background preloader

Réseau Crise

Facebook Twitter

Comment utiliser les réseaux sociaux en situation d’urgence. Gouvernement.fr, le portail du Gouvernement consacre un dossier complet vade-mecum à une question essentielle : Comment utiliser les réseaux sociaux en cas d’urgence. En effet, les réseaux sociaux constituent un nouveau canal de communication qui permet aux citoyens dans une démarche participative, de se mobiliser notamment en cas de crise. On appelle cela les #MSGU ou utiliser les Médias Sociaux en Gestion d’Urgence. Médias Sociaux en Gestion d’Urgence : chaque citoyen peut apporter son aide En cas de nécessité, catastrophe naturelle par exemple, l’Etat peut alors s’appuyer sur des internautes/mobinautes mobilisés et volontaires pour diffuser l’information officielle fiable sur la crise en cours, et aussi remonter de l’information de terrain via les outils du Web social : tweets, photos géolocalisées, cartes interactives, outils contributifs… La gestion de crise devient alors plus efficace. 4 infographies pour agir sur les réseaux sociaux en cas de situation d’urgence Soyez responsable !

Rumours and lies: 'The refugee crisis is an information crisis' | Global Development Professionals Network. “You need to puncture your raft before you arrive, or they’ll send you back.” “If you apply for the relocation programme, they send you to Venezuela.” “In Europe you won’t need money, everything is free.”

These are just three of the many confusing rumours that migrants and refugees might hear. Some of them are downright dangerous, like the one about the raft. Others cause people to make the wrong decisions or take risks. In response, the Mediterranean Rumour Tracker project has been launched to better inform migrants of the facts. “With our Facebook pages, we reach about 350,000 people,” says Stijn Aelbers of InterNews, the organisation that has set up the rumour tracker in collaboration with two other NGOs: Translators without Borders and ActionAid.

Migrants and refugees are constantly on the move; this means traditional media often don’t reach them. Some rumours arise simply because people misinterpret information they get. Rumours can also be damaging in other ways. The phone app challenging violence against women in a Mumbai slum | KumKum Dasgupta | Global development. Bhanuben lets out a throaty laugh when asked if the men of Dharavi are scared of her and her team. “Not yet ... but they are a tad wary of us these days,” says the 42-year-old community worker for SNEHA (Society for Nutrition, Education and Health Action), a Mumbai-based NGO. Mumbai’s Dharavi slum is home to anywhere between 300,000 and 1 million people. Bhanuben was born and brought up here and knows the place like the back of her hand, and the challenges of surviving in this “teeming slum of 1 million souls”. “There is a high incidence of gender violence here, but I have been lucky,” says Bhanuben, a mother of two sons, adding: “My husband is a good man.”

Violence against women is pervasive in India and much of it – domestic violence, dowry deaths, acid attacks, honour killings, rape, abduction and cruelty – is at the hands of family members. In multi-ethnic Dharavi, the problem is compounded by the fact that most women are poor and uneducated. Parcours de réfugiés - Walter, migrant, ingénieur informatique… et animateur Ideas Box ! - Libération.fr.

Par Romain B. En mars dernier, à notre arrivée dans le camp d’Eleonas à Athènes avec l’Ideas Box, un homme s’est tout de suite fortement impliqué dans l’animation et la maintenance de notre médiathèque en kit. Il s’appelle Walter. Walter a 37 ans, il est Ougandais et ingénieur informatique de formation. Menacé en raison de ses opinions politiques, il fuit l’Ouganda en 2014, laissant derrière lui sa femme et sa petite fille de huit ans.

De l’Ouganda à la Grèce, son parcours est pour le moins chaotique. Il passe plusieurs mois en Turquie où, surpris par les garde-côtes, il est emprisonné quelques jours. Alors que nous déployons pour la première fois l’Ideas Box dans le camp d’Eleonas, Walter nous fait part de sa passion des nouvelles technologies. Utilisation d’ordinateurs au sein de l’Ideas Box, à Eleonas en Grèce. Les Smartphones et les Réseaux Sociaux comme outils d'aide à l’alerte face aux inondations : enjeux et perspectives. Les smartphones et les réseaux sociaux pour aider à l’alerte Ce séminaire, qui a réuni plus d’une centaine de participants (et 800 « téléspectateurs » à distance via la visioconférence qui a été mise en place par l’Université sur les deux jours), a été l’occasion de fédérer les scientifiques, les prévisionnistes, les gestionnaires de crise, les services en charge de la sécurité civile (administrations et collectivités territoriales) et les entrepreneurs autour d’une question commune : les Smartphones et les Réseaux Sociaux peuvent-ils contribuer à optimiser l’efficacité de l’alerte face aux inondations en France (cf. programme ci-dessous) ?

