Hong Kong: les manifestants marquent un mois d'occupation. Hong Kong: les manifestants dénoncent des violences policières - Asie-Pacifique. Nouveaux affrontements dans le quartier de Mongkok, où la police a tenté de libérer quelques axes clés pour la circulation qui ont été systématiquement réoccupés par les manifestants. Dimanche 19 octobre au matin, la violence policière a été mise en cause par plusieurs témoins des scènes de la nuit. avec notre correspondante à Hong Kong, Florence de Changy Blessures à la tête, fractures et contusions. Ce que la police a appelé une « action déterminée en faisant usage d'un minimum de force pour disperser la foule afin d'éviter que la situation ne dégénère », est qualifié d’abus par les manifestants.
Chaque camp se rejette la faute Dans un communiqué publié à l’aube, la police indiquait de son côté que ce sont les manifestants qui ont tenté de forcer le cordon de la police, déclenchant la riposte musclée des forces de l’ordre qui tentent non sans mal de ramener le calme depuis trois nuits dans ce quartier très animé de Hong Kong. La police de Hong Kong déloge les protestataires de Mong Kok. Par Clare Baldwin et James Pomfret HONG KONG (Reuters) - Des centaines de policiers de Hong Kong sont intervenus vendredi avant l'aube dans le quartier de Mong Kok pour démanteler un campement des manifestants pro-démocrates, rapporte un journaliste de Reuters.
C'est la cinquième opération de ce genre depuis le début de la semaine dans l'ancienne colonie britannique où les démocrates réclament le droit d'élire librement le futur chef de l'exécutif régional. Mong Kok, quartier densément peuplé, se situe sur le continent, entre les Nouveaux territoires et la péninsule de Kowloon. Le lieu principal de la contestation, près du siège du pouvoir exécutif dans le quartier d'Admiralty, se trouve, lui, sur l'île de Hong Kong, de l'autre côté de Victoria Harbour. A Mong Kok, les policiers, équipés de casques, de boucliers et de matraques, ont fait irruption de quatre directions différentes. Cette fois, rien de tel. Quelque 800 agents de police ont participé à l'opération de démontage des barricades. Hong Kong: Pékin bloque le site anglophone de la BBC. Les autorités chinoises ont bloqué mercredi à travers tout le pays l'accès au site anglophone de la BBC après sa couverture des manifestations à Hong Kong, rapportent les médias internationaux.
Le directeur de BBC Global News Peter Horrocks a condamné, dans une déclaration officielle, le durcissement de la censure en Chine. Le blocage est intervenu quelques heures après la diffusion d'une vidéo montrant des policiers hongkongais tabasser un manifestant menotté, ce qui a suscité l'indignation dans l'ancienne colonie britannique. Or, le site de l'américain CNN (en anglais) restait mercredi accessible en Chine continentale. Des manifestants sont rassemblés fin septembre à Hong Kong pour protester contre la décision de Pékin, annoncée fin août, d'accorder le suffrage universel pour l'élection du chef de l'exécutif hongkongais en 2017, mais avec un à trois candidats présélectionnés.
En 1848, la Grande-Bretagne a pris le contrôle de Hong Kong, qui est devenu une colonie britannique. Attaque d'hommes masqués contre «Occupy Central» à Hong Kong - Asie-Pacifique. Les premières attaques ont commencé à la mi-journée ce lundi relate notre correspondante à Hong Kong, Florence De Changy. On a vu quelques dizaines de personnes s’avancer très vite vers l’une des principaux barrages, renverser les barricades et venir tout casser sur le campement des manifestants. Éparpiller les vivres, faire tomber les tentes ; les mêmes scènes qu'il y a dix jours. En effet, ce n’est pas la première fois que ces casseurs sont envoyés « faire le ménage » à Hong Kong. Le modus operandi est toujours le même. Ils interviennent systématiquement en bande, des groupes qui surgissent au milieu des manifestants.
La plupart ont le visage couvert par des masques en papier, ceux qu’on achète en pharmacie quand on a un rhume. Une attaque pour effrayer Sur les vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, ces hommes sont visiblement là pour faire peur : invectives et insultes pleuvent sur les manifestants. . ■ Qui sont ces casseurs ? Regain de mobilisation à Hong Kong pour le mouvement «Occupy Central» - Asie-Pacifique. La mobilisation reprend de plus belle à Hong Kong. Des milliers de manifestants sont rassemblés dans le centre-ville, ce vendredi 10 octobre, pour continuer à réclamer plus de démocratie et le départ du chef de l'exécutif, au lendemain de l'annulation par les autorités de négociations prévues avec les étudiants. Avec notre correspondante à Hong Kong, Florence de Changy À la suite de l’appel lancé jeudi par l'ensemble des organisations, par les étudiants, les collégiens et le mouvement « Occupy central », les Hongkongais ont à nouveau répondu présents par dizaines de milliers au treizième jour du mouvement de désobéissance civile.
