Les objets connectés déjà utilisés dans des réseaux pirates. Tout est connecté, et ce n'est que le début. Télévisions, pèse-personnes, interrupteurs ou simples lecteurs DVD, tous ont une bonne raison de se connecter à internet pour améliorer le fonctionnement ou récupérer du contenu. Les pirates essaient de tirer parti de ces nouveaux usages. Et il semble que certains ont déjà réussi à se servir d'objets pour servir une mauvaise cause. Une société de sécurité, Proofpoint, a trouvé un cas d'attaque de grande ampleur qui a transformé des objets en apparence banals en machines à envoyer des spams et du phishing, c'est à dire des emails destinés à tromper l'utilisateur pour lui extorquer des informations confidentielles ou de l'argent. En cause différents appareils dont des télévisions, des centres multimedia et même un réfrigérateur connecté. Près de 100 000 appareils ont servi de relais pour envoyer 750 000 emails malveillants à l'insu de leurs propriétaires qui n'ont que très peu de moyen de s'apercevoir de cette utilisation frauduleuse.
Sigfox, un opérateur de réseau pour l'Internet des objets. Swisscom teste un réseau pour l’internet des objets! Les objets connectés débarquent en force avec leurs besoins spécifiques. Pour satisfaire ces exigences particulières, Swisscom testera dès le mois d’avril un réseau dédié à l’internet des objets. Ce Low Power Network ou réseau de faible puissance sera le premier du genre en Suisse. Ce nouveau réseau sera lancé dans les régions de Genève et Zurich. Il sera destiné à raccorder à la toile des objets qui n’échangent que de faibles volumes de données et fonctionnent en consommant très peu d’électricité. Il vient compléter les solutions M2M existantes basées sur le réseau mobile. «Le Low Power Network (LPN) ou Low Power Wide Area Network (LPWAN) sert à connecter des applications spéciales dans le domaine Machine-to-Machine (M2M), qui ne s’appuient pas sur la technologie des cartes SIM», écrit Swisscom dans un communiqué de presse diffusé jeudi. Taillé sur mesures L’internet des objets deviendra toujours plus important.
LoRA Alliance. Problèmes de sécurité à prévoir pour l’Internet des objets. Voilà plusieurs années que l’on annonce l’arrivée de l’Internet des objets, ces appareils de la vie de tous les jours qui sont désormais reliés entre eux et à l’Internet, comme des thermostats intelligents, des caméras de surveillance, des ampoules électriques et plus. Mais est-ce que ces milliards d’objets sont sécuritaires? Malheureusement, il semblerait que l’industrie soit en train de répéter les erreurs du passé, selon une analyse de HP dévoilée aujourd’hui dans son nouveau rapport annuel Cyber Risk Report 2015. « Notre étude confirme que les développeurs d’applications mobiles et pour l’Internet des objets font des erreurs qui ont pourtant été réglées dans l’informatique traditionnelle », explique Jewel Timpe, gestionnaire senior chez HP Security Research.
Et ces erreurs sont malheureusement nombreuses, comme il est possible de constater à la lecture du rapport. Heureusement, on n’en est pas encore là. Club Informatique de Pujaut » Objets connectés. Objets connectés 21 février 2015 Avec les objets connectés, le changement c’est maintenant ! MAJ Février 2015 Un objet connecté est un matériel électronique qui peut communiquer avec un smartphone, une tablette tactile et/ou un ordinateur.
Communiquer en ce sens qu’il peut envoyer et recevoir des informations, ceci par le biais d’une liaison sans fil, Bluetooth ou Wifi. Les domaines d’application - La santé, un des grands axes des objets connectés. . - Le sport. . - Les loisirs. . - Le milieu professionnel. . - La domotique et la sécurité. -Les économies d’énergie. Les inconvénients Forcément, tout ne peut pas être rose dans le monde des objets connectés. . - Les objets connectés vont nous rendre fainéants. . - Le problème de la sécurité des informations. . - La maitrise des informations. Ne nous voilons pas la face, tous ces arguments, qui s’appliquent aussi aux smartphones et aux tablettes, ne freineront en rien l’essor des objets connectés, qui font d’ores et déjà partie de notre quotidien.
