Eddas. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Frontispice d'un manuscrit médiéval des Eddas Les Eddas sont deux manuscrits du XIIIe siècle fort différents qui constituent des compilations poétiques. Le premier, est un manuel d’initiation à la mythologie nordique destiné aux jeunes poètes. Son auteur, Snorri Sturluson, un scalde islandais, était un grand seigneur qui s'est impliqué dans les luttes politiques de l'Islande et est mort assassiné. Il a aussi écrit une histoire des rois de Norvège. Le second, le Codex Regius contient les grands poèmes sacrés et héroïques qui forment l'Edda poétique. La poésie scaldique est avant tout affaire de forme, elle refuse le mot propre en lui substituant une périphrase ou métaphore et elle laisse toute liberté à l'agencement des mots, au mépris de la syntaxe.
Source indo-européenne des Eddas[modifier | modifier le code] de la fonction juridico-magico-sacerdotale (Odinn),de la martiale (Thor, Tyr, Odinn)et de la fertilité-fécondité (Vanes). Edda de Snorri. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sans doute rédigée à partir de 1220 par le poète, historien, mythographe et homme politique islandais Snorri Sturluson, l’Edda ou Edda de Snorri (Snorra Edda en vieux norrois, langue dans laquelle elle est rédigée), également connue sous les noms d’Edda en prose et de Jeune Edda, se veut d’abord un manuel de poésie scandinave traditionnelle, la poésie scaldique.
Mais c’est aussi et surtout une présentation complète et organisée de la mythologie nordique, qui en fait l’un des chefs-d’œuvre de la littérature médiévale et un classique de la littérature islandaise. L’Edda a joué un rôle majeur dans la redécouverte de la mythologie germanique au XVIIIe siècle et elle a servi de base, au siècle suivant, aux premiers travaux de recherche sur le sujet. Elle constitue en effet la principale source de notre connaissance de la mythologie nordique, sans laquelle de nombreux autres témoignages resteraient incompréhensibles. Svartálfar. Edda poétique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'Edda poétique est un ensemble de poèmes en vieux norrois rassemblés dans un manuscrit islandais du XIIIe siècle, le Codex Regius. C'est aujourd'hui la plus importante source de connaissances sur la mythologie scandinave. On l'appelle aussi ancienne Edda ou Edda Sæmundar, en référence à Sæmundr Sigfússon dit Saemund le sage, à qui fut attribuée la rédaction du codex. Le Codex Regius[modifier | modifier le code] L'Edda poétique tombe dans l'oubli puis est redécouverte en Islande par le pasteur luthérien Brynjölfur Sveinsson en 1643.
Paternité de l'œuvre[modifier | modifier le code] À l’heure actuelle, on ne sait pas à qui attribuer le travail de collecte des poèmes renfermés dans le manuscrit. Poèmes inclus dans l'ancienne Edda[modifier | modifier le code] Le nombre des poèmes qui composent l'Edda est variable suivant les éditions qui publient le recueil. Les poèmes mythologiques[modifier | modifier le code] Hávamál — L'ode du Très-Haut - cr. Völuspá. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La Völuspá ['vœ:løspá] (en français « prophétie de la voyante » ou « dit de la voyante ») est un poème anonyme en vieux norrois de mythologie nordique probablement composé au Xe ou XIe siècle. Il s'agit sans conteste de la plus célèbre œuvre parmi les poèmes mythologiques contenus dans l'Edda poétique. Long de 59 à 66 strophes selon les versions, il est préservé dans les manuscrits islandais Codex Regius et Hauksbók, rédigés respectivement aux XIIIe et XIVe siècles. Une trentaine de strophes sont également citées dans l'Edda de Snorri, écrit au XIIIe siècle. La Völuspá est un poème cosmogonique et eschatologique qui prend la forme d'un long monologue où une voyante expose au dieu Odin, en une série de visions riches de détails, l'histoire et le destin du monde, des dieux et des hommes, depuis l'origine du monde jusqu'au Ragnarök qui verra l'avènement d'un renouveau de l'univers.
Völuspá. Völuspá (Old Norse Vǫluspá, Prophecy of the Völva (Seeress); Modern Icelandic [ˈvœːlʏˌspauː], reconstructed Old Norse [ˈwɔluˌspɑː]) is the first and best known poem of the Poetic Edda.
It tells the story of the creation of the world and its coming end related by a völva addressing Odin. It is one of the most important primary sources for the study of Norse mythology. The poem is preserved whole in the Codex Regius and Hauksbók manuscripts while parts of it are quoted in the Prose Edda. Niðavellir. In Norse mythology, Niðavellir (anglicized as Nidavellir, Dark Court or Dark Dwelling) is the home of Dwarves.
Hreidmar is the king of Nidavellir. Nida means dark while vellir means Dwelling. It should however be noted that it is translated as 'Fields' sometimes. 'Nidavallir' is the more recognized name but in the Völuspa it is written as Nidavöllum. Norse dwarves. In Germanic mythology, a dwarf is a being that dwells in mountains and in the earth, and is variously associated with wisdom, smithing, mining, and crafting. Dwarfs are often also described as short and ugly, although some scholars have questioned whether this is a later development stemming from comical portrayals of the beings.[1] Les mythes scandinaves. Par la suite, Gudrun s’enfuit du château, répugnée par le meurtre qu’avaient commis ses frères (en outre, Siegmund, le fils qu’elle avait eu avec Sigurdr, avait été tué lui aussi.).
Cependant, Gunnar et Hogni décidèrent de la rejoindre, proposant un dédommagement à leur sœur en compensation du meurtre de son époux. Rentrant alors au palais familial avec eux, La reine Grimhild fit boire un philtre magique à ses enfants, afin qu’ils ne se souviennent plus de leur mésentente. Par la suite, les Nibelungen poussèrent Gudrun à épouser le roi Atli. Mais ce dernier n’était intéressé que par l’or de Sigurdr, qui était dès lors entre les mains de Gunnar et Hogni. Atli, invitant les deux frères chez lui, les trompa et les fit prisonniers. Par la suite, Atli prépara un banquet pour les funérailles de Gunnar et Hogni. Peu de temps après le meurtre d’Atli, Gudrun s’enfuit en bateau. Les années passèrent, et Swahild devint une belle jeune femme… ce qui ne manqua pas d’attirer les convoitises.