La censure, même pas morte ! La presse et la loi de 1949, entre censure et autocensure. À l’automne 2002, la rentrée littéraire a été agitée par la menace de l’interdiction à la vente aux mineurs par le ministère de l’Intérieur du roman Rose Bonbon, écrit par Nicolas Jones-Gorlin et publié par les éditions Gallimard, en application de la loi du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse.
Édito #11 : Mais d'où viennent ces bulles ? Quand nous lisons une bande dessinée, il y a plusieurs conventions que nous avons tellement intégré que nous n'y faisons même plus attention.
Les cases et leurs gouttières, le sens de lecture (quoique la lecture des mangas nous force déjà à un petit exercice mental) ou encore les bulles. Mais essayez d'imaginer une bande dessinée sans bulles. Alors certes vous allez en trouver des exemples, souvent expérimentaux, mais cela serait très difficile de repenser toute la BD sans ces petits ballons. En images : ces BD adaptées au cinéma. Les aventures du personnage de bande dessinée Gaston Lagaffe, imaginé par Franquin, vont prochainement être adaptées au cinéma.
Une adaptation qui vient allonger la liste des films inspirés par le 9e art. La peinture fait de l’œil à la BD - L'Est Républicain. La bande dessinée n’est vraiment pas rancunière.
Pendant presque un siècle, l’art officiel a accordé au mieux un regard condescendant à ce qui n’était pas encore reconnu comme le 9e Art. Des décennies durant, on l’a reléguée au rang de sous-culture, alors que de vrais génies comme Winsor McCay pouvaient dès 1905 revendiquer le statut d’artiste et qu’Hergé avait un sens de la narration visuelle inégalable il y a 80 ans déjà. Mais on ne voyait pourtant là que de « petits Mickey » réservés à un medium destiné exclusivement aux enfants. Ne pas détecter en Little Nemo un chef d’œuvre graphique autant que poétique était pourtant faire preuve de grand aveuglement, hélas il est des époques moins lucides que d’autres...
Bref, un complexe d’infériorité a alourdi longtemps les bulles, et les tire encore parfois vers le bas. Édito #32 : Bande-Dessinée franco-belge et jeu-vidéo. Résumé Historique de la bande dessinée. Jean-Yves Mitton :" Mon plaisir, câest de donner du plaisir au lecteur." Jean-Yves Mitton :" Mon plaisir, c’est de donner du plaisir au lecteur.
" 23 octobre 2012 Jean-Yves Mitton présente plus de cinquante années de carrière en se diversifiant dans de nombreux styles.Il parvient à nous raconter des récits palpitants, à nous offrir une panoplie de styles attrayants, créant une ambiance à laquelle peu d’auteurs parviennent. Avec Messalina, il use de son talent pour le récit historique au service d’histoires érotiques qui ravissent ses fans. Vous travaillez actuellement sur "Messalina" dont l’acte 3 vient de paraître il y a peu, selon nous, une réussite narrative et visuelle aux personnages attachants. Les comparaisons sont fréquemment peu évidentes mais prenez-vous autant de plaisir à réaliser cette série que "Vae Victis" Mon plaisir, c’est de donner du plaisir au lecteur. Messalina était le personnage sulfureux idéal pour mener une série porno.
Système de la bande dessinée - le site de Thierry Groensteen. Séquence 3 : Bande dessinée, mode d'emploi - le site de Thierry Groensteen. Voici les premières pages d’un manuel pédagogique, principalement destiné aux enseignants, qui explicite, dans une démarche progressive, les fondamentaux de la bande dessinée, son langage, son esthétique.
Dans sa version complète, ce manuscrit comporte des reproductions de 51 planches. Il a été écrit de telle sorte que le texte ait constamment une image de référence en appui. Je remercie très chaleureusement les auteurs et éditeurs des images reproduites et commentées dont ils détiennent le copyright. L’ouvrage a paru début janvier 2008 aux Impressions nouvelles. De l'origine et de la diversification des genres - le site de Thierry Groensteen. Diffusée sous une forme imprimée, la bande dessinée est un produit de librairie, tout comme la littérature.
Pour cette raison, mais aussi parce qu’elle se voue principalement au récit de fiction, et de plus accueille en son sein des énoncés linguistiques, elle a souvent été décrite comme un genre paralittéraire (ceux qui veulent la discréditer disent infralittéraire). Ce malentendu demande à être dissipé. D’abord, parce que la bande dessinée est essentiellement, à l’instar du cinéma (ou du roman-photo), un art du récit par l’image. Lu ! bande dessinée BD. Lu ! Histoire de la Bande Dessinée. Dinosoria. Yellow Kid Au début des années 1890, le dessinateur Richard Outcault donne au journal New York World des dessins mettant en scène les gamins des quartiers populaires de Manhattan.
Le héros est tout d’abord un garçonnet aux larges oreilles, vêtu d’une chemise de nuit bleu. Lu ! L’histoire de la bande dessinée : singularités et perspectives. C’est avec un considérable retard sur l’émergence et l’affirmation de la bande dessinée (du triple point de vue sociologique, économique et artistique) que l’histoire du média a commencé d’être écrite.
Rodolphe Töpffer, le « père fondateur », en avait esquissé la généalogie en évoquant les caricaturistes anglais et les imagiers populaires qui l’avaient précédé. Lu ! Exposition virtuelle - Maîtres de la BD européenne - Arrêt sur anti-héros. Lu ! Exposition virtuelle - Maîtres de la BD européenne. Lu ! La BD est Charlie. En réponse aux tragiques événements du 7 janvier dernier, dessinateurs de presse et bédéistes du monde entier ont spontanément dessiné.
Jamais le proverbial «Une image vaut mille mots» n’aura été aussi juste et percutant. Lu ! La bande dessinée réunie autour de Charlie Hebdo. Il fallait bien qu'il y ait un après. Et pour l'accompagner, les éditeurs de bande dessinée en France ont décidé de s'associer : une vingtaine de maisons a choisi de se regrouper pour un nouvel hommage aux dessinateurs de Charlie Hebdo, Cabu, Wolinski, Charb, Tignous et Honoré. Ils font communément réaliser un ouvrage de 200 à 300 pages, un livre collectif totalement inédit.
Lu ! Cyprien signe chez Dupuis : bientôt une BD pour le YouTuber !