralini et de quelques rares scientifiques d’aller à contre-courant sont d’autant plus grands. La cabale anti-Séralini : le Pr Paul Deheuvels s'indigne du "communiqué des Académies" C'est une leçon de déontologie, par le directeur du Laboratoire de statistique théorique et appliquée de l'Institut Pierre et Marie Curie (Paris VI), et c'est sur le site du Nouvel Observateur : Extraits : << Ce vendredi, les Académies nationales d’Agriculture, de Médecine, de Pharmacie, des Sciences, des Technologies, et Vétérinaire ont publié un communiqué au sujet de l'étude de Gilles-Eric Séralini sur l'OGM NK 603 de Monsanto.
OGM : mettre fin à 15 ans de "débat stérile" Le professeur Gilles-Eric Séralini, auteur d'une étude tendant à démontrer la toxicité d'un maïs OGM, a appelé mardi 9 octobre les députés à instituer les conditions d'une "expertise contradictoire" pour mettre fin à quinze ans de "débat stérile" sur les organismes génétiquement modifiés.
Débat autour de l'actualité scientifique. Débat autour de l'actualité scientifique de la semaine. OGM : le champ de la discorde. OGM : comment Monsanto communique pour contrer les critiques. Le logo de la firme Monsanto (S.PERLAMAN/SIPA).
Au-delà des batailles de chiffres et de résultats, c'est d'abord à une guerre de communication que se livrent Gilles-Eric Séralini et les équipes du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen), contre le laboratoire Monsanto, coupable doublement désigné. Avec les réseaux sociaux en arbitre d'un match dont on n'a pas fini de compter les points. Une étude présentée comme un thriller Les conditions dans lesquelles ont été dévoilés les résultats de l'étude du Criigen ont tout d'une stratégie de communication murement réfléchie.
Rien n'a été laissé au hasard pour donner un maximum de retentissement à cette enquête à charge. Comme souvent en pareil cas, la stratégie de communication tient en un mot : le buzz. Dans la présentation de cette étude, tout est fait pour retenir l'attention et "viraliser". C'est aussi le storytelling qui a accompagné la révélation. Etude OGM : le Pr Séralini dénonce les "attaques des lobbies" Quelques jours après la révélation, le 19 septembre, des conclusions d'une étude choc sur la toxicité d'un OGM, le professeur Gilles-Eric Séralini s'est dit, lundi 24 septembre, "attaqué de manière extrêmement malhonnête par des lobbies, qui se font passer pour la communauté scientifique".
"C'est le même lobby qui a permis l'autorisation de ces produits et qui est activé par les entreprises de biotechnologies", a estimé l'universitaire de Caen, interrogé par l'AFP. "C'est une entreprise de salissement de l'individu pour essayer de discréditer son travail parce que la conséquence, ce serait qu'on les oblige [les entreprises de biotechnologies] à faire des études à long terme", a ajouté M. Séralini, répétant qu'il venait de publier "l'étude la plus longue et détaillée jamais faite sur un OGM". Lire : "Qu'est-ce que le maïs NK603, soupçonné de toxicité ? " Lire : "Le protocole d'étude de M. OGM: Gilles-Eric Séralini prend un gros risque, la France aussi. Gilles-Eric Séralini, GES pour les intimes, prend un gros risque avec le dernier chapitre en date de sa croisade anti-OGM.
OGM : vive la controverse ! OGM : "C'est une prise de la Bastille !" François Veillerette, porte-parole de Générations Futures, réagit à la publication de l’étude menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini sur les organismes génétiquement modifiés. L’ONG est spécialisée sur les pesticides et autres produits phyto-sanitaires utilisés dans l’agriculture. Que représente pour vous la publication de cette étude de long terme sur les rats ? OGM et herbicides : l'étude de Séralini est un bon début. L'étude de Gilles-Éric Séralini montre le danger des OGM (Closon Denis/SIPA) SCIENCES. L’étude de Gilles Eric Séralini parue dans "Food and Chemical Toxicology" le 19 septembre dernier a déclenché un véritable raz de marée médiatique.