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Surcharge cognitive

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Philippe Breton est un menteur. What the Internet is Doing to Our Brains. L'obligation de déconnexion : un exemple à suivre pour les entreprises. Obligation de déconnexion de 11 heures consécutives des outils de communication : le bon exemple à suivre de l'avenant à l'accord sur les 35 heures du Syntec pour les salariés des sociétés d'ingénierie et de conseil. par Caroline Sauvajol-Rialland Après 7 mois de négociation, le Syndicat des sociétés d'ingénierie et de conseil et des bureaux d'études (Syntec) annonçait la signature le 1er avril 2014 d'un accord avec les syndicats (CGC et CFDT), sous forme d'un avenant à un précédent accord conclu en 1999, sur les 35 heures.

L'obligation de déconnexion : un exemple à suivre pour les entreprises

Cet avenant rappelle l'attachement des parties aux droits de la santé et de la sécurité des salariés et impose une "obligation de déconnexion des outils de communication à distance" d'une durée de 11 heures consécutives pour les 250 000 personnes qui sont concernées par l'accord et un suivi médical à l'initiative des salariés afin de "prévenir les risques éventuels sur la santé physique et morale". Flux d'information : 7 astuces pour le gérer efficacement. Aujourd’hui, nous sommes bombardés d’informations.

Flux d'information : 7 astuces pour le gérer efficacement

Si on ne fait pas le tri, on est vite submergé. L’idée, c’est de filtrer ce flux constant qui nous arrive. Comme à la pêche, on va choisir quels poissons garder et lesquels remettre à la mer. Car soit le poisson n’est pas comestible, soit il n’y a rien à manger. Dans cet article, vous découvrirez 7 astuces pour vous libérer de la surcharge d’information. [halshs-00155119, v1] Surcharge informationnelle, urgence et TIC. L'effet temporel des technologies de l'information - HIM_A. #pdlt : Ce qu’internet apprend à nos cerveaux. Changement d’horaire et de jour de diffusion pour Place de la Toile, l’émission consacrée aux nouvelles technologies sur France Culture.

#pdlt : Ce qu’internet apprend à nos cerveaux

Is Google Making Us Stupid? - Nicholas Carr. Illustration by Guy Billout "Dave, stop.

Is Google Making Us Stupid? - Nicholas Carr

Stop, will you? Stop, Dave. Will you stop, Dave?” So the supercomputer HAL pleads with the implacable astronaut Dave Bowman in a famous and weirdly poignant scene toward the end of Stanley Kubrick’s 2001: A Space Odyssey. I can feel it, too. I think I know what’s going on. For me, as for others, the Net is becoming a universal medium, the conduit for most of the information that flows through my eyes and ears and into my mind. Internet et Google vont-ils finir par nous abrutir. Voici la traduction d’un article assez passionnant qui a connu un bel impact dans la sphère anglophone au moment de sa mise en ligne cet été. Son titre choc Is Google Making Us Stupid ? Est un peu trompeur car il s’agit bien moins de charger l’emblématique Google que de s’interroger sur les transformations profondes induites par internet et les nouvelles technologies, transformations qui peuvent aller jusqu’à modifier nos perceptions, nos modes de pensée, voire même notre cerveau.

Prenons le Framablog par exemple. Il possède, merci pour lui, d’assez bonnes statistiques d’audience globales, mais lorsque l’on se penche sur la moyenne du temps passé par page, c’est la grosse déprime car cela ne dépasse que trop rarement les deux minutes, intervalle qui ne vous permet généralement pas d’y parcourir les articles du début à la fin. En décidant d’en achever la lecture bien avant la conclusion, peut-on affirmer que plus de la moitié des visiteurs ne les trouvent pas intéressants ? #pdlt : Ce qu’internet apprend à nos cerveaux. Edouard Le Maréchal, BVA : « Les représentants de la génération numérique évoluent plus facilement face aux changements ».

Surcharge informationnelle, urgence et TIC. l'effet temporel des technologies de l'information. De la communication à la rédaction Web: n’oubliez pas l’ergonomie. La surcharge informationnelle dans l’organisation : les cadres au bord de la « crise de nerf » La surcharge informationnelle dans l’organisation : les cadres au bord de la « crise de nerf » Caroline Sauvajol-Rialland, auteure de « Mieux s'informer pour mieux communiquer », Dunod Télécharger le Magazine pour plus de confort de lecture de cet article Toute activité pour se réaliser utilise et produit de l’information.

La surcharge informationnelle dans l’organisation : les cadres au bord de la « crise de nerf »

Elle permet à l’organisation et à l’homme de se situer dans son environnement (1) et de prendre des décisions de façon éclairée. Elle intervient comme un réducteur d’incertitude. Cette information, interprétée et structurée devient connaissance. . (1) Bruno Latour (1994), De l’humain dans les techniques ". Pour Brigitte Guyot, un individu au travail est à la fois producteur et utilisateur d’informations. Par ailleurs, la surcharge informationnelle est corrélé à la surcharge d’activité.

. (6) Laboratoire CREPA Université Paris-Dauphine (2005) et étude de REUTERS (1998)