Tomorrow Tech. [eMAG]UP MAGAZINE. [eMAG]Sciences. L’être humain a toujours tenté d’améliorer ses performances ou son bien-être au moyen, par exemple, de l’apprentissage, de la maîtrise de l’outil ou du recours à des substances comme le café, l’alcool ou d'autres types de drogues de toutes natures,... Cette possibilité qu’a l’être humain en bonne santé de s’améliorer (human enhancement) a été décuplée par les progrès de la médecine, de la chirurgie et de la pharmacie, ce n'est plus marginal. Elle peut schématiquement se référer à l’apparence corporelle (par exemple greffes de cheveux, tatouages, chirurgie esthétique…), aux performances physiques (dopage sportif, stimulants sexuels….), ou encore aux capacités du cerveau réalisant ce qui est appelé le « brain enhancement » ou encore « neuro enhancement ».Bien évidemment, le tout connecté à toutes sortes de gadgets à diodes , capteurs d'automesure,... qui mériteront une analyse plus précise dans un très prochain article sur une tendance appelée "quantify self".
De quoi s’agit-il ? [Article & Commentaires]Transhumanisme, singularité et autres folies. Un film important vient de sortir le 25 juin 2014, il s’intitule Transcendence. Vous pourriez croire à un film religieux, et c’est tout à fait cela, sauf qu’il ne s’agit pas d’une religion habituelle ou millénaire. Il s’agit de la Singularité, ou la croyance que la conscience des machines (ou d’Internet) va bientôt émerger. Les apôtres de cette nouvelle religion datent ce changement à 2029 environ, veulent vivre 1000 ans ou plus, et pensent que l’humain qui ne sera pas amélioré à l’avenir deviendra un sous-homme. On n’est pas loin du pire, vous en conviendrez. Je ne peux que vous encourager à aller voir ce film avec Johnny Depp, qui incarne un chercheur apparemment sain mais en réalité totalement malade, puisque son but est in fine de remplacer l’humain par la machine. Une machine consciente d’elle-même, et donc plus tellement machine, selon le dogme des transhumanistes.
Pourquoi Google ? Vidéo plus courte sur Kurtzweil : Gratuité de l’information Peut-on agir à notre niveau individuel ? Pas d’ordi à l’école pour les enfants des cadres de Google ou d’eBay » VousNousIls. Les employés de sociétés high-tech de la Silicon Valley dépensent une fortune pour envoyer leurs enfants dans une école Waldorf dépourvue d'ordinateurs. Crédit photo : Jim Wilson/The New York Times. Cliquer pour accéder à un diaporama sur l'école Waldorf. Le directeur technique d’eBay partage un point commun avec plusieurs cadres supérieurs de sociétés de pointe de la Silicon Valley comme Google, Apple, Yahoo et Hewlett-Packard : ils envoient leurs enfants dans une école… sans ordinateurs. La Waldorf School of the Peninsula est l’une des 160 écoles Waldorf des Etats-Unis, dont 40 en Californie, pourtant un bastion des nouvelles technologies.
La pédagogie de cet établissement repose avant tout sur l’éducation physique et le travail manuel. Il n’y a pas d’écran en classe : seulement du papier, des stylos, des aiguilles à tricoter, parfois de la terre glaise. 13.000 à 18.000 euros par an pour une éducation « déconnectée » Quentin Duverger. At Waldorf School in Silicon Valley, Technology Can Wait. La Darpa veut créer un implant cérébral pour contrôler la mémoire. La Darpa souhaite financer un programme de recherche sur la mémoire. A la clé, la création d'un implant neuronal qui pourrait aider les victimes de lésions cérébrales à retrouver leur souvenirs, mais qui pourrait également permettre d'en implanter de nouveaux à des personnes en bonne santé, par exemple pour procurer un apprentissage accéléré aux soldats de l'armée américaine.
La Darpa, l'agence du département de la Défense des Etats-Unis dédiée à la recherche et au développement de nouvelles technologies, a récemment lancé une initiative visant à créer un nouveau type d'implant cérébral. Celle-ci a été repérée par Extremetech sur le site de la FBO (Federal Business Opportunities), l'agence du gouvernement fédéral américain en charge des marchés publics, où se trouve la description du programme de recherche auquel des entreprises du secteur privé sont appelées à postuler. La description complète du projet de la Darpa peut être consultée ici. Petite Poucette : la douteuse fable de Michel Serres. Philippe Lévy - Sainte Marie aux mines (2007) Depuis un an, le petit livre de M. Serres, Petite poucette[1], fait partie des essais les plus vendus en librairie et les plus relayés dans les medias, où son auteur est très régulièrement invité.
Dans cet opuscule, issu d’un discours prononcé à l’Académie française, Serres porte un regard résolument optimiste sur le monde numérique et sur les nouvelles générations qui le portent – les petit(e)s poucet(te)s du titre -, promises selon l’auteur à une libération sans précédent, cognitive et politique, grâce aux vertus d’un monde numérisé et librement connecté. M. C’est bien une sorte de conte, une histoire fabuleuse, comme le suggère le titre du livre, que Michel Serres nous propose, et c’est ce qui rend tout d’abord ce petit livre sympathique et enthousiasmant, et explique sans doute son succès : on aimerait y croire, alors que tant d’autres essais et débats ne cessent de nous annoncer au contraire le déclin, la catastrophe, la crise, etc.
Les liens de la semaine - 9. G.A.F.A. l’ acronyme d’un quatuor qui accapare notre existence. InShare0 Faites gaffe aux G.A.F.A. ! Google, Apple,Facebook et Amazon, ces dynamiques lutins créatifs de la Silicon Valley qui depuis une bonne dizaine d'années tissent la toile mondiale de la consommation. Le premier luron devenu larron, Apple, nous vend des objets communicants, ordinateurs, tablettes ou smartphones et, avec son Apple Store met à notre disposition toutes sortes d'applications, jeux, et contenus culturels. Embarqué sur un de ses véhicules high-tech d'Apple, Google se charge, avec son moteur de recherche, de nous guider dans ce grand bazar géant,ce "souk planétaire" qu'est devenu le monde de la connaissance , de la culture , de la distraction et plus généralement de la consommation, en prenant au passage de solides commissions avec les commerçants et autres marchands que l'on est susceptible de rencontrer.
Avec des montagnes de cash, En payant le moins d'impôts possible, Share and Enjoy. The real cyborgs - in-depth feature about people merging with machines. Ian Burkhart concentrated hard. A thick cable protruded from the crown of his shaven head. A sleeve sprouting wires enveloped his right arm. The 23 - year-old had been paralysed from the neck down since a diving accident four years ago. But, in June this year, in a crowded room in the Wexner Medical Centre at Ohio State University, Burkhart’s hand spasmed into life. At first it opened slowly and shakily, as though uncertain who its owner was. But when Burkhart engaged his wrist muscles, its upward movement was sudden and decisive.
The technology that made this possible, Neurobridge, had successfully reconnected Burkhart’s brain with his body. But such milestones are coming thick and fast. A growing cadre of innovators is taking things further, using replacement organs, robotic prosthetics and implants not to restore bodily functions but to alter or enhance them. Ever since the earliest humans made stone tools, we have tried to extend our powers. The Cybernetic Human. [EVENEMENT]Transvision 2014 | Conférence AFT. [EVENEMENT]TransVision 2014 - Introduction générale (Marc Roux) [ETUDE]www.credoc.fr/pdf/Rapp/R313.pdf. [SONDAGE]Que pensent les français des GAFA ?