Digital-Music-Report-2014.pdf. Les paradoxes de l'usage de la démonétisation des œuvres musicales, sur Internet, par les producteurs de musique. PANIC-Synthese-2-Musique-VF-2010-07.pdf. Document. TheseJSBeuscart.pdf. Plateforme, Spotify. Rapport_Engagement8. - Blog Universal Music France. Deezer, Youtube, Spotify.. La guerre du streaming musical aura t’elle vraiment lieu. 2014 a vu l’explosion du streaming.
Les derniers chiffres sont tombés, clairs, le streaming dépasse largement le téléchargement en volume (en France 36% de streaming audio/9% de téléchargement légal). Mais est-ce que cela veut vraiment dire quelque chose ? Peut-on attendre du streaming d’apporter un renouveau, financier et marketing, dans l’industrie musicale ? On a beaucoup parlé du streaming en 2014 : En novembre, Taylor Swift a retiré l’intégralité de son catalogue de Spotify et Deezer sous pretexte de désaccords concernant les droits d’auteur (en fait, c’était surtout pour n’avoir qu’un seul point d’écoute de sa musique, sur Youtube/Vevo, afin de pouvoir aussi renégocier la rémunération de ses videos).
Elle a aussi indiqué qu’elle n’était pas assez rémunérée. Tout comme iTunes a autrefois tué le CD, les sociétés leaders dans le streaming se livrent désormais une bataille sans merci pour devenir #CelleQuiAuraTuéLeTéléchargement. User-sentric-settlement-for-music-streaming. Fine Tuning - L’impact d’Internet et des Technologies de l’Information et de la Communication sur l’industrie de la musique enregistrée.
1Les technologies de l’information et de la communication (TIC), et singulièrement Internet, ont profondément modifié la logique de consommation et les processus de production de la musique enregistrée.
Il semble, toutefois, qu’un aspect seulement des évolutions en cours retienne toute l’attention et fasse l’objet du plus grand nombre d’études empiriques : l’impact de l’échange de fichiers au travers des réseaux peer-to-peer sur les ventes de disques. 2L’industrie phonographique connaît, depuis 2000, une crise conjoncturelle. Les organisations représentatives de l’industrie (l’IFPI, le RIAA, le SNEP1, etc.) ont choisi de faire porter l’entière responsabilité de cette crise aux internautes qui échangent des copies privées au travers de réseaux peer-to-peer. 3Sans nier l’intérêt d’une telle approche, il convient de ne pas réduire les effets des TIC sur l’industrie phonographique au seul effet des échanges de fichiers sur les ventes de CD.
II.1. 1. II.2. III.1. III.1.1. L'Industrie musicale à l'ère numérique : redistribution et redéfinition des rôles - Solène BOYER. La crise qui secoue la filière phonographique est à appréhender avec différents niveaux d’analyse.
Fédération des Labels indépendants – FÉLIN Économie de la filière phonographique » Fédération des Labels indépendants - FÉLIN. La musique a un prix Répartition des revenus du disque (support physique) Base calcul prix public d’un CD : 16€50 -TVA 19,6 % versée à l’État 2,70 € = 13,80 €
LA DISTRIBUTION NUMERIQUE Mécanismes et tendances. Article mis à jour le mardi 9 septembre 2014 Article créé le mardi 8 juin 2010 Version imprimable Article Réalisé à partir d’un entretien avec Xavier Filliol, coauteur des Etats des lieux de l’offre de musique numérique publiés en mai 2010 par l’Observatoire de la musique, ce focus aborde quelques points pour mieux comprendre les mécanismes et les tendances de la distribution numérique.
Le marché du numérique repose sur la distribution d’œuvres sous un format dématérialisé, avec : un producteur phonographique qui conclue une licence d’exploitation de ses enregistrements avec l’éditeur de service en ligne (plateforme), un distributeur / agrégateur qui représente des petits producteurs pour conclure également des licences d’exploitation avec les plateformes, et un éditeur de service en ligne qui met à la disposition du public ces enregistrements à travers son service en ligne (webradio, streaming, téléchargement…). Au sein des modèles payants, on distingue plusieurs types d’offres : 2010_Etude_Ernst_FR.pdf. Bilan de l'année 2014. Actualité de l'Observatoire de Musique.
MNUM_ETATDESLIEUX%20_S22007. Les plates-formes web comme nouvel intermédiaire de marché : L'exemple du crowdsourcing, un dispositif de médiation entre communautés et marché. Guerre du streaming et critiques de son modèle économique. Revue de presse de l'industrie de la musique numérique.
La guerre du streaming a commencé L'industrie du disque aurait-elle un avenir avec le numérique ? C'est en tout les cas ce que pense David Joseph des bureaux anglais d'Universal Music avec le modèle d'abonnement des offres de streaming en ligne. Spotify, peut-être prochainement Apple, bientôt Google Music et d'autres outre-Atlantique sont là pour prendre la relève du CD. Lire le billet sur le blog Amp Music Marketing The History of Recording Industry Sales, 1973-2010...
