Art et architecture Art Déco.
M1 La sensibilité patrimoniale à Lyon dans la seconde moitié du XXe siècle. Le Parnasse (XIXe siècle) Les courants littéraires ► vous êtes ici Courants littéraires XIXe siècle Introduction L’histoire de la littérature peut se schématiser en une suite d’action et de réactions : le désordre appelle l’ordre, l’ordre fait naître un besoin de libération, etc. Le Parnasse se définit comme une opposition contre le Romantisme. Les faits ● Mars à juin 1866 : publication par l’éditeur Lemerre de dix-huit brochures intitulées Le Parnasse contemporain, contenant des poèmes d’une quarantaine de poètes vivants. Salomé: symbolism, decadence and censorship - The British Library.
Professor John Stokes considers Salomé as a play within both the French Symbolist and the decadent traditions, exploring its influences, reception and Aubrey Beardsley's illustrations of the work.
Salomé is a rare instance in British theatrical history of an authentically ‘Symbolist’ drama. This means that it belongs with an innovative group of plays produced in Europe in the late 19th and early 20th centuries. Conceived as an alternative to naturalism and the kind of plays that purported to represent life by reproducing everyday habits of speech and physical behaviour in recognisable environments, ‘Symbolist’ drama made use of poetic language and pictorial settings to invoke the inner lives of characters. Released from the constraints of the here-and-now it was free to express all manner of emotions both spiritual and sensual. Sources and influences French edition of Oscar Wilde's Salomé. Le dernier tabloïd/Andy Warhol. 1Le 16 avril 1964, Nelson Rockfeller, gouverneur de l'État de New York, et Robert Moses, organisateur de l'Exposition universelle (1964), censurent les "Most Wanted Men" d'Andy Warhol, une murale composée des portraits photographiques de treize fugitifs activement recherchés par le FBI (fig. 1.
Andy Warhol, "Thirteen Most Wanted Men", ¤uvre installée sur le pavillon de l'État de New York à l'Exposition universelle de New York en 1964, sérigraphie sur aggloméré, 25 panneaux de 122 x 122 cm, photographie : Eric Pollitzer). Accrochée à la façade du pavillon, l'oeuvre de Warhol, commandée par l'architecte Philip Johnson, tout comme celles de Roy Lichtenstein et de Robert Indiana, également présentées dans le cadre de cette exposition, devait exprimer la nouvelle tendance pop, et une certaine désinvolture de l'art américain actuel. 4Le célèbre aphorisme de Warhol, "I want to be a machine", est avant tout la réponse à la question posée par le critique G. R. L'œuvre Fontaine. In New York, in 1917, Marcel Duchamp presented a urinal to the hanging committee of the annual exhibition of the Society of Independent Artists to which he belonged, to put to the test its founding principle, to reject no work.
Displayed on its back, titled Fountain, and signed R. Mutt, it laid claim to being a work of art. The submission divided the committee, which decided not to show it. Photographed by Albert Stieglitz before it vanished, Fountain entered posterity as the herald of the readymade, a radical innovation that inaugurated an art of ideas. The piece in the Museum’s collection... read more. L'obsession de Bacon pour le pape de Vélasquez (I) I.
L’image latente* Auteur : Alessandro Zinna Auteurs cités : L. Alloway / M. Archimbaud / M. La rencontre avec le portrait d’Innocent X fait partie des événements qui ont contribué à construire le récit mythique de la vie de Francis Bacon (Fig. 1) . Devons-nous lire ce pape hurlant et les suivants comme des interprétations originales du portrait qui les a inspirées – l’attraction de Bacon pour le cri étant déjà attestée –, ou faudra-t-il les considérer comme des méta-représentations du tableau d’origine ? La tâche de cette comparaison est d’abord de renverser ce lieu commun. À en croire le témoignage de l’auteur, la connaissance du portrait d’Innocent X lui arrive par des reproductions photographiques.
