5. Interdictions de manifester. MAUVAISE PRESSE. France paralyzed by the ‘War of the Lefts’ — RT Op-Edge. Pepe Escobar is an independent geopolitical analyst.
He writes for RT, Sputnik and TomDispatch, and is a frequent contributor to websites and radio and TV shows ranging from the US to East Asia. He is the former roving correspondent for Asia Times Online. Born in Brazil, he's been a foreign correspondent since 1985, and has lived in London, Paris, Milan, Los Angeles, Washington, Bangkok and Hong Kong. Even before 9/11 he specialized in covering the arc from the Middle East to Central and East Asia, with an emphasis on Big Power geopolitics and energy wars. He is the author of "Globalistan" (2007), "Red Zone Blues" (2007), "Obama does Globalistan" (2009) and "Empire of Chaos" (2014), all published by Nimble Books.
Paris burns as Hollande fiddles. Scrap the bill to unblock the nation May 2016 in France is certainly no May 1968 remix. Le retour de la terreur. Réponse d'un casseur à ces détracteurRICEs. Introduction Salut à toi camarade.
Je me présente, je suis suis un casseur. J’ai participé ce mardi 10 mai à la casse du commissariat de Croix-Rousse et à celle du PS. Quand je casse, je protège mon identité, j’ai un look de casseur. OCCUPATION DES BEAUX-ARTS. Les racines militantes de la Nuit debout. Parmi tous les discours et commentaires que charrie la Nuit debout, deux visions circulent à son sujet.
La première met l’accent sur sa spontanéité, sa capacité à réunir des individus quotidiennement au-delà de toute appartenance politique. Une apparition ex nihilo qui consacre le rejet des structures classiques dominantes de l’organisation et de la mobilisation politiques, associatives comme syndicales, fondées sur la verticalité. La seconde décrit une Nuit debout portée en sous-main par un conglomérat de personnes actives au sein de structures associatives, militantes, politiques déjà existantes. Comme les raccourcis et la théorie du complot, c’est vendeur, certains n’hésitent pas à présenter le mouvement comme trusté par d’ignobles gauchistes et syndicalistes l’instrumentalisant pour séduire de nouvelles ouailles.
Politiciens vs Nuit Debout : Tellement déconnectés de la réalité ! Nouvelle arme anti-lutte : l’interdiction de manifester ! – Action Antifasciste Paris Banlieue. Untitled. Des interdictions "préventives" de manifestations sont en cours de distribution par les forces de l'ordre. En Espagne, Nuit debout fait un «bien fou» aux indignés. Nuit debout à Athènes : «les Français sont un exemple pour nous en ce moment» Pourquoi la préfecture à Rennes a-t-elle envoyé le RAID pour déloger les occupants d’une salle de concert ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Une compagnie de gendarmes mobiles et une équipe du RAID (recherche, action, intervention, dissuasion, l’équivalent policier du GIGN) ont délogé vendredi 13 mai à Rennes une centaine d’opposants à la « loi travail », qui occupaient une salle municipale depuis le début du mois.
La salle, rebaptisée « Maison du peuple » par les militants, a été totalement évacuée et une personne a été interpellée pour « rébellion », selon la police. Une trentaine de membres des forces de l’ordre sont entrés dans le bâtiment vers 6 heures. VIDEO : Le mouvement Nuit debout s'invite au conseil municipal de Poitiers - 09/05/2016. Un collectif de « journalistes debout » se mobilise. Dans le cadre du mouvement Nuit Debout, nous avons pensé qu’il serait judicieux d’associer à cette convergence des luttes celle pour un journalisme responsable, honnête, libre, divers et de qualité.
Combat que nous menons déjà pour la plupart mais qu’il serait bon d’affirmer en ces temps de politique de l’info low-cost, de l’audience reine et du buzz. Politique qui touche l’ensemble des médias : des agences de presse aux organes de presse écrite en passant par la radio, la télévision et internet. Cette situation se matérialise par un discrédit important auprès de nos lecteurs, auditeurs et téléspectateurs. Dans le même temps, poussée par une volonté extrême de rationalisation économique, notre profession se précarise. A la Cinémathèque, une nuit debout pour défendre les précaires. Ce vendredi 6 mai, aux alentours de 23h30, dans la grande salle Henri Langlois de la Cinémathèque Française (XIIe arrondissement de Paris), alors que le générique de fin du film Prête à tout de Gus van Sant défile sur les accords de la chanson Season of the Witch de Donovan, quelques dizaines de personnes présentes dans le public annoncent l’occupation du bâtiment jusqu’à nouvel ordre.
Le groupe est rejoint progressivement par des personnes venues de l’extérieur, jusqu’à l’arrivée de la police qui ferme les accès, prévenue par le service de sécurité de l’institution. Un tract qui circulait dans la soirée, intitulé «La Cinémathèque Française, lieu emblématique de la culture et de la précarité», met l’accent sur la gestion des employés du lieu (principalement chargés de l’accueil et des caisses) par une entreprise de sous-traitance spécialisée dans les «petits boulots» et la «flexibilité extrême». TvDebout #66Mars NuitDebout.
L'intello et l'ouvrier. Débat Frédéric LORDON et Jean-Pierre MERCIER.