Tout ne repose pas uniquement sur le piratage. A lire sur Digital Music News Le véritable déclin de l'industrie du disque Business Insider revient sur les chiffres publiés par Bain & Company dans une étude dénommée Publishing in the Digital Age sous la forme d'une critique méthodologique et publie de nouveaux graphiques. Lire l'article sur Business Insider Note : les articles suivants sont à lire séquentiellement pour une meilleure compréhension des réactions de chacun.
Musique en streaming, un modèle enfin pérenne ? Avec Yves Riesel, PDG de Qobuz de l'émission Le dossier du jour. Yves Riesel, fondateur et directeur de la plateforme de streamig Qobuz est l'invité de la matinale.
Le marché du disque aurait-il enfin trouvé un modèle pérenne pour se sortir de la crise qu'il connait depuis dix ans? Malgré des ventes toujours en baisse, les sites de musique en streaming marquent une progression significative. On estime à plus de 2 millions de français abonnés à l'un des sites comme Deezer, Spotify, Qobuz ou encore la Fnac. Mais est-ce un modèle qui contente tout le monde? Qu'en pensent les artistes? Le marché de la musique vient de connaître un événement sans précédent, pour la première fois le chiffre d'affaire généré par les plateformes de streaming audio a dépassé celui du téléchargement au premier trimestre 2014. 35 millions d'euros pour le streaming contre 27 millions pour le téléchargement.
Autre signe positif avec le lancement mercredi 10 septembre d'un classement hebdomadaire, façon « TOP 50 » des morceaux les plus écoutés sur les sites de streaming. Pascal Nègre : « Le streaming payant sera le moteur de la musique pour les 10 prochaines années » On ne présente plus Pascal Nègre, qui vient de fêter ses 20 ans à la tête d’Universal Music France.
Alors que le débat sur le streaming bat son plein entres les artistes et les plateformes, il décrit pour TheMediaShaker les grands enjeux de ce nouveau modèle économique pour la musique. Alors le que streaming fait la une de l’actualité, nous avons voulu commencer l’interview de Pascal Nègre par une question toute simple : qu’est ce le streaming, au juste ? « Le streaming, c’est le moyen d’écouter de la musique ou de regarder une vidéo, un film, sans le télécharger, donc on le regarde en direct entre guillemets », résume-t-il. Mais il tempère aussitôt : « En réalité, c’est plus subtil que ça. II – Assurer une juste rémunération aux artistes. La musique est un art dominé par de grands monopoles imposant leur vision des choses.
Ils participent à une organisation non-démocratique de la musique : la majorité des artistes est mise à l’écart par un système les dominant et ne rémunérant qu’une poignée d’entre eux lancés par une industrie de plus en plus frileuse. Mais même ceux qui arrivent à percer subissent les majors qui en position de force imposent des conditions leurs étant très favorables (partage inégal des marges sur les vente des CD, contrats d’exclusivité, etc.) et n’ayant pour objectif que la rentabilité. Ces entreprises cherchent aussi à contrôler Internet, mettant en danger la liberté d’expression. La musique est devenue une industrie. Cral : Séminaire ANR Musimorphoses : "Écouter la musique en régime numérique." 20131113_Livre-Blanc-UPFI.pdf.
Musique en ligne : le partage de la valeur au cœur des enjeux. 7 modèles économiques pour l’Open dans l’Art et la Culture. Des modèles économiques ouverts dans l’art, pari impossible ?
Je me souviens clairement d’une discussion que j’ai eue avec un producteur de films qui soutenait que les licences libres ne pouvaient réellement fonctionner que dans le domaine des logiciels et des encyclopédies en ligne. En dehors des logiciels libres et de Wikipédia, la création culturelle, qu’il s’agisse de livres, de films, de musique ou de jeux vidéo, présentait selon lui de trop fortes spécificités pour autoriser la mise en place de modèles économiques viables, capables d’assurer une diffusion de l’oeuvre au public et de rémunérer les créateurs. C’est sans doute en partie à cause de cette conversation que j’ai accepté de me joindre au projet Open Experience, initié par Louis-David Benyayer dans le cadre de Without Model en partenariat avec Mutinerie à Paris.
Une cartographie et 7 modèles économiques La carte heuristique ci-dessus contient de nombreux exemples concrets, avec des liens pour explorer les diverses branches. Musique et numérique, la carte de l’innovation : synthèse. Benghozi. L’industrie culturelle n’est pas moteur du Web. C’est ce qui m’est venu à l’esprit après avoir assisté aux conférences Le Web, la semaine dernière à Paris. Les industries culturelles, ne sont plus le moteur qu’elles ont été dans le développement de la nouvelle économie numérique. Aujourd’hui, quand on parle économie du partage, crowdfounding, p2p, DIY, les exemples cités comme les plus prometteurs sont plutôt à chercher dans le domaine de la santé, des transports, de l’assurance, de la finance, de l’éducation, des makers… pas de la culture, qui a pourtant été au coeur des développements numériques depuis plus de vingt ans.
Je ne parle seulement de la France, où l’Hadopi ne fait plus recette, même chez les trolls : on sait bien que les enjeux de pédagogie et de régulation sur le Net dépassent largement le secteur culturel. C’est pareil pour le business. Dans la Silicon Valley aussi, le tsunami numérique est passé par délà les industries culturelles et poursuit désormais son oeuvre, ailleurs, dans tous les secteurs de l’industrie.