Les médias sociaux en gestion de l’urgence : les #MSGU Quels types d’informations sur les réseaux sociaux ? Au cours de l’ouragan Sandy qui a frappé les Caraïbes et les États-Unis dans les derniers jours du mois d’octobre 2012, pas moins de 20 millions de tweets ont circulé pendant l’évènement. L’usage des #MSGU du côté des acteurs de la sécurité civile. Mobiles et situations d’urgence. Mobiles et situations d’urgence Depuis plusieurs années, les professionnels de l’urgence et des secours, les ONG et les agences de protection civile expérimentent les technologies mobiles lors des catastrophes.

D’une part pour la prévention (l’alerte des populations concernées) mais aussi pour l’analyse et la coordination des opérations de secours. Certains des pays les plus exposés aux catastrophes naturelles (Chine, Bangladesh, Corée Philippines, Japon) ont aussi mis en place, à grande échelle, des services d’alerte par SMS en cas de catastrophe. Des cartes pour orienter les secours Sur le volet «coordination des secours», de nouveaux types de pratiques et d’outils mobiles ont vu le jour. Il s’agit de dresser la carte des situations de crise à partir de messages adressés par SMS par les acteurs de terrain.

Voir aussi : Des applications sociales pour l’aide aux victimes Séisme et tsunami au Japon Réseaux sociaux et communication d’urgence Le tremblement de terre en Virginie. PHILIPPINES • Appeler à l’aide en 140 signes. Dans Manille inondée, les réseaux sociaux prennent le relais des services de secours débordés. Les internautes encore connectés lancent des appels au secours relayés sur Twitter et Facebook. Trempée jusqu’aux os et épuisée, Joann Fernandez, enceinte de huit mois, craignait de passer une nouvelle nuit dans sa maison envahie par les eaux, dans la banlieue de Manille, frappée par les inondations. “Je restais assise dans le noir à pleurer, mes deux enfants serrés contre moi”, se souvient Mme Fernandez.

“J’ai fini par avoir tellement peur que je suis allée à la fenêtre, j’ai sauté dans le vide et me suis mise à nager”, raconte-t-elle. Avec l’aide d’inconnus, la jeune maman et ses enfants ont pu gagner les hauteurs et se réfugier dans une maison où s’entassaient déjà six autres familles. “C’était dur, certes, mais mes enfants et moi, nous devions survivre.” Cris de panique en ligne Un autre élément vient corser le récit de Mme Fernandez. 5 Social Media Lessons From the Haiti Earthquake Relief Effort. Geoff Livingston co-founded Zoetica to focus on cause-related work, and released an award-winning book on new media Now is Gone in 2007. While terrible in scope and nature, catastrophes like the Haiti earthquake bring out the best in people. In the age of social media, we get to witness this firsthand. With the widespread adoption of social media in the non-profit sector, people's ability to act and support communities in need like Haiti has only been increased.

There's no greater example of this than the incredible fundraising job the American Red Cross did with social and mobile channels. With its texting campaign, the American Red Cross raised more than $20 million. "The speed and quantity with which the American public retweeted and posted to Facebook the need for donations to help with relief efforts in Haiti was (for anything we've seen at the Red Cross) unprecedented," said Wendy Harman, the social media manager at the American Red Cross. 1. 2. 3. 4. 5. 5 Unique Stories of Social Media Saving the Day. David Spark (@dspark) is the founder of Spark Media Solutions, an organization that helps companies build industry voice through storytelling and social media. He blogs at The Spark Minute and can be seen and heard regularly on Cranky Geeks, KQED, Green 960, and ABC Radio.

From tracking fires through Twitter to breaking news before you see it on a major news network, we're constantly hearing stories of how social media connections enable the community to help each other out in times of crisis. We love these stories. So here are five unique tales of social media coming to save the day. 1. Dr. For emergency situations, such as Hurricane Ike in Texas, Ramirez set up a closed Twitter network that's used for private non-official conversation and communication among his team and their partners, the Red Cross and Loews Emergency Response Team.

During a disaster, the top issues are usually locating potable water, gasoline, food, shelter, and electricity. 2 & 3. 4 & 5. Social Media During a Crisis – Interview with Curtis Sliwa, WABC Radio. Crowdmapper les violences sexuelles en Syrie. Les informations qui nous proviennent de Syrie sont rares, et concernent principalement les bombardements, les exécutions et les arrestations. Mais qu'en est-il des violences sexuelles ? Celles-ci augmentent systématiquement en cas de crise, qu'il s'agisse d'une guerre, d'une catastrophe naturelle, ou d'une crise humanitaire.