Ces reproductions du portrait ont donc été la seule source pour réaliser ses variantes. Si le tout premier portrait d’un religieux est Tête VI de 1949 (Fig. 2), le plus connu est celui composé quatre ans plus tard (Fig. 3). Cindy Sherman: It Began with Madame de Pompadour. Cindy Sherman in front of her work, "Untitled (#216)" (1989), at Skarstedt Gallery, New York, 2008.
Production still from the "Art in the Twenty-First Century" Season 5 episode, "Transformation," 2009. © Art21, Inc. 2009. In 2008, twenty of Cindy Sherman's History Portraits (1989–1990) were exhibited at Skarstedt Gallery in New York City. In the following interview, Sherman walks Art21 through the exhibition and discusses the ideas behind individual photographs as well as the overall series.
ART21: What was the impetus for History Portraits? SHERMAN: This piece [Untitled (#183 A)] was sort of where it all began. ART21: Is this Madame herself or is this your idea of her? SHERMAN: Like everything I do, I wasn’t really trying to copy any picture of Madame de Pompadour, but to look like someone like Madame de Pompadour. Besancon. Frac Franche-Comté. Communiqué de presseOrlanL'origine de la guerre À l'occasion de la présentation de L'Origine du Monde de Courbet au musée qui lui est dédié à Ornans, le Frac Franche-Comté présente l'œuvre L'Origine de la Guerre d'Orlan.
Cette artiste française à l'origine de l'art charnel dont elle a écrit le manifeste est parmi les plus connues du grand public. Pendant féministe à l'œuvre de Gustave Courbet, l'œuvre d'Orlan a été exposée au Musée d'Orsay dans le cadre de l'exposition «Masculin/Masculin. L'homme nu dans l'art, de 1800 à nos jours». L'intérêt d'Orlan pour les mécanismes du désir et de la sexualité est évident dans ses œuvres antérieures comme Le Baiser de l'artiste (1977) ou Les Draps du trousseau (1974). L'histoire de cette représentation explicite des organes génitaux féminins est désormais bien connue. La version d'Orlan reprend fidèlement le format, la couleur et les tons de l'œuvre de Courbet.
Commissariat Sylvie Zavatta. Cindy Sherman - MoMA (cliquer pour voir ses oeuvres) Photographie contemporaine. Dossiers pédagogiques - Collections du Musée Un mouvement, une période Introduction Les artistes et leurs œuvres • Bernd et Hilla Becher, Hochöfer,1980 • Jeff Wall, Picture for women, 1979 • Jean-Marc Bustamante, T 21 A.79, Tableau n° 21, version A, 1979 • Cindy Sherman, Untitled # 141, 1985 • Sophie Calle, Les poissons me fascinent et Le beau j'en ai fait mon deuil (série les Aveugles), 1986 • Suzanne Lafont, Marcheur, 1995-1998, Balayeur, 1997, Gardien, 1997, Dormeur, 1997 • Andreas Gursky, Madonna I, 2001 • Thomas Ruff, Portrait (Andrea Knobloch), 1990 Texte de référence Bibliographie sélective Contact.
Philippe Rouyer, Le Cinéma gore, une esthétique du sang, 1997. Étude esthétique, évocation de l'œuvre de treize cinéastes) proposent une vision globale du genre, à commencer par son histoire et ses origines.
Après avoir effectué un tour des définitions du gore proposées par les cinéastes et les critiques, il définit lui-même cette catégorie de films par ces mots : «[...] je définirai le cinéma gore comme un sous-genre de l'horreur, qui soumet la thématique du film d'horreur à un traitement formel parti¬ culier ; à intervalles plus ou moins réguliers, la ligne dramatique du film gore est interrompue ou prolongée par des scènes où le sang et la tripe s'écoulent des corps meurtris et mis en pièces » (p. 19). Partant de cette définition, il considère que le genre est apparu en 1963 (Blood, Feast de Herschell Gordon Lewis) et situe son déclin avec la sortie de Braindead (1992, Peter Jackson). La partie consacrée aux origines scéniques du gore reste probablement l'une des plus passionnantes.
SABINE PIGALLE: Timequakes, a Reinterpretation of Ancient Paintings.