Sécurité et IoT : l'étude de HP qui révèle les vulnérabilités. Le géant américain met en lumière des failles dans les systèmes de sécurité pour la maison utilisant l'Internet des objets (IoT). 100% des systèmes de sécurité les plus connus présentent ainsi des vulnérabilités inquiétantes. HP annonce aujourd'hui les résultats d’une étude qui montre que les propriétaires de systèmes de sécurité pour la maison connectés à Internet pourraient ne pas être les seuls à surveiller leur domicile ou leur petite entreprise ! L’étude met en avant que 100% des appareils testés présentent des failles de sécurité inquiétantes, comme par exemple un manque de sécurité sur les mots de passe, le chiffrement ou encore les mécanismes d’authentification.
Les appareils de surveillance domestique, comme les caméras vidéo et les systèmes d’alarme, connaissent un regain d’intérêt depuis qu’ils ont rejoint la grande famille des objets connectés (Internet of Things – IoT). Erick Haehnsen Pour en savoir plus, cliquez ici. L'Internet des objets : de l'intelligence à la sagesse ? - Les Echos.
Les grille-pain et les machines ? caf? ont aussi un compte Twitter. Le rover Curiosity qui est train d'explorer Mars n'est pas la seule machine à avoir un compte Twitter. Avant lui la Nasa avait créé un compte au nom de MarsPhoenix, l'engin qui avait permis de détecter la présence d'eau sur la planète rouge en 2008. Et cela fait des années que des toasters et des machines à café gazouillent sur le réseau social, rappelle l'hebdomaire allemand Zeit. Bien qu'on ait tendance à ne s'intéresser aux objets que lorsqu'ils sont cassés, ils sont pourtant de plus en plus nombreux à communiquer leurs états d'âme sur le web, en particulier sur Twitter. Il semblerait que les clochers ont une espérance de «vie» plus longue sur Twitter –et plus de régularité également, comme on en attend d'eux dans le monde physique.
Même chose pour la cathédrale de Cologne, avec son «DONG DONG DONG» (1.201 abonnés). Annabelle Georgen Partagez cet article. Les leaders de l’IOT fondent l’Alliance LoRa. L’association entre plusieurs leaders de l’Internet des Objets a conduit, le 28 janvier 2015, à la création de l’ Alliance LoRa, un accord de collaboration et partenariat qui fonctionne autour du protocole de communication LoRa. Les membres fondateurs de cette association a but non lucratif viennent du monde entier et s’adresse à tous les aspects de l’Eco-System.
On peut retrouver des compagnies de communications multinationales, des fabricants d’équipement, des systèmes d’intégrateurs, des fabricants de capteurs et des entrepreneurs de start-up. L’Alliance LoRa a quant à elle pour but de standardiser les réseaux pour l’Internet des Objets et de normaliser ceux dits Low Power, Wide Area, qui permettent un trafic rapide, à moindre coût, avec une durée de vie de la batterie plus importante. Leur collaboration permettra, à terme, des solutions plus attrayantes pour les objets connectés et une mise en place facilitée par de nouveaux modèles économiques. Source : kerlink.fr. Les données d'un objet connecté utilisées en justice au Canada, et bientôt ailleurs ? L’Internet des objets, un atout pour l’événementiel. L’Internet des objets a fait ses preuves dans les maisons depuis bien longtemps, mais il peut s’avérer être un partenaire tout autant efficace dans la sphère professionnelle, notamment pour l’événementiel.
Objetconnecte.com vous montre comment l’IoT rend l’organisation et le déroulement de salons et d’événements beaucoup plus simple. Les balises Beacons pour informer et diriger Dans des conventions ou des salons gigantesques, on a vite fait de se perdre ou de rater le stand qu’on voulait absolument voir. Pour accompagner les milliers de personnes qui vont fouler les allées de vos salons, les balises Beacons semblent être la solution la plus simple. Ces dernières sont capables d’identifier chaque visiteur grâce au signal émis par son smartphone, et ainsi l’informer des stands à proximité, ou encore le guider vers la salle de conférence qui l’intéresse.