Pour qu'elles ne restent pas dans l'ombre en Syrie, le projet américain Women Under Siege, qui se bat contre le viol comme arme de guerre, a mis en place une carte interactive des violences sexuelles dans le pays, avec la technologie libre Ushaidi. Les agressions sont répertoriées par lieu, et en cliquant sur la carte, il est possible d'obtenir des informations plus détaillées sur chacune d'entre elles, notamment sur le type de violence, sur le profil de ou des agresseurs et aussi... sur la source de l'information. Les limites du crowdsourcing en temps de guerre Car c'est là que réside toute la difficulté du projet.

Des données incomplètes, mais utiles. Using Twitter during hurricanes (or other crises) - Ernie The Attorney. During Hurricane Gustav I used a web-service called Twitter to keep up with what was going on around me. And people I know used it to keep up with what was happening with me. Before Gustav I didn’t care much for Twitter. Now I get it, at least as a way of gathering information during a crisis. Here’s the deal. Now that Hurricane Ike is barreling down on Texas I suspect that people there will learn how to text message a little better. If you want to use Twitter to broadcast you have to register (it’s free) and get an identity on Twitter. Reading only my tweets would be kind of useless during a hurricane like Gustav (and completely useless when there is nothing special happening). The reason I mention YatPundit and Nolanotes is that those were two people that I found to be very insightful and witty, qualities I look for in people I follow on Twitter.

Ushahidi. Crisis Info: Crowdsourcing the Filter. What happened in Mumbai was a classic “hot flash” event: they’re hard to detect before they happen, and they’re over relatively quickly. There is little to no time to deploy anything and still be relevant once the event has started. It was that crisis that started two members of the Ushahidi dev community (Chris Blow and Kaushal Jhalla) thinking about what needs to be done when you have massive amounts of information flying around. We’re at that point where the barriers for any ordinary person sharing valuable tactical and strategic information openly is at hand. How do you ferret the good data from the bad? When the noise is overwhelming the signal, what do you do? Thus began project “Swift River” at Ushahidi, which for 3 months now has been thought through, wireframed, re-thought and prototyped.

And, after all that, we’re not done, but we do have some solid ideas on what needs to be done. How does it work? At this point we have successfully filtered a large amount of data. What Next? Emergency, Disaster and Crisis Information in Real Time | CrisisWire.com Emergency. Missing Project | Le projet. Philippines : les internautes au service des secours. FR:Humanitarian OSM Team. Le projet mapkibera (mapkibera.org) forme des habitants de Kibera, Nairobi à la création de leur propre carte avec OpenStreetMap OpenStreetMap utilisé par les équipes de secours après le séisme d'Haiti. La communauté a réagi rapidement, en créant les meilleures ressources cartographiques disponibles au monde.

Nos cartes sont toujours utilisées pour planifier la reconstruction, et les volontaires de H.O.T. sont sur le terrain à Haïti pour former les habitants à l'utilisation et l'enrichissement des données Des cartes libres et collaboratives sont extrêmement appréciées pour l'aide humanitaire, notamment dans les endroits où la carte de base est souvent peu renseignée et pas à jour. Objectifs de H.O.T. Missions Principales Sensibilisation, communication et formation cartoparties (mapping parties) interventions écrites et orales dans les réunions techniques humanitaires (ONG et ONU) Recherche et conception Stratégie moyen-terme inspirée par Haïti et suggestions HOT Package HOT Package Projets Passé.

Humanitarian OpenStreetMap Team. American Red Cross: OpenStreetMap Damage Assessment Review. Typhoon Haiyan (Yolanda) Interim Report Typhoon Haiyan partially or totally destroyed roughly 1 million homes. Photo Credit: IFRC The response to Typhoon Haiyan was a watershed moment for humanitarian uses of OpenStreetMap and crowdsourcing in general. The numbers speak for themselves: over 1,700 volunteers contributing 4.5 million edits, or roughly 3 to 4 years worth of mapping from a highly productive OpenStreetMap editor. The American Red Cross helped coordinate this response, directing volunteers to trace priority areas, based on information from the US Government and feedback from Red Cross responders in the field. The result was a rich base map of the Visayas region and a growing database of building damages contributed by volunteers eager to provide operationally useful data.

This report measures the accuracy of building damage assessments conducted by the OpenStreetMap community in select areas affected by Typhoon Haiyan (Yolanda). Methodology in Brief Sample Size: 1,343 structures. Le 56Kast #5 : Cartographie de crise, Snapchat et angles Myspace.

Études, articles