La Génération Y, laxiste en matière d'e-sécurité. C'est un constat alarmant que vient de faire la société de sécurité informatique Forcepoint : bien que très connectés, au travail, les 18-34 ans dédaignent largement les impératifs de protection des données.
Les jeunes fuient les logiciels internes Comment la fameuse Génération Y, qui représentera 75 % de la main-d'oeuvre mondiale d'ici 2025, concilie-t-elle productivité et sécurité ? Le rapport de forces s'avère inégal, révèle le spécialiste de la cyber-sécurité Forcepoint. 34 % des jeunes actifs utilisent un ordinateur ou téléphone personnel pour accomplir des tâches liées au travail et 32 % n'hésitent pas à télécharger des outils de productivité tiers. Dans les grandes firmes technologiques de la Silicon Valley, 67 % des jeunes n'utilisent même pas le réseau de communication interne à l'entreprise et n'hésitent pas à passer par Facebook pour joindre leurs collègues dans le cadre du travail.
Devenez des experts de cybersécurité avec ces conseils - Globb Security FR. Tout le monde sait que le numérique prend une place de plus en plus importante dans le monde depuis la naissance d’Internet mais, pour vous donner une idée de l’utilisation de plus en plus considérable d’Internet depuis ces 15 dernières années, voici quelques chiffres : en l’an 2000, environ 361 millions de gens utilisent Internet dans le monde mais ce chiffre a un taux de croissance de 764 % !
De nos jours, quasiment la moitié des habitants du globe sont connectés à Internet. Peu importe l’appareil utilisé, les gens passent en moyenne plus de 1 900 minutes par mois en ligne, soit plus de 30 heures ! Alors, qu’est ce que nous faisons en ligne pendant tout ce temps ? Une bonne quantité profite les nouvelles technologies pour acherter en toute commodité.
F5 Networks : Les menaces DDoS s’intensifient dans la zone EMEA. F5 Networks dévoile les dernières tendances de son Security Operations Center (SOC) : les chiffres mettent en évidence une ampleur et une intensité croissantes des cyberattaques dans la région EMEA.
Depuis début 2016, le SOC de F5 Networks basé à Varsovie, qui fournit 24/7 des services de recherche sur les attaques DDoS et fraude en ligne a géré et contenu pas moins de 8 356 attaques DDoS. L’une des attaques enregistrées figure parmi les plus importantes au monde : une tentative de submersion UDP/ICMP par fragmentation de 448 Gbps s‘appuyant sur plus de 100 000 adresses IP provenant de plusieurs régions.
Cet incident met en évidence une tendance croissante de la coordination mondiale afin d’obtenir un maximum d’impact, avec un trafic IP d’attaques provenant essentiellement du Vietnam (28 %), de la Russie (22 %), de la Chine (21 %), du Brésil (15 %) et des USA (14 %). La confiance dans la cybersécurité des entreprises recule. L’édition 2017 du tableau de bord de Tenable sur la confiance dans la sécurité informatique ne fait pas apparaître d’optimisme, bien au contraire.
Construit à partir du sondage de 700 RSSI de neuf pays différents, il fait ressortir un indice de confiance global de 70 %, soit six points de moins que lors de l’édition précédente, il y a un an. Mais ce recul n’est pas dû à une confiance moindre dans la capacité à contenir les menaces. Là, l’indice reste à 79 %. C’est en fait l’indice mesurant la confiance dans la capacité à évaluer les risques qui s’est replié sur un an, à 61 %, au lieu de 73 %. Et le recul n’épargne aucun des domaines étudiés, des environnements Cloud aux applications Web, en passant par les postes de travail. Kaspersky: la cybercriminalité va augmenter en 2017. Des dizaines de milliers d’identifiants piratés et vendus au marché noir, des distributeurs automatiques de billets de plus en plus piratés ou encore des industriels vulnérables face aux cybermenaces…, c’est le constat qu’a fait Kaspersky Security Bulletin Review et Statistics dans son bilan des menaces en 2016.
Le point. Ce n’est pas très rassurant. Augmente l’impact financier de la sécurité informatique sur les entreprises - Globb Security FR. La Chine va 'protéger la sécurité d'internet' La Chine 'fera tout ce qu'elle peut pour protéger la sécurité de son territoire et de ses habitants', a annoncé l'organisation d'état en charge du cyberespace.
Le pays n'exclut dans ce but pas le recours à l'armée. Dans le rapport chinois, on peut lire en effet que les autorités chinoises pourront utiliser des moyens 'économiques, administratifs, scientifiques, juridiques, diplomatiques et... militaires'. Pacemakers : limiter les risques de piratage. Plus de sécurité : voilà le mort d'ordre des recommandations de l'Agence américaine du médicament.
Elle invite les fabricants de pacemakers à être plus proactifs. Un pacemaker désactivé en raison d’une faille de cyber-sécurité. Cela peut sembler futuriste. Et pourtant, un vice-président des Etats-Unis n’a pas eu le choix : Dick Cheney n’a réactivé le dispositif cardiaque qu’après son mandat, en 2009. Il en a fait l’annonce quatre ans plus tard. Cette réalité, l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) en a pris conscience. Corriger les failles en amont Chaque année, 60 à 70 000 pacemakers sont implantés en France. Les recommandations de l’Agence incitent les fabricants à se montrer proactifs en la matière. D’autres dispositifs à risque « Les menaces de cyber-sécurité sont réelles, permanentes, et en mutation constante », rappelle Suzanne Schwartz.
La start-up de la semaine : Efficient Protection, à l’assaut des cybermenaces en Afrique. La start-up Efficient Protection a été créée en 2011 par Karim Ganame, un Burkinabé installé au Canada.
Il développe un anti-virus basé sur l'analyse comportementale des réseaux infectés. Son produit commence à intéresser les gouvernements africains.