Ils se sont assemblés sous la passerelle d'Admiralty, là où normalement passent 12 voies de circulation. Cet énorme faubourg est devenu un grand camping et ce vendredi soir il est noir de monde. En fait, l’appel lancé jeudi à ce nouveau rassemblement a servi d'excuse au gouvernement pour se retirer du dialogue qui devait lieu cet après-midi. Chine: à Hong Kong, les autorités haussent le ton - Asie-Pacifique. Avec notre envoyée spéciale à Hong Kong, Heike Schmidt Ambiance festive d'un dimanche ensoleillé... des parents, leurs enfants dans la poussette ou sur les épaules, ont rejoint les milliers d’étudiants à Admiralty. Sur le boulevard principal – d’habitude engorgé par un trafic très dense - des jeunes se sustentent à même le goudron.
D’autres ont leurs cahiers d’études sur les genoux pour rattraper les cours ratés pour cause de grève. Au septième jour, la fatigue se fait sentir : nombreux sont ceux qui font la sieste au beau milieu de la chaussée bloquée ! Angoisse Mais il n’y a pas seulement la fatigue, il y a aussi l’angoisse. Car ce matin, des heurts ont encore éclaté de l’autre côté de la baie à Mongkok ; et les autorités haussent le ton : hier soir, dans un discours retransmis par la télévision, le chef de l’exécutif à lancé un vibrant appel aux manifestants pour que ceux-ci quittent les lieux.
Rumeurs Leung Chun-ying se dit déterminé à régler la situation d’ici à demain. Immense manifestation pour la paix. Des dizaines de milliers de manifestants prodémocratie se sont massés samedi soir dans le centre de Hong Kong pour dénoncer les violences commises à leur encontre alors que les autorités locales démentaient s’être servies de la mafia chinoise pour obtenir leur dispersion.
Des foules immenses se sont pressées dans le quartier d’Admiralty, près du siège du pouvoir de l’ancienne colonie britannique, pour protester contre les heurts survenus la veille entre protestataires et habitants excédés auxquels se sont mêlés militants pro-Pékin et hommes de main des triades. «Paix! Anti-violence!» , scandaient les manifestants.
«On peut voir que les gens sont calmes, ce n’est pas comme dans les autres pays où ils incendient et détruisent les voitures», a dit Chris Ng, un manifestant de 36 ans. Mais nombre de protestataires étaient très remontés contre ce qu’ils perçoivent comme la passivité de la police lors des heurts. Crise politique. Joshua Wong, le surdoué de la révolution. Si le mouvement «Occupy Central» a un visage, c’est bien celui de Joshua Wong Chi-fung, petit génie précoce de la politique de 17 ans, devenu une bête noire du régime communiste chinois. Scholarism, le syndicat d’étudiants et de lycéens qu’il a fondé en 2012, à 15 ans, a donné la semaine dernière, avec une autre formation étudiante, le coup d’envoi du mouvement de désobéissance civile qui secoue Hongkong, en inaugurant, avec des centaines d’étudiants, le sit-in de Central.
Puis vendredi, à la tête de ses troupes, Wong s’est lancé à l’assaut d’une barrière de policiers. Arrêté avec une dizaine d’autres de ses camarades, il a été gardé à vue deux jours avant d’être relâché. Sa petite chambre à l’Open University de Hongkong a entre-temps été perquisitionnée par la police (un de ses ordinateurs a été saisi) avec la minutie qu’on accorde généralement aux grands criminels recherchés.
Joshua Wong, le 22 septembre à Hongkong. «Lavage de cerveau». «Opération oiseau jaune». Chine-Hong Kong : Les autorités doivent libérer les sympathisants des manifestants. UA 72/07 Fear of torture or ill-treatment CHINA : Liang Wenjian (f), aged 39 Lin Zhiyong (m), aged about 40, her husband Li Dongmei (f) Wang He (sex unknown) Wu Jiangyan (sex unknown) Three others (names unknown) 20 March 2007Seven of the eight Falun Gong practitioners listed above have reportedly been assigned to two years’ « Re-education through Labour » (RTL), a form of administrative detention imposed without charge, trial or judicial review, in connection with their Falun Gong activities.
All eight were detained on 10 February by around 10 plainclothes police officers, for participating in an « illegal gathering » at the home of Liang Wenjian and Lin Zhiyong. Tens of thousands of Falun Gong practitioners have been arbitrarily detained in China since the spiritual movement was banned as a ’’threat to social and political stability’’ in July 1999.
Calling on the authorities to guarantee their safety while they remain in custody ; Prime Minister WEN Jiabao Guojia Zongli The State Council. HONG KONG • Occupy Central est "illégal", selon la presse chinoise. Les rassemblements qui paralysent le centre de Hong Kong depuis quatre jours sont "des actes illégaux et menaçants", a déclaré Leung Chun-ying. Chargé de faire appliquer la "réforme politique", le chef de l'exécutif de Hong Kong se trouve en première ligne face aux protestations des Hongkongais qui critiquent sa gestion policière des manifestations – avec des tirs de gaz lacrymogène les premiers jours – et demandent sa démission. Et le mouvement Occupy Central semble faire bouger les lignes. Le 29 septembre, les autorités locales ont décidé de ralentir la procédure, et de remettre à plus tard la "consultation publique" pour la réforme électorale qui est à l'origine de la contestation.
La secrétaire en chef du gouvernement de Hong Kong, Carrie Lam, a déclaré : "L'ambiance actuelle ne convient pas à une consultation", selon le quotidien hongkongais South China Morning Post. La presse chinoise reste silencieuse A Pékin, les déclarations officielles se raidissent.