Les bracelets connectés pour développer son réseau Les montres connectées, un guide sur le poignet Tous les indicateurs semblent unanimes. [Etude] Les objets connectés donnent un second souffle au marché des biens techniques. Le paysage de la distribution de biens techniques devrait beaucoup changer dans les années à venir ! C'est l'une des conclusions de l'étude sectorielle présentée par GKF, le 4 février 2015.
Des changements portés par de nouveaux marchés porteurs: les objets connectés "wearable" d'une part, les assistants de santé connecté et enfin le secteur dit de la maison intelligente. " Nous pensons qu'il se trouvera plus de 30 objets connectés par foyer en 2020 et il devrait se vendre d'ici là 2 milliards d'objets connectés en France ", explique François Klipfel, Directeur Général Adjoint chez GfK Consumer Choices France. Etat des lieux marché par marché dressé par GFK. Wearable : un potentiel immense Les marchés du wearable offrent de réels potentiels de croissance. A cela plusieurs raisons. "Il s'adresse à des individus et non à des foyers.
Plus de 640 000 consommateurs ont été séduits en 2014 par l'un de ces produits. Des différences culturelles fortes existent cependant entre pays. Intel : l’Internet des objets, relais de croissance. « 2014 s’achève sur de meilleurs résultats que ce que nous prévoyions en début d’année.» Le commentaire de la directrice financière d’Intel, Stacy J Smith, est éloquent. En effet, Intel avait de quoi s’inquiéter pour l’année 2014 : le marché des PC, cœur du business du fabricant de semi conducteur, s’annonçait morose. Largement dépassé sur le mobile et encore timide sur le marché naissant de l’Internet des Objets, le début d’année 2014 s’annonçait difficile. Au moment de clore ce quatrième trimestre fiscal, Intel peut néanmoins être fier de ses résultats : la société annonce un chiffre d’affaire de 55, 9 milliards de dollars pour la totalité de l’année 2014 ainsi qu’un bénéfice net de 11, 7 milliards soit une hausse de 22% par rapport à l’année précédente.
Belle performance sur les tablettes également : Intel prévoyait d’équiper 40 millions d’unités au cours de l’année 2014, ce chiffre s’élève finalement à 46 millions. Ça y est, AXA conditionne un avantage santé à un objet connecté. Nous mettions encore en garde contre cette dérive la semaine dernière au sujet de Samsung et de sa base de données médicales, alimentée grâce aux objets connectés qui se proposent de surveiller en temps réel notre rythme cardiaque, la distance que nous parcourons à pied ou la qualité de notre sommeil. Parmi ceux qui ont le plus d'intérêts à acheter les données personnelles stockées et vendues par les géants de l'informatique grand public figurent en première ligne les assurances santé, qui disposent grâce aux technologies de médecine personnalisée d'une base d'informations sans précédent sur les comportements individuels des clients qu'ils doivent assurer, et qu'elles ont donc intérêt à influencer par une forme de chantage à l'assurance.
Ceux qui refuseront de voir leur activité surveillée pour vérifier qu'ils ne font rien de dommageable pour leur santé paieront plus cher leur assurance, voire n'y accéderont plus. Or les choses vont encore beaucoup plus vite qu'on ne le pensait. L'internet des objets, l'inquiétante révolution de notre quotidien - O - L'Obs. Objets connectés, quantified self, domotique, e-santé, big data... Ces dernières années, les concepts d'objets communicants se sont multipliés. En réalité, ils ne sont tous qu'une facette d'un même bouleversement : l'internet des objets. Avec cet "internet of things" (abrégé "IoT"), les technophiles imaginent un avenir, pas si lointain, où tous les objets - et par extension toute forme de vie sur Terre - seront connectés et pourront échanger des informations captées sans action humaine.
