Crimes écrits (littérature et faits divers) Dans En France (2014), Florence Aubenas rappelait cette question constamment posée aux journalistes par leurs lecteurs : « pourquoi cette histoire et pas une autre ?
» Chaque fois, répond-elle, « un événement », « incendie ou élection, meurtre ou mariage, peu importe, quelque chose ». Et le reportage surgit « dans cette zone d’opacité-là, entre des questions et des réponses qui ne coïncident pas ». Ainsi est né L’inconnu de la poste, enquête de six ans sur un fait divers saturé de questions sans réponses. Peu avant Noël, au Sud de Londres, est retrouvé le cadavre d’une jeune femme, Zalie Dyer. L’enquête commence et un suspect est très vite désigné : M.
Après Opération Copperhead, Jean Harambat est de retour et avec lui, Agatha Christie, G.K. Un homme écrit à sa femme depuis un pénitencier. « Mon avocat dit que je dois tout raconter ». Delphinesbooks : Le blog change de tête (fond ... Le blog de Jean-Marc Laherrère. Site de critiques/conseil. "Joyeux anniversaire L’Ivre de Lire!!!" Il y a un an aujourd’hui, pour être vraiment exact, ce soir à 19h et des brouettes, je décidai d’ouvrir le blog « L’Ivre de Lire ». Je me rappelle encore ma fébrilité lorsque, après avoir terminé mon inscription sur WordPress, je me retrouvai pour la première fois face à l’écran d’administration, et avec pour seul article, sur le thème standard, le fameux « Hello World !
». Il y a eu, forcément un moment de panique, me demandant si je n’avais pas fait une connerie, et ce que j’allais désormais devoir faire… Et puis, j’ai souri, et je me suis dit « On s’en fout ! Au boulot ! On verra bien si quelques personnes sont intéressées à venir te lire ! Un an après, dans ce jour anniversaire qui me comble de bonheur, je peux vous dire avoir vécu avec « L’Ivre de Lire » durant cette année écoulée une aventure extraordinaire, et certainement une des plus enrichissante de ma vie. Et puis surtout, je tiens à remercier tous les personnages des romans qui durant cette année m’ont accompagné. Voilà ! Félin qui mange ses cinq livres et essais par jour.
Littérature : les éditeurs qui raflent tous les prix. Confitures de culture. Pierre Jourde. Chaplum’ Livres pour les jeunes et les « Isidor » HomoEdu. Mon panier de lectures. Pourquoi ce blog ?! « Brèves littéraires. J’ai commencé à rédiger des critiques littéraires sur mon premier blog, où je parlais également de la culture numérique au travers d’articles hebdomadaires nommés Digital Friday.
Plus les semaines ont passées, plus je me suis aperçue que ce blog manquait de cohérence. J’ai donc décidé de diviser mon premier blog, Brèves culturelles, en deux : Brèves numériques et Brèves littéraires. Et voici les raisons pour lesquelles j’ai décidé de partager mes lectures, mes coups de coeur, une de mes grandes passions ! Être dans une bibliothèque, regarder les milliers de livres qui nous entourent et ne pas savoir vers où se tourner. Ne pas savoir lequel déloger de son emplacement sur l’étagère pour en lire le résumé. Chemins de lecture (17) - Black Dahlia, Black USA, Black Ellroy. Du sang de l’Amérique aussi.
Avec ses livres, plus noirs que l’encre, on oscille en permanence entre le fait divers épouvantable et l’Histoire récente, non moins épouvantable (les années soixante essentiellement), des USA. Les personnages sont des « serial killers » (« Un Tueur sur la Route »), des psychotiques, des flics désabusés, désespérés ou pourris, mais aussi John Kennedy, Richard Nixon, Bob Kennedy, Edgar Hoover, ceux qui ont fait les USA de ces années Vietnam, de ces années Cuba, de ses années Chili, entre autres. De complot en manipulation d’état, de crimes sordides en exactions maffieuses, le dédale des romans d’Ellroy n’a rien de reposant. Jamais le « roman noir » n’a mieux mérité son nom. Mais ce n’est pas vraiment nouveau : les polars américains n’ont jamais rien eu de reposant. L’œuvre de James Ellroy est tricotée de trois univers : Univers 1 : L’obsession des « serial killers »
. - Univers 2 : LA Ville. . - Enfin, univers 3 : La corruption du pouvoir. . - J.E. : Nooooon ! Salon littéraire. L'actualité littéraire, par Pierre Assouline. Hemingway, Fitzgerald: l'alcool a-t-il aidé ou freiné les grands écrivains? Dans mes deux derniers billets, j’ai évoqué la consommation de caféine des artistes et rappelé que de nombreux écrivains du XXe siècle prenaient des amphétamines pour booster leur production.
Mais qu’en est-il de l’alcool? Les grands artistes de l’histoire n’étaient-ils pas souvent aussi de grands buveurs? Oui et non. En faisant mes recherches pour mon livre Daily Rituals, j’ai trouvé que si nombre d’artistes buvaient effectivement beaucoup, rares sont ceux qui mélangeaient l’alcool avec leurs heures de travail. Même les alcooliques reconnaissent que boire rend leur production créative un peu trop facile et leur appréciation du résultat un peu trop indulgente. Publicité Comme l’écrivait George Sand dans son autobiographie: «Il est vrai que je ne crois pas à Byron ivre faisant de beaux vers. Les gueules de bois de Bacon «J’aime souvent travailler avec une gueule de bois parce que mon esprit a plein d’énergie et je peux penser très clairement.» Le blog de Nunzio Casalaspro. Art et littérature, le journal. Stalker est le blog érudit et polémique de Juan Asensio, auteur, essayiste et critique littéraire.