Connexion Candidat - Monster.fr. 99% des responsables IT français inquiets de la sécurité des objets connectés. Les objets connectés dans l'entreprise sont aussi des vecteurs de risque en termes de sécurité IT.
(crédit : D.R.) Une enquête menée par le cabinet Vanson Bourne montre que les responsables informatiques français sont nombreux à s'impliquer dans des projets liés aux objets connectés. Cela ne les empêche pas de se montrer particulièrement vigilants sur les risques qui en découlent en matière de sécurité. Alors que l'on pensait que les responsables informatiques français étaient plutôt frileux en matière d'objets connectés, les résultats d'une enquête menée par le cabinet Vanson Bourne pour le compte de Trend Micro montrent que cela n'est vraiment pas le cas.
Parmi les 800 responsables informatiques dans le monde interrogés en novembre 2014, 86% des répondants français (100 au total) vont ainsi jusqu'à encourager l'utilisation des objets connectés dans leur organisation. 36ème Conférence annuelle des Commissaires à la vie privée et à la protection des données / résolutions adoptées - CNIL - Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés.
A propos de la conférence internationale des Commissaires à la protection des données et de la vie privée La Conférence internationale des Commissaires à la Protection des Données et de la Vie Privée se tient annuellement depuis 1978.
Elle se déroule en deux temps : une session fermée réservée aux autorités de protection des données des pays membres de la Conférence, qui donne lieu à l'adoption de résolutions ; une session ouverte à l'ensemble des parties intéressées (représentants des entreprises, des gouvernements, des organisations internationales et de la société civile, experts informatiques, avocats spécialisés et universitaires). Données personnelles : tout est une question de transparence - Actualités Juridique. Toute l'actualité "Juridique" Edition du 16/10/2014 - par Oscar Barthe Pour répondre aux besoins de plus en plus gargantuesques de leurs entreprises en matière de données, les DSI doivent adapter le stockage, la diffusion et l'utilisation de ces dernières.
Dans ce flot continu se trouvent notamment des données personnelles soumises à de très stricts impératifs qu'il est parfois difficile d'appréhender. Voici un petit tour d'horizon de de ce qu'il faut faire ou ne pas faire. Pour l'utilisation des données personnelles, là encore, le mot d'ordre est la transparence. Quant à leur durée de conservation, il n'y a pas non plus de stricte obligation légale. Le point sensible de la sécurité S'il est en revanche un aspect sur lequel il est impossible de tergiverser, c'est bien celui de la sécurité de ces données personnelles. L'importance de la sensibilisation Mais la sécurité n'est malheureusement pas qu'une affaire d'infrastructure. Cahier IP de la CNIL : Le corps, nouvel objet connecté. Cahier IP de la CNIL : Le corps, nouvel objet connecté Source lemonde.fr & CNIL Du quantified-self à la M-santé : les nouveaux territoires de la mise en données du monde Introduction au cahier : Un bracelet qui mesure le nombre de pas, les calories brûlées ou les heures de sommeil, un smartphone qui capte les battements du cœur, une brosse à dents électronique... les objets connectés connaissent un vaste engouement.
Il y en aura 75 millions dans le monde en 2020, prévoit le cabinet Morgan Stanley. Ce marché de la « m-santé » (santé mobile) pourrait atteindre 26 milliards de dollars en 2017, avec 3,4 milliards d’utilisateurs, soit un possesseur de smartphone sur deux ayant installé une application, selon l’institut américain Research2guidance. Pour affiner sa réflexion sur des modalités de régulation, la CNIL a fait appel au cabinet d’avocats Hogan Lovells pour un état des lieux des régulations actuelles, qui restent assez faibles. Sommaire.
L'internet des objets. Objet connecté ? Sante connecté. Veille Juridique. Impressions 3D. Divers. Serrure Connecté. Cloud. Casque connecté. Première affaire juridique concernant une nouvelle extension - Domaine.info - Toute l’info du nom de domaine. Le 14 mars 2014, le Centre d’arbitrage et de médiation de l’OMPI a rendu la première décision dans le cadre d’une procédure UDRP à l’encontre d’un nom de domaine réservé sous l’une des nouvelles extensions.
En l’espèce, il s’agissait du nom de domaine canyon.bike réservé le 5 février 2014 sous couvert d’anonymat par le biais du bureau d’enregistrement GoDaddy.com, LLC. La société allemande Canyon Bicycles GmbH n’a pas tardé à réagir et a déposé une plainte UDRP le 10 février 2014. L’Expert unique a considéré que le nom de domaine canyon.bike portait atteinte aux droits antérieurs de la société Canyon Bicycles GmbH sur ses marques CANYON, que le titulaire n’avait aucun droit ou intérêt légitime sur le nom et que le titulaire avait réservé et utilisait le nom de domaine de mauvaise foi et a donc ordonné le transfert du nom de domaine au profit du demandeur.
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