Une idée qui s'illustre parfaitement au CES, le salon mondial de la high-tech à Las Vegas, où les exposants ont rivalisé de produits en tout genre pour vanter un avenir, forcément connecté. "Choisir comment utiliser le temps de sa vie" Samsung a été le premier. Les objets qui nous entourent vont se barder de capteurs pour réaliser de nombreuses actions automatiquement en fonction de nous (nos actions, notre humeur...) et de notre environnement. Explication de l'internet des objets par Intel : Conférence Cyber3 - Construire la sécurité dans un monde moins sûr.
TOKYO, 22 janvier 2015 /PRNewswire/ -- Le Gouvernement du Japon, en collaboration avec le Forum économique mondial, va accueillir un dialogue multipartite sur la cybersécurité, la cybercriminalité et la cyber-connexion (Cyber3) et leurs implications pour l'avenir d'Internet. Les 7 et 8 novembre 2015 ; Bankoku Shinryokan, Okinawa, Japon Nous vivons dans un monde hyper-connecté où il est clair que « nul n'est une île » et que personne, ni aucune organisation ou entité politique, ne peut saisir pleinement toutes les ramifications de ce qui pourrait s'avérer être des actions indépendantes.
L'une des principales causes sous-jacentes de ce nouveau contexte mondial est notre dépendance en expansion perpétuelle vis-à-vis d'un réseau invisible de personnes, de dispositifs et de systèmes, qui crée toute une trame de connexions dépassant largement l'Internet tel que nous le concevons en général. Internet transcende les frontières nationales, culturelles, linguistiques et ethniques. 1. 2. 3. Cloud computing, la sécurité en question - Les Echos. La standardisation de l’Internet des objets est une nécessité. Nous vivons dans un monde où des milliards d’appareils connectés génèrent d’énormes quantités de données.
A terme, cela abolira les frontières entre les objets physiques et virtuels et permettra l’interconnexion des objets et des personnes. S’il offre d’incroyables opportunités économiques, l’Internet des objets soulève également de nombreuses problématiques en termes de sécurité. L’écosystème qui l’encadre devra, de plus, faire l’objet d’une standardisation globale. Pierre Courrieu, Cepheid-Consulting, ouvre le débat à l’occasion d’une journée dédiée lors du salon CARTES. Le monde connecté est désormais notre réalité, observe Jason Hart, Directeur Exécutif, Identiv. Dans un tel monde, l’identité des individus se doit d’être de confiance, et celle des objets aussi. Standardisation de l’Internet des objets : vers une coordination des acteurs ? GlobalPlatform est une association spécialisée dans le développement d’infrastructures cartes à puce. Le remote management est un facteur clé. Assises de la sécurité : l'Internet des objets multiplie les menaces. Carl Herberger, vice président en charge de la sécurité chez Radware a vu l'un de ses clients se faire attaquer par un grille pain connecté.
Pour la key note de Radware aux Assises de la sécurité, son vice-président en charge de la sécurité, Carl Herberger, est venu présenter les nouveaux enjeux de la cyber-guerre et notamment les problèmes posés par les objets connectés. Pour Carl Herberger, vice-président en charge de la sécurité pour Radware et accessoirement ancien pilote de bombardier B-52, nous sommes déjà en plein milieu d'une cyber-guerre. « Regardez !
Les cibles ne changent plus, ce sont les tactiques d'attaques qui évoluent », a-t-il lancé en ouverture de la séance plénière de ce vendredi aux Assises de la sécurité de Monaco. Les objets connecté vecteurs de menaces Du côté d'A1O Networks, les responsables abondent dans ce sens. « Nous prévoyons qu'il y ait bientôt 10 milliards d'objets connectés et donc autant de vecteurs d'attaque. Europol craint que le succès des objets connectés mène à une vague de cybercrimes. La "French touch" de l'Internet des objets. Internet des objets : Cisco, McAfee et Acer rejoignent le consortium OIC. Google souhaite attribuer une URL à chaque objet connecté.